ratio de rémunération

  • Ratio de rémunération au R.-U.

    Divulgation obligatoire du ratio dès juin prochain…

    2017-09-05
    Dominique Lemoine

    Environ 900 grandes entreprises du Royaume-Uni devront révéler et justifier annuellement des données au sujet de l’écart salarial entre le patron et les travailleurs.

  • Allaire sur la réforme au R.-U.

    Salaire des PDG : Londres dévoile ses nouvelles règles

    2017-09-05
    Yvan Allaire (IGOPP), lesaffaires.com

    Suite à une vaste consultation, le gouvernement du Royaume-Uni propose une réforme de la gouvernance des sociétés sur deux enjeux précis :

    1. La rémunération des dirigeants

    2. La prise en compte de toutes les parties prenantes de l’entreprise par le conseil d’administration.

    Comment le Grande-Bretagne compte encadrer rémunération des dirigeants

  • L’écart des rémunérations se creuse depuis 1978

    Croissance de 937 % pour le DG mais de 11 % pour l’ouvrier

    2017-07-28
    Dominique Lemoine

    La rémunération des chefs de la direction aurait grimpé de 937 % depuis 1978 pendant que le petit pain des travailleurs reste de la même taille.

  • Rémunération — Le MÉDAC cité dans un rapport de recherche

    Le MÉDAC à l’avant-garde en ratio d’équité et vote consultatif

    Montréal, le 16 juin 2017 — Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) est « le plus grand promoteur au Québec » des ratios d’équité internes, mentionne un rapport de recherche.

  • Le ratio de rémunération chez Desjardins

    Desjardins doit-il revoir la rémunération de son PDG?

    12 juin 2017
    Gérald Fillion, Radio-Canada

    Le malaise est palpable depuis plusieurs années et la question est légitime : est-il normal que la personne qui occupe le poste de chef de la direction du Mouvement Desjardins touche une rémunération de plusieurs millions de dollars? Est-ce qu'une coopérative trahit ses valeurs et ses principes lorsqu'elle verse 3,9 millions de dollars à son plus haut dirigeant?

    Selon l’Institut de recherche en économie contemporaine (IREC), qui publie un rapport sur la rémunération des dirigeants dans les coopératives, « les logiques sous-tendant certains de ses choix et la conception de ses instruments laissent poindre des risques de ''contamination'' idéologique susceptibles d’altérer sa mission ».

    Contamination, ma foi, est-ce contagieux? La contamination dans les choix de rémunération du chef de la direction de Desjardins émanerait de deux foyers. Premièrement, Desjardins se compare aux grandes banques, affirmant qu’elle évolue sur le même terrain. Et deuxièmement, elle place la rémunération de ses dirigeants dans le contexte de tout le Canada, et non seulement du Québec. On comprend bien que, sur ces bases, la rémunération du chef de la direction aura plus tendance à pointer vers le haut et… pas le contraire!

    Cela dit, « Desjardins se tire bien d’affaire », souligne l’Institut, et semble maintenir une retenue qui pourrait être attribuable à sa « différence coopérative ». C’est pour cette raison que l’écart entre la rémunération du PDG et celle des employés est moins grand que dans les banques, et que le revenu total du chef de la direction est plus faible que dans les grandes banques.

    Hausse de 147 % depuis 2001

    En 2015, la présidente et chef de la direction Monique Leroux a touché une rémunération globale de 3,9 millions de dollars. Les hauts dirigeants des banques ont gagné de deux à trois fois ce montant.

    L’IREC fait remarquer, toutefois, que la rémunération directe du chef de la direction de Desjardins est passée de 1 079 626 $ en 2001 à 2 664 598 $ en 2015, une hausse de 147 % en dollars de 2015. Durant la même période, le salaire moyen des employés a progressé de 46 %, passant de 40 638 $ à 59 386 $.

    « En tant que plus grand employeur privé, écrit l’Institut, Desjardins pourrait jouer un rôle plus grand encore pour contribuer à la réduction des inégalités et à une plus grande justice sociale. »

    « Desjardins ne semble jamais avoir visé un ''ratio d'équité'' entre la rémunération du chef de la direction et celle des autres employés de la coopérative. » En fait, de 2007 à 2015, le ratio entre la rémunération directe du chef de la direction et la rémunération moyenne des employés est passé de 35 à 45 fois. En tenant compte des avantages sociaux, la rémunération du chef de la direction de Desjardins représente 54 fois celle de l’employé.

    La prime au rendement du chef de la direction est passée de 10 % du salaire de base en 1996 à 110 % au cours des dernières années. L’IREC souligne que, pendant ce temps, les ristournes aux membres ont baissé et que plus de 1000 caisses ont fermé leurs portes.

    Au moment où les patrons des banques canadiennes doivent répondre à des questions sur leurs pratiques envers leurs employés et leur clientèle, on peut se demander si la haute direction de Desjardins n'aurait pas avantage à s'engager dans une pratique de gouvernance de haut niveau. Comme le propose le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MEDAC), ne devrait-on pas explorer la possibilité que la rémunération du chef de la direction soit limitée à 30 fois la rémunération moyenne des employés? La coopérative Desjardins, premier employeur privé du Québec, ne devrait-elle pas montrer l'exemple?

    « Il faudra mieux faire jouer les mécanismes de la solidarité sociale pour aplanir les inégalités », disait le PDG Guy Cormier dans un discours devant le Cercle canadien de Montréal le 29 mai dernier. Le grand patron de Desjardins peut-il lancer un tel appel sans, d'abord, donner l'exemple?

    Source ›››

  • Comptes rendus d’assemblées attendues

    Les actionnaires et les citoyens vivent-ils sur la même planète?

    Montréal, le 12 mai 2017 — Seulement environ 6 % des votes exercés par des actionnaires lors du vote consultatif sur la rémunération des hauts dirigeants de Bombardier ont été exprimés contre l’approche de l’entreprise, malgré l’apparente contestation médiatisée de certains investisseurs institutionnels.

  • Bombardier dans la tourmente

    Photo : Yan Gouger (CC BY-SA 3.0)

    Salaires : retour de la controverse à l’assemblée de Bombardier?

    8 mai 2017
    Julien Arsenault, La Presse canadienne

    Montréal — La rémunération des patrons de Bombardier, à l’origine d’une vive controverse il y a un peu plus d’un mois, pourrait revenir au coeur des discussions cette semaine dans le cadre de l’assemblée annuelle de la multinationale, jeudi.

    Après les installations de Mirabel l’an dernier, c’est au centre montréalais de finition des avions d’affaires Global, à Dorval, que le constructeur d’avions et de trains rencontrera ses actionnaires.

    Déjà, le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC), par l’entremise de son président, Daniel Thouin, compte interpeller la haute direction du constructeur d’avions et de trains sur la question de la rémunération.

    « Le sujet est plus sensible qu’à l’habitude, a expliqué son coordonnateur, Willie Gagnon, au cours d’un entretien téléphonique. Comme l’an dernier, nous allons voter contre l’approche de la société en matière de rémunération. »

  • Disparités des butins et défections

    De l’équipage quitte le navire à la vue de l’injustice

    Montréal, le 20 avril 2017 — Les employés de direction administrative seraient plus susceptibles de quitter leur entreprise quand ils se sentent sous-payés par rapport à la part du chef de la direction.

  • Conjuguer économie et société

    La victoire de l’économie sur la société : entrevue avec Claude Béland

    2017-04-17
    Médium large, Radio-Canada

    L’ancien président du [Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC)] Claude Béland est très dur envers [le Mouvement Desjardins] qu’il a dirigée pendant 23 ans. « Je pense que Desjardins n’est plus un mouvement, il cherche plutôt à s’intégrer et à faire concurrence aux banques », constate-t-il. Il s’inquiète aussi des iniquités grandissantes entre les riches et les pauvres dans la société, phénomène alimenté par un individualisme qui fait maintenant de l’ombre aux notions de vivre-ensemble.

    Être un agent de changement a été un objectif dans la vie de Claude Béland depuis son enfance dans une famille très solidaire et heureuse. Il s’étonne aujourd’hui de la domination de l’économie dans la vie en société, même chez les politiciens. À quoi sert donc la création de richesses, si celles-ci ne se trouvent qu’entre les mains de certaines personnes fortunées ?

  • Ratio de rémunération — Nouvelle étude

    Maladie généralisée dont Bombardier n’est qu’un symptôme

    Montréal, le 13 avril 2017 — La presse québécoise prend consicence que les revenus des dirigeants de Bombardier ne sont pas un cas isolé de rémunérations excessives.

  • Bombardier — Les documents déposés

    Alain Bellemare, le PDG de Bombardier… (Photo Archives La Presse canadienne)

    Rémunération : pas question de rouvrir l’entente avec Bombardier, dit Anglade

    10 avril 2017
    Julien Arsenault, La Presse Canadienne

    Aussitôt remise, la pétition signée par quelque 34 000 personnes demandant à Québec de revoir les modalités de l’investissement de 1,3 milliard de dollars de l’État québécois dans la CSeries de Bombardier a reçu une fin de non-recevoir par la ministre de l’Économie, Dominique Anglade.

    « Ce n’est pas du tout dans les plans », a-t-elle affirmé, lundi, de passage au Palais des congrès de Montréal pour une annonce à caractère économique, après qu’Amir Khadir, de Québec solidaire, lui ait remis en mains propres la pétition.

  • Un vrai débat sur la rémunération

    [De gauche à droite] Le président et chef de la direction de Bombardier, Alain Bellemare en compagnie du président exécutif du C.A., Pierre Beaudoin. Photo : Reuters/Christinne Muschi

    Pourquoi ne pas faire un vrai débat sur la rémunération des PDG?

    2017-04-07
    Gérald Fillion, Radio-Canada

    Beaucoup de gens demandent à Pierre Beaudoin de quitter son poste de président exécutif du conseil de Bombardier affirmant qu’il est là, le vrai scandale de la rémunération qui fait rager les Québécois depuis une semaine.

    Limiter l’enjeu à Pierre Beaudoin nous fait toutefois rater l’occasion d’un vrai débat sur la rémunération des hauts dirigeants d’entreprises. Il m’apparaît essentiel de ramener également le projecteur sur Alain Bellemare, dont la rémunération totale en 2016 est évaluée à 12,7 millions de dollars canadiens.

    Alain Bellemare a maintenant sa place parmi les 10 ou 15 PDG les mieux payés au Canada. Il gagne plus que le PDG d’Airbus, mais moins que celui de Boeing, dont les revenus sont, il faut le dire, six fois plus élevés que Bombardier. La rémunération totale de 2016 pour le grand chef de Bombardier représente 257 fois le salaire moyen industriel au Canada et 157 fois le salaire moyen des employés de Bombardier, qui serait de 81 000 $ par année, selon le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC).

  • Le réveil des actionnaires

    La hausse de la rémunération des hauts dirigeants de Bombardier est une décision qui pue au nez du président du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires, Daniel Thouin.

    Photo : Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve

    Rémunération des hauts dirigeants : l’action passe par le réveil des actionnaires

    4 avril 2017
    Gilbert Leduc, Le Soleil

    (Québec) « Ça ne sert plus à rien de s’indigner et de pousser les hauts cris. Le moment est venu de passer à l’action. Petits actionnaires, ne jetez plus à la poubelle sans la regarder l’invitation pour participer à l’assemblée générale annuelle de la compagnie dans laquelle vous avez investi vos précieux billets verts. Présentez-vous. Posez des questions. Faites-vous entendre. »

    Oui, la hausse de la rémunération des hauts dirigeants de Bombardier est une décision qui pue au nez du président du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires [MEDAC], Daniel Thouin.

  • Thouin @LCN — Bombardier

    Le MÉDAC invite les actionnaires à voter contre les hausses de salaire

    2 avril 2017
    Agence QMI, TVA Nouvelles et LCN

    Source ›››

    Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) demande aux actionnaires de Bombardier de s’opposer aux hausses de rémunération de certains de ses cadres à l’occasion de l’assemblée annuelle des actionnaires le 11 mai.

    En entrevue à TVA Nouvelles, dimanche, le président du MÉDAC, Daniel Thouin, a expliqué que la rémunération des hauts dirigeants de compagnies par le biais d’actions a démontré depuis son apparition il y a quelques décennies qu’elle ne fonctionne pas.

  • Bombardier — Mobiliser les actionnaires

    « Après avoir écouté les récents débats publics sur la rémunération des hauts dirigeants de Bombardier, j’ai demandé au conseil de revoir ma rémunération de 2016 en la réduisant au niveau de 2015 », écrit Pierre Beaudoin.

    Photo Ivanoh Demers, Archives La Presse

    Bombardier : Pierre Beaudoin renonce à son augmentation de salaire

    31 mars 2017
    Julien Arsenault, La Presse Canadienne

    En raison du tollé provoqué par les hausses de salaire marquées chez Bombardier, le président exécutif du conseil d’administration de la multinationale, Pierre Beaudoin, a décidé de renoncer à son augmentation.

    « Après avoir écouté les récents débats publics sur la rémunération des hauts dirigeants de Bombardier, j’ai demandé au conseil de revoir ma rémunération de 2016 en la réduisant au niveau de 2015 », écrit M. Beaudoin.

  • Rémunération, Bombardier et pouvoir des actionnaires

    Non aux patrons qui pillent les subventions

    Montréal, le 31 mars 2017 — La hausse des rémunérations des hauts dirigeants de Bombardier l’année même où l’entreprise a obtenu deux aides d’État pour un total de 3,3 milliards de dollars de la part de l’administration publique du Québec et où elle a mis à pied des milliers de personnes est l’occasion de rappeler le pouvoir des actionnaires en matière de responsabilité des entreprises.

  • Thouin @Martineau-Trudeau — Bombardier

    « M. Thouin […] c’est pas un militant d’extrême-gauche », dit Martineau

    2017-03-31
    Martineau-Trudeau, Radio X, 98,1 MF

    Source ›››

  • Bombardier — Ratio de rémunération indécent

    Photo Agence QMI, Joël Lemay Pierre Beaudoin (à gauche), président du conseil d’administration de Bombardier, a vu ses revenus grimper de 5 millions $ en 2015 à 7 millions $ en 2016. Une hausse de 36,5 %. Sur la photo, on voit Pierre Beaudoin et Laurent Beaudoin (président émérite du conseil) lors de l’assemblée annuelle, le 29 avril 2016.

    Pas question de reculer pour Bombardier

    La société ne compte pas baisser la paie de ses hauts dirigeants

    31 mars 2017
    Pierre Couture, Le Journal de Québec

    Bombardier défend sa politique de rémunération de ses hauts dirigeants et n’a pas l’intention de la réviser à la baisse.

    « C’est aligné sur la performance de la haute direction. Et leur performance a été solide en 2016 », s’est défendu jeudi le porte-parole de l’entreprise, Simon Letendre.

    Selon ce dernier, le conseil d’administration de Bombardier demandera aux actionnaires lors de l’assemblée annuelle du 11 mai prochain, à Dorval, de voter pour des hausses de salaire totalisant 48 %.

  • Claude Béland dénonce Bombardier

    Bombardier : des patrons trop payés

    30 mars 2017
    24/60, Radio-Canada

    « Des coffres du gouvernement à la poche des dirigeants. La hausse de salaire des patrons de Bombardier fait réagir. Entrevue avec l'ancien président du Mouvement Desjardins Claude Béland. »

  • Bombardier — Le tour de la question

    Le tour de la question sur l’augmentation de la rémunération chez Bombardier

    2017-03-30
    RDI Économie, Radio-Canada

    « La rémunération des dirigeants de Bombardier a provoqué une vague de critiques au Québec et mis le gouvernement sur la défensive. Reportage de Maxime Bertrand. »

    Source ›››

Page 2 sur 3

Partenaires :