6 janvier 2016
L’Autorité des marchés financiers
En ce début d’année, nous aimerions tout d’abord vous adresser nos meilleurs vœux. Que 2016 soit porteuse de succès dans tous les aspects de votre vie et de santé financière!
Nous souhaitons porter à votre attention de récentes interventions médiatiques de notre président-directeur général, Louis Morisset, également président des Autorités canadiennes en valeurs mobilières, à l’égard du projet de régime coopératif en matière de réglementation des marchés des capitaux soutenu par l’ancien gouvernement conservateur.
Les anciens ministres des Finances du Québec, Raymond Bachand et Monique Jérôme-Forget, ainsi que leurs homologues albertains, Doug Horner et Ted Morton, ont également joint leurs voix pour rappeler que le Canada s’appuie déjà sur une approche coopérative entre les régulateurs et qu’il est reconnu comme l’un des plus efficients et respectés à l’échelle mondiale.
Nous vous invitons à prendre connaissance de ces interventions :
National cooperative securities regulation is already in place – Financial Post – Commentaire signé par Louis Morisset – 16 décembre 2015
Une occasion unique de tourner la page centralisatrice – La Presse+ - Opinion signée par Raymond Bachand et Monique Jérôme-Forget – 22 décembre 2015
It’s time to re-emphasize fundamentals of Canada’s steadfast securities system – Globe and Mail – Commentaire signé par Louis Morisset – 26 décembre 2015
Turn the centralist page on securities regulation – Financial Post - Commentaire signé par Raymond Bachand, Monique Jérôme-Forget, Doug Horner et Ted Morton – 4 janvier 2016
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Source : L’infocourriel du 6 janvier 2016, Autorité des marchés financiers.
18 nov. 2015
Jean-Nicolas Blanchet, Le Journal de Québec
Les Canadiens ont une fortune qui totaliserait près de 300 milliards de dollars dans les paradis fiscaux, mais les grandes banques du pays martèlent qu’elles prennent tous les moyens pour mettre un frein à l’évasion et l’évitement fiscaux.
Comment autant d’argent peut-il avoir été transféré alors que les banques disent ne pas encourager cette pratique?
C’est l’une des nombreuses questions que les élus ont posées aux représentants des grands banquiers du Canada, qui étaient convoqués à l’ass emblée nationale hier afin que soit éclairci le « phénomène du recours aux paradis fiscaux ».
C’est l’une des nombreuses questions que les élus ont posées aux représentants des grands banquiers du Canada, qui étaient convoqués à l’assemblée nationale hier afin que soit éclairci le « phénomène du recours aux paradis fiscaux ».
« Ce n’est aucunement notre politique que d’aider des gens à faire de l’évasion ou de l’évitement fiscal. On n’a aucun intérêt à travailler avec des gens qui ne veu- lent pas respecter la loi […] Ce n’est pas de gaieté de coeur qu’on voit ces choses-là se produire à travers le monde. »
Ces propos des vice-présidents de la Banque Nationale, Jean Dagenais et Claude Breton, résument une bonne partie du message qu’ont livré les banquiers qui ont défilé au parlement (Nationale, Scotia, Royale et Montréal).
Quelques députés ont posé des questions plus pointues aux banquiers, même si le gouvernement voulait éviter que le tout ne se transforme en procès.
LA BANQUE ROYALE CONDAMNÉE
Le péquiste Jean-françois Lisée a fait référence au fait que la Banque Royale du Canada a dû payer récemment 35 millions de dollars aux autorités américaines après avoir orchestré un stratagème avec des filiales étrangères dans le but de diminuer le paiement d’impôts au Canada.
Il questionnait alors le directeur de l’association des banquiers canadiens, Éric Prud’homme. « Vous avez dit que les banques du Canada respectent inconditionnellement les lois du pays et celles des autres territoires […] [C’est] faux […] puisque la Banque Royale du Canada admet qu’elle n’a pas respecté la loi américaine », a dit M. Lisée, mettant en lumière la « contradiction ».
Il questionnait alors le directeur de l’association des banquiers canadiens, Éric Prud’homme. « Vous avez dit que les banques du Canada respectent inconditionnellement les lois du pays et celles des autres territoires […] [C’est] faux […] puisque la Banque Royale du Canada admet qu’elle n’a pas respecté la loi américaine », a dit M. Lisée, mettant en lumière la « contradiction ».
« On ne commente pas des cas spécifiques », a répondu M. Prud’homme.
Le député caquiste André Spénard a critiqué le fait que les banquiers nommaient les paradis fiscaux des « juridictions à faible taux d’imposition » et il a demandé: « Il y a 300 milliards de dollars dans les paradis fiscaux. J’imagine que cet argent transite par quelque part […] Quelle est l’implication de vos membres dans ces 300 milliards? »
Ce à quoi le représentant de l’association a répondu que les banques veulent s’assurer qu’elles sont concurrentielles sur le plan international, justifiant ainsi l’importance d’avoir des bureaux à l’étranger.
10 novembre 2015
Yvan Allaire et François Dauphin, Lesaffaires.com
Si les actionnaires pouvaient s’exprimer directement sur les programmes de rémunération, les conseils d’administration seraient-ils plus judicieux, plus modérés en matière de rémunération des dirigeants, plus à l’écoute des avis des investisseurs institutionnels. De prime abord, cela semble raisonnable, voire indéniable.
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5 novembre 2015
Didier Bert, Conseiller.ca
Soumis à des pressions importantes pour respecter des quotas de vente en constante augmentation, un conseiller a décidé de partager son malaise.
François*, un conseiller en services financiers qui compte plus de vingt ans d’expérience et reconnu pour son enthousiasme, parle d’une voix abattue. « Je compte les années avant la retraite, débute-t-il l’entrevue d’une voix monocorde. Depuis dix ans, nos objectifs n’arrêtent pas d’augmenter. »
17 septembre 2015
Université Laval
Présentation de M. Daniel Thouin, président du MÉDAC, dans le cadre du cours DRT-7022 — Gouvernance de l’entreprise, à l’Université Laval, le 17 septembre 2015.
Bombardier
Sylvain Larocque
La Presse Affaires, samedi 12 septembre 2015
Le 24 août dernier, la valeur de l’action de Bombardier a bien failli glisser sous le seuil psychologique de 1 $. Finalement, la chute s’est arrêtée à 1,03 $, un cours qu’on n’avait pas vu depuis plus de 24 ans. Alors que le titre amorce une remontée, petits actionnaires et spécialistes nous disent comment ils voient l’avenir de l’entreprise.
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L’Office d’investissement du régime de pension du Canada (OIRPC) @cppinvestments abandonne son objectif d’atteinte de la carboneutralité en 2050 (net zero), après seulement 3 ans, en l’annonçant dans la section FAQ de son site web. https://t.co/lxMT6ssnF1 https://t.co/1B2LZyT93y pic.twitter.com/ctU3MAF2rW
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 30, 2025
Des investisseurs institutionnels d’importance (950 milliard$ sous gestion) demandent que Musk travaille 40 h/sem. pour Tesla. Ils détiennent 0,25 % des actions de Tesla. https://t.co/ag87Tgkp7I
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 29, 2025
BlackRock parie sur l’intérêt des investisseurs pour le secteur de la défense (en Europe…) en constituant un FNB indiciel. https://t.co/QNey6GoRs2
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 29, 2025
« retirer des sommes de ses comptes de courtage imposables vers des [CELI] en générant ainsi artificiellement des pertes dans les premiers et des gains dans les seconds » — @lautorite https://t.co/gpPQdhi39s
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 29, 2025
« Le remplacement de Bruce Guerriero et de Daniel Rabinowicz est réclamé […] La suppression de la structure à deux catégories d’actions est aussi revendiquée » https://t.co/2C4FI4U2RX
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 23, 2025
Le nombre de propositions d’actionnaire concernant la gouvernance a diminué moins vite que les propositions d’actionnaire sur l’environnement, de 2018 à 2025, aux É.-U.-d’A., selon ISS. Dans l’ensemble, c’est un creux sur 8 ans. https://t.co/dAucnupAPw
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 23, 2025