Québec inc.

  • AVM et protection des sièges sociaux

    L’argument fallacieux du contrôle absolu

    2019-02-12
    Willie Gagnon, Le MÉDAC

    Nombre de détenteurs d’actions à droit de vote multiple (AVM) avancent régulièrement l’argument selon lequel le contrôle qu’ils ont des sociétés dont ils sont actionnaires sert à protéger lesdites compagnies contre les prises de contrôle hostiles, soit à permettre d’en empêcher la vente à l’étranger. Ce n’est pas exactement le cas. Voici.

  • AAA 2019 Metro, CGI

    Les grands principes, lentement mais sûrement

    2019-02-01
    Willie Gagnon, Le MÉDAC

    L’assemblée annuelle des actionnaires (AAA) 2019 de Metro inc. et celle du Groupe CGI inc. avaient lieu toutes les deux cette semaine. Le MÉDAC y défendait ses propositions, dont : 1) l’arrimage des politiques environnementale, sociale et de gouvernance (ESG) aux politiques de rémunération (Metro, CGI); 2) l’implantation de la pratique du vote consultatif (CGI); et : 3) la ventilation des résultats de vote par catégories d’actions (CGI).

  • CGI — Vote consultatif rejeté, mais…

    CGI refuse encore le vote consultatif sur la rémunération de ses patrons

    L’entreprise préfère en discuter avec ses actionnaires lors de rencontres privées

    31 janvier 2019
    Sylvain Larocque, Le Journal de Montréal

    Le géant CGI a encore une fois refusé hier de donner la possibilité à ses actionnaires de voter sur la politique de rémunération de ses grands patrons.

  • Le MÉDAC @Drainville sur Bombardier

    Mettre fin au vote multiple chez Bombardier

    2018-12-06
    Bernard Drainville, émission Drainville PM, 98,5 MF

    Le point sur la proposition d’actionnaire du MÉDAC réclamant la fin du régime d’actions à droits de vote multiple chez Bombardier, au micro de Bernard Drainville.

    Source ›››

  • Sabia sur Bombardier @Bloomberg

    Sabia soutient toujours Bombardier

    2018-11-29
    Bloomberg

    CDPQ CEO Sabia on Global Trade, Credit and Bombardier Relationship

    Caisse de Depot et Placement du Quebec Chief Executive Officer Michael Sabia talks with Bloomberg's Erik Schatzker ahead of the Group of 20 summit in Buenos Aires.

    « [Erik Schatzker, Bloomberg] — The Caisse has a deep relationship with Bombardier. Recently, there has been a lot of focus on the option Bombardier has to buy back the stakes in its rail business that you own. What is going to happen there?

    [Michæl Sabia] — Well. I’m not gone to tell you. Because, as you know, we don’t talk about those kind of things.

    Nous entretenons une relation avec Bombardier depuis longtemps déjà, à plusieurs niveaux. Nous sommes heureux de notre investissement dans la division transport [BT Holdco] de l’entreprise. Nous avons pleinement confiance en la direction de la société. Je crois qu’Alain Bellemare orchestre un revirement substantiel. [Traduction libre.]

  • Fitzgibbon @Arcand sur Bombardier

    Pierre Fitzgibbon à Paul Arcand sur Bombardier

    2018-11-09
    Paul Arcand, émission Puisqu'il faut se lever, 98,5 MF

    « Pierre Fitzgibbon, ministre de l’Économie et de l’Innovation — Je pense que… [il] faut prendre la question de différentes façons. La première observation, puis M. Legault a été très clair sur ça, je pense que nous devions, comme gouvernement, tous partis confondus, aider Bombardier. L’entreprise était en difficulté. Il fallait l’aider. La forme qui a été choisie peut être questionnable. Puis je veux pas aller là. Parce que c’est pas pertinent. Moi, je suis focalisé (sic) sur les employés. Et là, bon, la forme qui a été prise, c’est d’aider un programme, qui s’appelle le CSeries, qui était en difficultés. Là, on est rendus aujourd’hui, on […] parle de Bombardier dans son ensemble, puis je veux pas du tout justifier les gestes de Bombardier.

    Mais c’est clair que la population, à juste titre, est frustrée de voir… avoir mis un milliard dans une entreprise qui a pas eu d’éléments sociaux qui ont été tenus en compte. Alors je pense que… […] Il est clair que si on doit faire un autre investissement de cet ordre de grandeur dans une société, il est clair qu’il faut que les enjeux sociaux soient aussi considérés.

  • Dutton @TLMEP

    Entrevue de Robert Dutton sur Rona à TLMEP

    « Je voyais pas la raison pourquoi vendre Rona. Même après mon départ, il semblait y avoir un redressement. Mais les actions étaient pour uniquement vendre l’entreprise. Et, il faut se rappeler que les principaux actionnaires étaient Investissement Québec et la Caisse de dépôt. Donc, c’est comme si le gouvernement décidait de vendre un fleuron québécois. C’est ça qui est surprenant et qui m’a beaucoup choqué. »

    — Robert Dutton

    2018-09-30
    Tout le monde en parle, Radio-Canada

  • Poids du Québec inc. dans le Canada inc.

    Plus de milliards accumulés par moins d’entreprises québécoises inscrites

    28 septembre 2018
    Dominique Lemoine

    La capitalisation boursière en milliards de dollars des sociétés dont le siège social est situé au Québec et qui sont inscrites aux indices boursiers TSX ou TSXV augmente depuis 2008, bien que le poids du Québec inc. dans la capitalisation totale au Canada soit passé de près de 20 % en 2015 à 16 % en 2017.

  • Dutton @Arcand sur Rona

    Robert Dutton à Paul Arcand sur Rona

    2018-09-13
    Paul Arcand, émission Puisqu'il faut se lever, 98,5 MF

    Source ›››

  • Fonds d’investissement centrés sur le Québec

    Des fonds qui misent sur le Québec

    Ces produits ont des rendements qui se distinguent.

    16 août 2018
    Yan Barcelo, Finance et Investissement

    Les clients ont accès à quatre fonds d’investissement centrés sur le Québec et ses entreprises. Il s’agit d’un phénomène unique, car ils ne trouveront pas de fonds équivalents centrés sur l’Ontario, l’Alberta, la Nouvelle-Écosse ou n’importe quelle autre province, excepté sur la Colombie-Britannique avec le British Columbia Discovery Fund.

  • Les ateliers du MÉDAC — 18 septembre 2017

    Les inégalités

    « Le Québec à la croisée des chemins »

    le lundi 18 septembre 2017, 19 h
    au 82, rue Sherbrooke Ouest

    Conférence de Nicolas Zorn, doctorant en science politique (Université de Montréal), auteur des livres Le 1 % le plus riche : l’exception québécoise et J’ai profité du système — Des centres jeunesse à l'université : parcours d'un enfant du modèle québécois.

    Contribution volontaire.

    Prière de confirmer votre présence.

    514-286-1155
    Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

    Voir le document de l’enregistrement vidéo de la diffusion en direct de la conférence, ci-dessous…

  • Bombardier — Rémunération faramineuse

    La rémunération des dirigeants bondit de 48 %

    30 mars 2017
    Martin VallièresLa Presse

    La rémunération totale des six plus hauts dirigeants de Bombardier a bondi de 48 % à 32,4 millions US pour l’exercice 2016, soit l’équivalent de 42,9 millions en dollars canadiens selon le taux de change utilisé dans les documents de l’entreprise.

    De cette rémunération totale, au moins 24,4 millions US (ou 32,3 millions CA) constituent les primes et bonis consentis à ces hauts dirigeants, dont quatre étaient à leur première année en poste, en surplus de leur salaire de base.

  • Protection des sièges sociaux

    L’approche québécoise est positive, selon des experts

    22 février 2017
    François Desjardins, Le Devoir

    Pour le moment, le Québec arrive peut-être au bout des mesures qu’il peut mettre en place pour renforcer la protection des sièges sociaux dans la mesure où certains moyens plus costauds nécessiteraient une volonté pancanadienne.

    Cela dit, a estimé l’expert en gouvernance Yvan Allaire, de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP), l’analyse de Québec est bonne et met l’accent sur « le dynamisme »des entreprises québécoises et « leur capacité à se régénérer pour qu’il y ait un roulement positif ».

  • Aux barricades de la défense des sièges sociaux stratégiques

    Des administrateurs neutralisés par l’appât du gain

    Montréal, le 3 octobre 2016  La composante de la rémunération des administrateurs qui est basée sur des options et des actions dont la valeur est liée au cours boursiers influence possiblement la position des administrateurs en lien avec les changements de contrôle des entreprises d’ici.

  • Québec inc. c. Bay Street

    Le vote multiple comme rempart d’auto-détermination économique

    Montréal, le 22 avril 2016 — L’activisme d’Ottawa et de Bay Street dans le dossier des actions à droit de vote multiple semble davantage motivé par l’intérêt politique que par des soucis de cohérence purement économique.

  • Fomenter la confusion

    La Presse cite le MÉDAC hors contexte

    Montréal le 5 février 2016 — Sans grande nuance, La Presse ne prend pas la peine de distinguer actionnaires, dirigeants et administrateurs.

  • Vente de Rona à des intérêts étasuniens

    Gare à la complaisance

    Montréal le 3 février 2016 — L’acquisition du détaillant Rona par Lowe’s à la faveur d’un dollar dévalué serait peut-être un prélude à d’autres prises de contrôle de sociétés importantes de l’économie du Québec qui impliqueraient Bombardier, Metro, CAE, Garda et compagnie.

  • Propriété québécoise des sociétés ouvertes

    Le cas Manac confirme les craintes du MÉDAC

    Montréal, le 14 août 2015 — La sortie de Manac inc. de la Bourse de Toronto après n’y avoir passé que deux ans démontre la difficulté de préserver la propriété québécoise des sociétés ouvertes, ce qui est l’un des combats du MÉDAC.

  • Bourse du Québec inc.

    Le Québec, champion des bourses nord-américaines en 2014

    Montréal, le 6 janvier 2015 — L'indice Morningstar Banque Nationale Québec a conclu l'année 2014 sur un gain de 20,7 %, rapporte le journal Les Affaires.

  • L’État, actionnaire

    Parizeau pourfend le Plan Nord

    L’ancien premier ministre du Québec Jacques Parizeau a reçu Le Devoir chez lui pour livrer ses premiers commentaires publics sur le Plan Nord.<br />
    Photo : Jacques Nadeau —Le Devoir L’ancien premier ministre du Québec Jacques Parizeau a reçu Le Devoir chez lui pour livrer ses premiers commentaires publics sur le Plan Nord.


    Alexandre Shields, Le Devoir

    Le Plan Nord du gouvernement Charest ouvre toute grande la porte aux entreprises minières qui veulent réclamer une contribution financière substantielle de la part de l’État québécois pour faciliter le développement de projets d’exploitation privés. Une situation que déplore Jacques Parizeau, qui propose plutôt d’assujettir toute aide publique à un mécanisme de réciprocité qui obligerait les entreprises à céder à Québec une participation équivalente de leur actionnariat.

    « Le Plan Nord offre toutes sortes de choses, explique l’ancien premier ministre, en entrevue au Devoir. D’abord, ce ne sont pas les compagnies qui vont se payer leur approvisionnement en électricité, ce sera Hydro-Québec. Il y a aussi des projets de ports en eaux profondes. Sans oublier la route de 250 kilomètres pour rejoindre le projet de mine de diamants de Stornoway Diamond Corporation, au coût de 330 millions de dollars. Québec paiera 288 millions de la facture. Pourquoi on construit cette route? Le gouvernement s’est dit qu’il y aurait peut-être d’autres projets miniers dans le secteur. Je ne vous dirai pas que ça fait “bar ouvert”, mais les compagnies qui ont des projets dans le Nord ont compris immédiatement ce qu’elles pouvaient en tirer. Le Plan Nord laisse plusieurs portes ouvertes. »

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