Le MÉDAC se fait entendre à l’assemblée de Power Corporation
16 mai 2013
Le Canal Argent
Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) veut que les actionnaires aient leur mot à dire concernant la rémunération des hauts dirigeants d’entreprise.
Lors de l’assemblée annuelle des actionnaires de Power Corporation, qui se tenait mercredi à Winnipeg, il a proposé l’implantation d’une politique de vote consultatif.
La proposition a recueilli 18,02 % des votes exprimés.
Selon l’organisme, ce résultat est considérable étant donné que Paul Desmarais détient 61,12 % des droits de vote.
Considérant les droits de vote de M. Desmarais, le MÉDAC calcule que le soutien accordé à sa proposition constitue plus de 46 % de tous les autres votes possibles.
Le vote consultatif sur la rémunération « say on pay » est de plus en plus répandu depuis une dizaine d’années auprès des grandes sociétés publiques.
Cette formule consiste à donner aux actionnaires un droit de vote sur la rémunération des dirigeants de l’entreprise. Si elle n’est pas appliquée, c’est plutôt uniquement le conseil d’administration de l’entreprise qui décide du salaire des patrons.
Plusieurs autres institutions financières canadiennes consultent dorénavant leurs actionnaires afin, notamment, de rendre plus transparent le processus de rémunération.
Le mois dernier, Power Corporation avait recommandé aux actionnaires de voter contre la proposition du MÉDAC, notamment parce que les politiques de rémunération des hauts dirigeants sont de plus en plus complexes et doivent tenir compte d’un certain nombre de facteurs.
Le conglomérat financier expliquait que les administrateurs et le comité de rémunération sont « les mieux placés pour superviser les conditions de rémunération des hauts dirigeants ».
En 2012, les deux co-chefs de la direction de Power Corporation, Paul Desmarais fils et André Desmarais ont reçu une rémunération totale de 11,5 millions $, une augmentation de 8 % sur un an.
Canada out of step on say on pay
2013-04-13
Nicolas Van Praet, The National Post
MONTREAL – Every spring, a bespectacled little man with a silver moustache and a penchant for theatrics takes the microphone at select annual shareholder meetings in Canada and gives directors and management a multi-minute tongue-lashing about every corporate governance flaw he’s identified at their company.
It’s the gospel according to Yves Michaud.
This year, like last, Mr. Michaud, founder of Montreal-based shareholder rights group MÉDAC, will try to get the investors of Power Corp. and Quebecor Inc. to adopt advisory shareholder votes on executive compensation — so-called say on pay. This time, like last, the proposal he or his MÉDAC colleagues make will be defeated.
Three years after Canada’s banks first started giving their shareholders a non-binding vote on the remuneration of their senior officers in response to pressure from investor activists like MÉDAC and Kitchener, Ont.-based Meritas Mutual Funds, say on pay remains something only the largest firms are doing. Even then, there are some notable holdouts, including corporations controlled by some of Canada’s wealthiest families like Power’s Desmarais clan, Loblaw’s Westons and the Saputos.
Parité hommes-femmes
La Banque Laurentienne sous pression
Isabelle Courville, nouvelle présidente du conseil d’administration de la Banque Laurentienne.
19 mars 2013
Ewan Sauves, Le Journal de Montréal (Agence QMI)
Le jour où la Banque Laurentienne accueille Isabelle Courville comme présidente de son conseil d’administration, elle fait l’objet de pressions sur la parité hommes-femmes.
Lors de l’assemblée annuelle qui s’est tenue mardi, Mme Courville a été élue pour remplacer Denis Desautels. Le président sortant du conseil a occupé le siège pendant une décennie.
Cependant, les actionnaires sont nombreux à croire que la présence féminine est insuffisante.
Un peu plus de 21 % ont voté en faveur d’une résolution exigeant que la Laurentienne fasse « tous les efforts nécessaires » pour atteindre la parité hommes-femmes au sein des administrateurs d’ici cinq ans. La demande avait été soumise par le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC).
Ce résultat est un fort pourcentage, car les résolutions d’actionnaires sont souvent battues à plus de 90 %.
« C’est difficile de prendre un engagement à cet égard, mais c’est un enjeu que nous avons à cœur, a indiqué le président et chef de la direction de la Banque Laurentienne, Réjean Robitaille. Nous avons élu, ce matin, une femme à la tête de notre conseil d’administration. C’est la seule au Canada à jouer ce rôle pour une société financière. »
« La plus forte présence féminine »
La banque estime qu’elle compte déjà sur la plus forte présence féminine sur son conseil, soit 38 % des membres. Aussi, elle dit que 30 % de ses dirigeants sont des femmes. Elle a déjà eu une femme à la tête du C.A.
La parité sera-t-elle atteinte si l’institution financière trouve des candidates qualifiées?
« Tout à fait, a poursuivi M. Robitaille. Il y a des domaines d’activité où il y a historiquement moins de femmes que d’hommes, et vice versa. Mais il faut véritablement y aller avec la compétence [des candidatures]. »
Par ailleurs, M. Robitaille a profité de l’assemblée pour faire le point sur l’actualité, ainsi que sur le développement des affaires.
La crise européenne renouvelée, avec le risque de saisie de l’épargne à Chypre, a retenu l’attention.
Réjean Robitaille se dit inquiet à l’idée. Un tel geste ferait en sorte que les épargnants fuiraient les banques. « Ce que les autorités semblent vouloir mettre en place est une taxe supplémentaire sur les dépôts, a-t-il précisé. Les clients pourraient sortir leur argent de ces banques-là. »
Le dirigeant est convaincu que le Canada est à l’abri de tels événements. « Les banques ont un bilan sain, ce sont les plus sûres de la planète et une assurance dépôt [couvre les épargnants] », a-t-il dit.
D’ailleurs, le banquier ne manque pas d’éloges pour la prudence du gouvernement fédéral, qui semble avoir prévenu une bulle en immobilier.
« Nous avons vu un ralentissement de la demande, principalement hypothécaire, a-t-il ajouté. L’endettement des ménages était assez élevé et il fallait le surveiller pour éviter de répéter la situation américaine. Il était sain que le gouvernement mette ces politiques en place. »
De son côté, la Banque Laurentienne est bien portante, ayant presque doublé son actif à 35 milliards $ depuis cinq ans.
M. Robitaille a indiqué que si les occasions d’affaires se présentent, le rythme de croissance pourrait bien se perpétuer. « Nous avons d’autres activités qui pourraient être en mesure d’aller plus loin, a-t-il déclaré. Nous sommes à l’affût. »
Isabelle Courville au conseil de la Laurentienne
19 mars 2013
Sylvain Larocque, La Presse (La Presse canadienne)
Montréal — Denis Desautels, qui présidait le conseil d’administration de la Banque Laurentienne (T.LB) depuis 10 ans, a passé le relais mardi à Isabelle Courville, qui occupait jusqu’à tout récemment le poste de présidente d’Hydro-Québec Distribution.
Au cours de l’assemblée annuelle des actionnaires, tenue mardi à Montréal, le président et chef de la direction, Réjean Robitaille, a déclaré qu’il s’agissait d’« un jour triste pour la banque » compte tenu de la vaste expérience de M. Desautels, qui a été vérificateur général du Canada de 1991 à 2001.
« M. Desautels a joué un rôle stratégique dans les décisions menant à l’amélioration de la performance de l’institution », a ajouté M. Robitaille.
Le principal intéressé a admis éprouver « des sentiments partagés » au sujet de son départ. Il était administrateur de l’institution depuis décembre 2001 et président du conseil depuis mars 2003.
Mme Courville, âgée de 50 ans, est avocate et ingénieure. Au début des années 2000, elle a occupé des fonctions à la haute direction de Bell Canada (T.BCE) avant de passer chez Hydro-Québec au début de 2007. Elle a successivement présidé les divisions TransÉnergie et Distribution. Les raisons de son départ de la société d’État, en janvier, n’ont jamais été rendues publiques.
Chez Hydro, Isabelle Courville a reçu une rémunération totale de plus de 473 000 $ en 2011. Comme présidente du conseil de la Banque Laurentienne, elle touchera 185 000 $ par année.
Au cours d’un entretien téléphonique, mardi, Réjean Robitaille a affirmé que Mme Courville avait l’intention de consacrer beaucoup de temps à la présidence du conseil et qu’elle comptait « être bien impliquée dans les opérations » de la banque.
MÉDAC
Notons par ailleurs que les trois propositions présentées par le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) ont reçu des appuis importants.
Les actionnaires se sont prononcés dans une proportion oscillant entre 17 et 19 pour cent en faveur des propositions portant sur la surveillance et l’équité des régimes de retraite de l’institution et dans une proportion de 21,3 pour cent en faveur de la proposition prônant la parité hommes-femmes à la haute direction d’ici cinq ans.
M. Robitaille a tenu à préciser mardi que 52 pour cent de l’ensemble des gestionnaires de la Banque sont des femmes et que celles-ci occupent le tiers environ de la soixantaine de postes de vice-président de l’institution. Par contre, on ne compte qu’une femme au comité de direction, composé de neuf personnes.
Immobilier
La forte croissance du secteur immobilier canadien a contribué aux bons résultats de la Banque Laurentienne et des autres institutions financières au cours des dernières années. S’adressant aux actionnaires, mardi, l’économiste en chef de l’institution, Carlos Leitao, a rappelé que le marché ralentissait, mais il a soutenu que la situation n’était pas « catastrophique ».
La Banque n’entend pas imiter la Banque de Montréal (T.BMO), la Financière Manuvie (T.MFC) et les autres prêteurs qui ont récemment remis sur le marché des prêts hypothécaires à un taux d’intérêt de 2,99 pour cent.
La Banque misera plutôt sur les acquisitions récentes de la Fiducie AGF et des sociétés MRS, qui offrent des produits de placement et de prêt aux conseillers financiers, pour contrer l’« atterrissage en douceur » du secteur immobilier.
Pour alimenter sa croissance future, l’institution examine également les possibilités d’acquisition dans les secteurs de la gestion de patrimoine et des services bancaires commerciaux, a indiqué Réjean Robitaille.
Au cours des cinq dernières années, l’actif total de la Banque Laurentienne a presque doublé et atteint désormais près de 35 milliards $. L’institution, qui emploie 4200 personnes, figure aujourd’hui parmi les 40 plus grandes banques en Amérique du Nord.
En milieu d’après-midi, mardi, l’action de la Banque Laurentienne gagnait trois cents pour s’échanger à 44,52 $, à la Bourse de Toronto.
La (très) gênante position de Metro
30 janvier 2013
François Pouliot, lesaffaires.com
BLOGUE — C’est avec une grande déception que l’on est ressorti mardi de l’assemblée annuelle de Metro. La direction de la société refuse toujours avec obstination d’amener un accent aigu sur son appellation. Malheur plus grand encore, elle vient de recevoir la caution d’une écrasante majorité d’actionnaires.
Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) proposait deux résolutions.
Les deux propositions ont été battues dans une proportion de 98,80 %.
C’est gênant. Les actionnaires québécois qui ont enregistré leur vote contre la proposition sont mieux de ne pas interroger leur conscience : ils s’en porteraient mal.
Plus gênante encore est la position de la direction de Metro et de son conseil d’administration, qui n’ont même pas cherché à trouver un terrain d’entente.
L’an dernier, l’activiste Yves Michaud avait donné tout un spectacle à l’assemblée annuelle en réclamant que soit corrigée cette anomalie historique. On aurait pu s’attendre à ce qu’une réflexion s’en suive.
Dans ses motifs d’opposition Metro insiste qu’elle est une entreprise québécoise depuis 65 ans et qu’elle reconnaît l’importance du français dans ses communications. Elle se targue d’être le deuxième plus grand employeur du Québec et d’avoir son siège social ici. À cause de cela, plaide-t-elle, elle contribue de façon importante à l’économie du Québec, « et, de ce fait, à la vigueur de la langue française ». Elle conclut ne pas croire que l’ajout d’un accent à son nom ou sa marque de commerce ajouterait à son caractère profondément québécois.
Personne n’a jamais nié l’importance de Metro pour l’économie du Québec, ni même l’extrême compétence de ses dirigeants. Et c’est justement pour cette raison qu’elle devrait amener un accent sur sa marque de commerce. Elle a valeur de symbole pour le Québec et il est étonnant qu’elle le reconnaisse d’un côté, et en fasse étalage, tout en refusant de le comprendre de l’autre.
Une société comme Québécor a bien compris la chose l’an dernier, et a, de son propre chef, décidé d’accentuer son nom au Québec.
À l’heure où le Québec s’interroge sur la force de ses sièges sociaux, tandis que Astral pourrait être avalée par BCE et que l’on redoute que SNC-Lavalin ne glisse vers Londres, il aurait été facile pour la direction de Métro d’envoyer un signal rassembleur.
Qui aurait particulièrement bien résonné dans un paysage québécois que les marques américaines tentent d’envahir et critiquent même, pour certaines, ouvertement.
L’entêtement de la direction est pour le moins incompréhensible qu’elle s’est déjà livrée, en 2010, à une opération beaucoup plus périlleuse : la conversion de toutes ses bannières ontariennes à celle de Metro.
On remarquera que jamais dans les motifs fournis la question du coût éventuel de la conversion n’a été avancée. Et l’occasion lui a été offerte à quelques reprises de se prévaloir de l’argument.
L’entreprise a-t-elle un œil sur Safeway Canada dans l’Ouest, et redoute-t-elle qu’un débat nationaliste ne nuise au final à ses chances de miser sur la société?
Refuse-t-elle simplement de lâcher du lest pour ne pas perdre la face devant Yves Michaud?
Ce serait un peu gros.
Moins gros cependant que de continuer à s’enfermer dans la position actuelle, avec une telle faiblesse d’arguments.
Le MÉDAC devrait représenter l’an prochain une proposition un peu plus souple (conversion graduelle dans le temps, limitée à la province?). Dirigeants et actionnaires devraient entre-temps mieux réfléchir.
Metro : le panier plein de profits
29 janvier 2013
André Dubuc, La Presse
(Montréal) L’épicier Metro (T.MRU.A) présente des profits supérieurs aux attentes des analystes au premier trimestre de 2013. Le profit net se chiffre à 1,23 $ par action, en hausse de 21,8 % par rapport à la même période l’an dernier. Le consensus était à 1,14 $ par action.
En excluant la vente de sa division de services alimentaires Distagro, le profit ajusté s’élève à 1,16 $ par action, en avance de 15 % par rapport au résultat comparable du premier trimestre de 2012. Ces résultats ont été obtenus dans un contexte difficile, précise la société, où le consommateur canadien est endetté et où l’inflation alimentaire est pratiquement à zéro.
La direction a refusé de préciser ses intentions quant à l’utilisation qu’elle fera du demi-milliard de dollars (avant impôt) en provenance de la vente de 50 % de ses actions d’Alimentation Couche-Tard. Le président et chef de la direction, Éric La Flèche, a dit que l’entreprise a toute la flexibilité financière nécessaire pour faire une acquisition au Canada, peu importe la taille.
En conférence de presse, M. La Flèche a répondu qu’il souhaitait regarder Safeway et Jean Coutu, si l’une ou l’autre de ces entreprises étaient à vendre, ce qui n’est pas le cas d’après lui.
Au premier trimestre de l’année, la hausse des ventes de magasins ouverts depuis au moins un an se chiffre à 1,5 % en un an, ce qui traduit une hausse « robuste » du volume de ventes de 1,3 %, selon l’analyste Peter Sklar, de BMO. Il s’attendait plutôt à une croissance de 0,8 % en volume.
Les ventes totales du trimestre terminé le 22 décembre 2012 avancent de 2,7 % pour se situer à 2,7 milliards de dollars. Le trimestre inclut cette année la semaine de Noël, ce qui n’était pas le cas en 2012.
Pas d’accent aigu à Metro
Les résultats du premier trimestre ont été dévoilés au cours de l’assemblée annuelle des actionnaires au Centre Mont-Royal, de Montréal. Bon an, mal, an, l’assemblée de Metro demeure l’une des plus courues.
Pas de controverse cette année en raison peut-être de l’absence remarquée du Robin des Banques, Yves Michaud, qui avait volé la vedette à l’assemblée précédente.
En l’absence du tribun, le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) n’a pas réussi à faire adopter ses résolutions. Son échec le plus cuisant concerne l’ajout d’un accent aigu à Metro. Environ 1,20 % des voix ont appuyé les deux résolutions allant en ce sens.
Metro par contre a pris les devants en suggérant lui-même le vote consultatif sur la rémunération. Après avoir reçu une majorité de votes en faveur de sa propre résolution, la direction a ensuite recommandé aux actionnaires de rejeter la proposition du MÉDAC qui proposait la même chose.
Toutefois, 6,35 % des actionnaires ont voté en faveur d’une représentation égale entre les hommes et les femmes au conseil d’administration de Metro qui ne compte que 2 femmes sur 14 membres. La direction recommandait de voter contre la résolution. Cette question de la place des femmes se posera avec plus d’acuité prochainement, car au moins quatre administrateurs s’approchent de l’âge de la retraite, fixé à 72 ans par règlement interne, soit Pierre Gobeil, 70 ans, Pierre Lessard, 70 ans, Paule Gauthier, 69 ans et Michael T. Rosicki, 69 ans.
Les actionnaires de la société votaient de façon électronique que ce soit pour l’élection de chacun des administrateurs ou l’adoption des résolutions soumises au vote. Le vote électronique permet le décompte des voix de façon quasi instantanée. On a ainsi su que Pierre Lessard a été l’administrateur ayant reçu le plus d’abstention : plus de 1 million d’abstentions ou un plus de 1 % des votes exprimés.
M. Lessard avait annoncé quelques minutes avant le vote qu’il délaissait l’aspect exécutif de sa fonction de président du conseil d’administration pour lequel il a touché 485 000 $ en 2012. Au dire même de M. La Flèche, rien ne changera au quotidien pour l’équipe de direction.
Metro a par ailleurs annoncé une hausse de son dividende trimestriel pour la 18e année consécutive à 25 cents par action. Hier, l’action de la société a reculé de 10 cents, à 64,02 $, à la Bourse de Toronto.
« Les données bancaires de Mark Carney compromises par un […] un employé corrompu de la Banque Royale du Canada » @RBC @RBCfr https://t.co/EUUBiE0pYL pic.twitter.com/rhn8zP9lCd
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 25, 2025
Quelle est la responsabilité des compagnies quant aux déclarations publiques de leurs employés faisant la promotion de la violence? “many […] who cheered the firing of participants in the Jan. 6 […] riots are appalled by dismissals of Kirk’s critics now” https://t.co/BUP56bdRd2
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 22, 2025
Paul-Antoine Jetté, chroniqueur à Sauve qui peut!, animée par @PYMcsween, dresse un portefeuille « équilibré » de FNB indiciels :
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 10, 2025
• 30 % 🇨🇦 : XUS ou VFV
• 30 % 🇺🇸 : XIC ou VCN
• 30 % international avec XEF (ou VIU?)
• 10 % d’obligations 🇨🇦 : XBB ou VABhttps://t.co/8Y6QILL51f
Si tant avait été qu’il eût fallu une métaphore de plus pour illustrer le sentiment des actionnaires éplorés de @LionElectrique. 🔥😢 https://t.co/b9kU2XsqPY pic.twitter.com/rjAPrZk0eb
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 9, 2025
Qui sont les actionnaires de @CoucheTardQc détenant les 111 489 508 actions (14,44 %) votées en faveur d’un vote consultatif annuel sur ses politiques environnementales et les 279 531 760 actions (36,20 %) pour le retour des assemblées en personne? https://t.co/GnWM9R9flG pic.twitter.com/rQFAGRInen
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 8, 2025
A-t-on vraiment besoin de ça, dans une perspective d’investissement (individuel) à long terme, pour la retraite, par exemple? N’est-ce pas plutôt un instrument pour les organisations? https://t.co/kkM86fBkY6
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) August 26, 2025
La @SECGov publie, dans une (nouvelle) page web, les graphiques des principaux indicateurs statistiques concernant les marchés de capitaux. L’annonce : https://t.co/lqShDaBLWv La page : https://t.co/N28qy1wtVg Un exemple de graphique : pic.twitter.com/8Omu7xjPNb
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) August 14, 2025
🇺🇸Une étude de la @FINRAFoundation pour l’éducation de l’org. d’autorèglementation du courtage en valeurs mobilières @FINRA dit : les « jeunes investisseurs, en particulier les hommes, sont ouverts à l’idée de recevoir leurs conseils financiers de » l’IA. https://t.co/AQetgKgcrA
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 28, 2025
🇺🇸 Un jugement récent empêchera la @SECGov d’exiger plus de transparence d’@issgovernance et de @GlassLewis. https://t.co/HqShUuxIxL Aussi, retour aux questions de bonne gouverne (gouvernance) et de rémunération traditionnelles. https://t.co/JitpTLcQNe
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 28, 2025
La Governance for Growth Investor Campaign (GGIC), soutenue par @ShareAction, qui regroupe des fonds de pension qui gèrent 150G£ d’actif, réclame de toutes les entreprises du FTSE 100 de tenir des assemblées en personne plutôt que seulement virtuelles. https://t.co/4Rq6COgTnS
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 28, 2025
L’Office d’investissement du régime de pension du Canada (OIRPC) @cppinvestments abandonne son objectif d’atteinte de la carboneutralité en 2050 (net zero), après seulement 3 ans, en l’annonçant dans la section FAQ de son site web. https://t.co/lxMT6ssnF1 https://t.co/1B2LZyT93y pic.twitter.com/ctU3MAF2rW
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 30, 2025
Des investisseurs institutionnels d’importance (950 milliard$ sous gestion) demandent que Musk travaille 40 h/sem. pour Tesla. Ils détiennent 0,25 % des actions de Tesla. https://t.co/ag87Tgkp7I
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 29, 2025
BlackRock parie sur l’intérêt des investisseurs pour le secteur de la défense (en Europe…) en constituant un FNB indiciel. https://t.co/QNey6GoRs2
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 29, 2025
« retirer des sommes de ses comptes de courtage imposables vers des [CELI] en générant ainsi artificiellement des pertes dans les premiers et des gains dans les seconds » — @lautorite https://t.co/gpPQdhi39s
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 29, 2025
« Le remplacement de Bruce Guerriero et de Daniel Rabinowicz est réclamé […] La suppression de la structure à deux catégories d’actions est aussi revendiquée » https://t.co/2C4FI4U2RX
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Le nombre de propositions d’actionnaire concernant la gouvernance a diminué moins vite que les propositions d’actionnaire sur l’environnement, de 2018 à 2025, aux É.-U.-d’A., selon ISS. Dans l’ensemble, c’est un creux sur 8 ans. https://t.co/dAucnupAPw
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 23, 2025