Les actionnaires minoritaires s’expriment chez Bombardier, bien plus qu’on le pense à première vue…
Montréal, le 2 juin 2010 — Le MÉDAC défendait ce matin trois propositions à l’assemblée des actionnaires de Bombardier. Nous désirons attirer votre attention sur les résultats obtenus en regard du vote consultatif sur la rémunération des hauts dirigeants.
Rappelons que Bombardier est une entreprise avec actions multivotantes. La famille Bombardier/Beaudoin et la garde rapprochée contrôlent Bombardier par l’entremise de ses actions de catégorie A, chaque action lui conférant le droit d’exprimer dix voix. Ces actions représentent 68,8 % des droits de vote sur tous les titres en circulation. Pour ce qui est des actions subalternes de classe B qui peuvent être achetées par les actionnaires minoritaires, celles-ci comportent une seule voix et représente 31,2 % de l’ensemble des droits de vote.
on peut penser que ce pourcentage représente près de 48 % de ces actions, c’est-à-dire 15 % des voix obtenues pour notre proposition divisé par le pourcentage de l’ensemble des actions B (15 % /31,2 %). Ceci représente une augmentation par rapport à 2008, où nous avions obtenu 13 % ou 41,2 % sur l’ensemble des actions subalternes de catégorie B.
Le MÉDAC souhaite que l’entreprise Bombardier procède à l’implantation du vote consultatif dès 2011. En outre, pour bien souligner l’à-propos d’une pareille consultation, le MÉDAC saisit l’occasion de rappeler que Bombardier ne se conforme pas à une pratique de gouvernance reconnue qui demande, pour assurer l’indépendance du conseiller externe en ressources humaines, que ce dernier tire la majeure partie de ses honoraires de son mandat de conseil auprès du comité des ressources humaines.
Présentement, 10 % des honoraires du conseiller proviennent de son mandat auprès du comité des ressources humaines pour la rémunération des hauts dirigeants (335 400 $) et 90 % provient de mandats en matière d’évaluation actuarielle touchant les régimes de régime de retraite et les avantages sociaux (3 406 900 $). Cette concentration de mandats pourrait inciter un conseiller externe à être complaisant en regard de son mandat pour la rémunération des hauts dirigeants de manière à protéger les honoraires beaucoup plus élevés qu’il retire de son mandat d’évaluation actuarielle.
En terminant, le MÉDAC rappelle que la structure de rémunération peut influencer de manière importante l’orientation stratégique d’une organisation. Il est donc important que les actionnaires puissent s’exprimer officiellement sur ce sujet. Les questions de rémunération méritent une attention particulière de tous les actionnaires, car elles contribuent à façonner l’image récente et future de l’organisation dans laquelle ils investissent.
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Source : Normand Caron 514-286-1155
Commission pancanadienne des valeurs mobilières
La proximité des marchés : la clef d’un encadrement efficient
Montréal, le 13 mai 2010 — Le ministre des Finances du Québec annonçait en début de semaine la création d’une coalition pour contrer le projet du fédéral d’imposer une commission fédérale des valeurs mobilières au Canada. Le MÉDAC tient à réitérer son opposition à ce projet qui, s’il est adopté, créera un nouvel organisme incapable d’avoir la même sensibilité que l’AMF aux besoins et particularités des entreprises et des investisseurs québécois.
Chacun des organismes de réglementation actuels doit répondre à des enjeux différents. À titre d’exemple, le rapport SECOR mentionne les cas suivants : l’Alberta cherche à répondre aux besoins des émetteurs; la Colombie-Britannique vise à intervenir le moins possible en matière de gouvernance ou d’offres publiques; l’Ontario est très à l’écoute des besoins des banques et des grandes institutions financières et cherche à moduler ses propositions en fonction de leurs réactions potentielles et le Québec recherche l’équilibre entre la protection des investisseurs et le fonctionnement efficace du marché. À titre d’illustration, le Québec décidait, récemment, dans le cadre du règlement sur les obligations d’inscription des représentants, de maintenir l’obligation de participer au Fonds d’indemnisation des services financiers et de conserver l’obligation pour les représentants et les cabinets de souscrire à une police d’assurance responsabilité, ce qui est différent des autres provinces. Cette sensibilité au contexte québécois la conduisait à développer une approche qui a permis à Desjardins d’accéder efficacement à du financement visant à recapitaliser le groupe et à intervenir pour que des entreprises québécoises, telles Pages Jaunes ou encore Couche Tard, puissent exploiter les fenêtres de financement disponibles.
Ces quelques exemples illustrent bien l’importance d’organismes de réglementation près de leur marché. Le FMI, la Banque mondiale, l’OCDE placent tous, de plus, la réglementation en valeurs mobilières au Canada parmi les 4 et 5 meilleurs au monde.
Comme le disait le président du MÉDAC, Claude Béland : « Heureusement que le gouvernement du Québec a annoncé qu’il combattra — devant les tribunaux si nécessaire — cette proposition du gouvernement fédéral et que la communauté d’affaires québécoise se mobilise. Nous ne pouvons laisser à d’autres le soin de décider de la réglementation financière applicable au Québec. Il faut donner aux épargnants et investisseurs québécois la meilleure protection qui soit. Nous devons prendre notre destin financier en main. »
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Source : Le MÉDAC 514-286-1155
Vote sur la rémunération des hauts dirigeants de BCE
Le MÉDAC recommande de voter « contre »
Montréal, le 5 mai 2010 — Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) recommande à ses membres et aux actionnaires de BCE de voter « contre » le rapport sur la rémunération des hauts dirigeants de BCE, tel que présenté dans la circulaire de la direction.
La rémunération totale du président et chef de la direction a été au cours de la dernière année de 4,6 millions $ dont presque la moitié est constituée d’une prime annuelle à court terme versée sous forme d’unités d’actions différées, soit 2,2 millions $. Un tel montant de primes est surprenant et injustifié étant donné que :
- deux des trois principaux objectifs financiers ont été atteints de justesse;
- les produits d’exploitation sont quasi identiques à ceux de 2007;
- le bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires est très largement inférieur à celui de 2007, soit 1,631 millions $ en 2009 comparativement à 3 479 $ millions en 2007.
Compte tenu de l’accent mis sur la rémunération variable, nous sommes très préoccupés par l’absence de professionnels de gestion des risques dans l’évaluation des résultats menant à la fixation de la rémunération, laissant sans encadrement les possibilités de prise de risque excessive. Le manque d’une clause de récupération de la rémunération variable advenant une fraude ou un rapatriement d’états financiers est également une source de préoccupation dans un contexte qui gratifie autant la poursuite d’objectifs financiers à court et à moyen terme.
Nous nous expliquons mal un tel montant de primes annuelles dans un contexte où :
- les améliorations en regard des interruptions du service aux clients dans vos services de données de base et à large bande n’ont pas été plus substantielles;
- la réduction des pertes de lignes résidentielles par rapport à 2008 n’a pas été plus importante, secteur qui dégage des marges élevées;
- les parts du marché des grandes et moyennes entreprises ont à peine été préservées.
Nous sommes également surpris que les taux de satisfaction de la clientèle à l’égard des agents du service de dépannage et des techniciens des Services extérieurs ne soient pas supérieurs. Qu’est-ce que le conseil d’administration a donc voulu récompensé? N’est-ce pas le salaire de base qui devrait rétribuer un travail acceptable?
Toutefois, nous tenons à souligner l’accent mis par le programme de rémunération sur la reconnaissance de l’effort de groupe et non individuel, ce qui réduit l’écart de rémunération observée généralement entre la rémunération du plus haut dirigeant et celle de ses principaux collaborateurs et l’absence de recours aux options d’achat d’actions comme outil de rémunération au cours de 2009.
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Source : Normand Caron 514-286-1155
Vote consultatif sur la rémunération à l’Industrielle Alliance
Le MÉDAC recommande de voter « pour » une approche raisonnable de la rémunération
Montréal, le 28 avril 2010 — Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) recommande à ses membres et aux actionnaires de l’Industrielle Alliance de voter « pour » la politique de rémunération présentée dans la circulaire de la direction.
Nous nous réjouissons de constater que l’un des objectifs fondamentaux de cette politique de rémunération est la modération :
— le système de boni comporte un maximum sur les sommes qui peuvent être versées;
— le salaire de base représente un pourcentage acceptable de la rémunération totale (40 % pour le président);
— le comité des ressources humaines et de régie d’entreprise ne possède aucun pouvoir discrétionnaire pour ajuster la rémunération des dirigeants pour tenir compte d’événements particuliers.
Voilà un bon exemple d’une politique de la rémunération qui a le souci de la cohésion interne, de l’alignement des intérêts de la direction avec ceux des actionnaires et qui reflète bien la philosophie de l’entreprise. Ainsi, comme le disait son président dans une allocution prononcée en 2009, il faut examiner l’« équité interne. En ne comparant que les salaires des dirigeants entre eux, on a créé des écarts parfois difficiles à justifier entre les salaires des dirigeants et ceux de leurs employés ».
Par ailleurs, le ratio d’équité à l’Industrielle Alliance, soit le rapport de la rémunération du plus haut dirigeant et la rémunération moyenne d’un employé, est de l’ordre de 28 fois, cette estimation du MÉDAC ayant été validée auprès de l’entreprise. Un tel ratio est un bon reflet d’une approche responsable à l’établissement de la rémunération des hauts dirigeants et d’une reconnaissance de l’apport de tous les employés dans le succès de l’entreprise.
Toutefois, la politique de rémunération aurait avantage à inclure une clause de récupération en cas de fraude ou d’inconduite des dirigeants et à accorder une attention plus importante à la gestion des risques dans son évaluation de l’approche de rémunération.
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Source : Le MÉDAC 514-286-1155
Vote sur la rémunération des hauts dirigeants de ManuVie
Le MÉDAC recommande de voter « contre »
Montréal, le 28 avril 2010 — Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) recommande à ses membres et aux actionnaires de ManuVie de votre « contre » le rapport sur la rémunération des hauts dirigeants, tel que présenté dans la circulaire de la direction.
La rémunération totale du chef de la direction de 9,33 millions $ est injustifiée étant donné que l’institution financière a atteint de justesse la fourchette inférieure des objectifs pour le rendement des capitaux propres et le bénéfice net.
De plus, la structure de rémunération pour le chef de la direction est porteuse d’une incitation constante à la prise de risque et à la recherche du profit à court terme, car elle comporte une rétribution excessive en termes de bonification variable (88 % de la rémunération), une prime cible de 200 % à 350 % du salaire de base et une prime d’encouragement à long terme de 550 % du salaire de base. Il semble que le comité de rémunération n’ait pas tiré leçon des déboires de ManuVie liés à la gestion douteuse des risques en 2009. Il est désolant de constater que le conseil d’administration favorise une gestion téméraire de ManuVie au mépris des actionnaires et des épargnants.
Si quelques modifications ont été apportées à sa politique de rémunération :
— des dispositions de récupération à l’intention du président et chef de la direction, du chef des finances et du chef de l’exploitation à l’égard des attributions en espèces ou à base d’actions octroyées dans les deux ans précédent un redressement important des états financiers attribuable à l’inconduite du membre de la haute direction;
— l’imposition de plafonds limitant le versement des primes annuelles lorsque le bénéfice n’atteint pas les niveaux prescrits;
— ajout de nouvelles mesures d’évaluation pour les programmes de rémunération à court et à moyen terme reposant sur des priorités en matière de gestion des risques, de renforcement du capital de base et de composition d’un portefeuille de produits mieux équilibré;
elles ne changent pas sa philosophie de rémunération qui encourage une culture de vedettariat pour son président et chef de la direction au détriment d’une approche d’équipe. De plus, l’accent abusif mis sur la rémunération variable montre bien que l’approche de gestion de ManuVie n’a pas su tirer les leçons des maladresses passées.
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Source : Le MÉDAC 514-286-1155
Un projet de société à partager
Montréal, le 19 avril 2010 — Engagé dans la défense et la promotion des droits des épargnants et investisseurs depuis maintenant plus de quinze ans, le MÉDAC partagera avec le Groupe de travail sur la « littératie » financière sa lecture de la situation en regard de l’éducation financière des consommateurs de produits financiers au Québec. S’appuyant sur les constats suivants :
— La majorité des consommateurs de produits et services financiers ont des connaissances limitées en la matière. Or, ceci constitue un sérieux handicap, chacun dans sa vie de tous les jours étant confronté à des questions ou des sujets qui relèvent de la finance : le choix d’un produit financier pour payer ses études, pour acheter une maison, protéger sa famille, régler ses emprunts, effectuer des placements ou planifier sa retraite.
— La participation à des cours d’éducation financière incite les consommateurs à devenir davantage proactifs en révisant le mode de gestion de leur portefeuille de titres financiers et à réévaluer leur niveau de tolérance au risque
son président, Claude Béland, formulera les recommandations suivantes :
— la réintroduction des cours d’éducation financière au niveau secondaire au Québec;
— la mise en place d’une charte des droits et responsabilités de l’épargnant-investisseur faisant ressortir les obligations de formation de l’investisseur, mais également les obligations de l’industrie financière à donner une information complète et adaptée;
— l’engagement des gouvernements tant du Québec que d’Ottawa à promouvoir l’éducation financière. À cet égard, nous suggérons par exemple, la déduction des frais de formation en éducation financière contre les revenus de placement aux deux paliers gouvernementaux et la reconnaissance des cours d’éducation financière et de préparation financière à la retraite dans le cadre des investissements d’au moins 1 % de leur masse salariale que les employeurs québécois se doivent d’effectuer en vertu de la Loi favorisant le développement et la reconnaissance de la compétence de la main-d’œuvre.
Pour le MÉDAC, un tel projet d’accroître les compétences financières des Québécois doit être une cause rassembleuse et non-instigatrice de différends de juridiction constitutionnelle. Les stratégies et les actions doivent tenir compte des particularités de chacune des provinces. L’éducation financière est un enjeu de société dont l’objectif ultime est de faire émerger des générations de citoyens plus informés et avisés, des institutions financières davantage soucieuses d’offrir à leurs clients une information complète et rédigée en langage simple et clair et des gouvernements assumant leur part de responsabilité en adoptant des stratégies proactives de prévention. C’est une cause exigeant que nous mettions tous l’épaule à la roue, une cause à partager à tous les échelons de notre société.
Et de 3! Nous gagnons le vote sur le maintien — le retour… — des assemblées annuelles EN PERSONNE à la Banque canadienne impériale de commerce @cibc, après l’avoir gagné chez @metromonepicier et chez @AirCanada. Les assemblées des autres 🏦 sont en avril. https://t.co/CkJuNSvAKp pic.twitter.com/2HJusJaaDU
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 4, 2024
Après un appui substantiel des actionnaires de @CGI_Global_FR et la majorité des voies chez @metromonepicier, notre proposition exigeant le maintien — le retour! — des assemblées annuelles EN PERSONNE récolte plus de 80 % d’appui chez @AirCanada. https://t.co/Ah4II1E8Pn pic.twitter.com/YJKXnfuGYC
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 2, 2024
JPMorgan divulguera des données la concernant quant au poids de son implication dans les énergies « propres », en échange du retrait d’une proposition d’actionnaire des fonds contrôlés par le « NYC Comptroller » à ce sujet. [Texte de langue anglaise.] https://t.co/Y9c3uvj5b9
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) March 5, 2024
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) March 4, 2024
Nous réclamons le maintien des assemblées en personne EN PLUS des assemblées virtuelles. « Les autorités en valeurs mobilières [@ACVM_Nouvelles, y compris @lautorite] actualisent les indications sur la tenue d’assemblées d’actionnaires virtuelles » https://t.co/ZR1okBzrPj pic.twitter.com/zxhmUqRzX1
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 29, 2024
Le texte du fondateur du MÉDAC, Yves Michaud, dans le Vol. I, No. I du Jour en février 1974, il y a 50 ans. « le sang des pauvres doit arrêter de nourrir les grassouillets parasites qui nous dévorent. Nous nous y emploierons. Avec l'aide du monde ordinaire » pic.twitter.com/HGDeoXRcJQ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 29, 2024
La proposition d’actionnaire du MÉDAC réclamant le maintien (sinon le retour…) des assemblées annuelles EN PERSONNE (avec volet virtuel, au besoin…) a reçu 53 % d’appui à l’assemblée de metro inc. https://t.co/q3iginq34m https://t.co/h1382kE8l0
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 1, 2024
Le document des lignes directrices de @GlassLewis pour l’exercice du droit de vote aux assemblées d’actionnaire devant avoir lieu au pays en 2024 est paru en novembre. Cyber-risque, détention de titre par la direction et clauses de récupération (clawback). https://t.co/eUADLXm8wB
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Qu’est-ce que la population a à gagner de ce que @StatCan_fra cesse de produire ces tableaux? « Ces tableaux de données ne seront plus produits par Statistique Canada, puisque les données sont accessibles gratuitement auprès d'autres sources » https://t.co/Wt6GFErVar
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Changpeng Zhao, diplômé de @mcgillu et actionnaire majoritaire de @binance, doit rester aux É.-U. plutôt que de rentrer aux Émirats arabes unis en attente de représentations sur sentence après avoir plaidé coupable à des accusation de blanchiment d’argent. https://t.co/iSQ8JC9wp1
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Le bras droit de Buffett meurt à 99 ans. https://t.co/efQLaiuKPJ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 29, 2023
Presque 1 G$ de perte. O_O « Au cours du 3e trimestre, @TransMtn (@TransMtnFR) a comptabilisé une perte nette […] de 888,1 M$ sur la valeur comptable totale du goodwill lié à l’acquisition du réseau pipelinier Trans Mountain et du pipeline Puget […] » https://t.co/0FWXG8YQye
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 28, 2023
Série documentaire de @savoir_media sur l’économie et le monde financier, produite avec l’@IQPF : Format économique https://t.co/pP7r90q61x
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 15, 2023
.@Alstom veut se désendetter
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 15, 2023
Des « contrats… plombent le bilan… comme le programme Aventra, 443 trains destinés au Royaume-Uni et hérités du portefeuille de @Bombardier Transport racheté début 2021, et qui a pris un retard considérable. » https://t.co/o70y1k0vp5
Le S&P 500 a pris 6,8 % depuis le 27 octobre; le TSX 4,1 %. O_O https://t.co/oYGv9hQRNz pic.twitter.com/O8xbwtiLQo
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 10, 2023
« La sous-gouverneure principale de la @banqueducanada, Carolyn Rogers, a prévenu jeudi que les taux d’intérêt pourraient ne pas revenir aux bas niveaux auxquels les gens étaient habitués avant la pandémie » https://t.co/XCoN3HFyOc
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 9, 2023
Nos condoléances à la famille et aux proches de M. Bernard Lemaire. Le MÉDAC [@MEDACtionnaires] est actionnaire de @CascadesSD et le demeurera. https://t.co/HJxbYaVPjl https://t.co/pK33lw0FCq
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 9, 2023
Le Fédéral reconnaît l’indépendance des provinces quant au RPC. https://t.co/X65xaFcLbV
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 7, 2023
« L’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI) passe inaperçu auprès de nombreux professionnels. Le quart des participants (25 %) affirment ne pas connaître l’@CIRO_OCRI, et 57 % disent en avoir entendu parler vaguement. » https://t.co/UIjP0rbgVk
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 7, 2023
La @banqueducanada « souligne dans son dernier Rapport [sur la] politique monétaire que […] les indicateurs montrent que les tensions financières touchent principalement les ménages qui n’ont pas de prêt hypothécaire » https://t.co/v7QwVWLASc https://t.co/t90nGde0m0
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 2, 2023
« … ça doit être de l’investissement avec des bénéfices pour toutes les parties intéressées [parties prenantes]. » [traduction libre]
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 2, 2023
― Mark Bristow, PDG de Barrick Gold pic.twitter.com/IdPZzd1zw1
Tiff Macklem, gouverneur de la @banqueducanada à la radio de la @CBC, hier matin. [En langue anglaise.] https://t.co/zyUL9LxHRn
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 27, 2023
L’Organisme canadien de réglementation des investissements @CIRO_OCRI publie son Rapport sur la mise en application 2022-2023. https://t.co/5UILmaCpSY https://t.co/Ozlqy9xl4f
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 26, 2023
.@Glencore aurait certainement eu avantage à assumer pleinement sa responsabilité sociale d’entreprise avant d’en arriver là. « Une demande d’action collective [de plusieurs G$] contre la Fonderie Horne […] a été déposée ». https://t.co/CxWNNtOnHT
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 25, 2023
Les ACVM @ACVM_Nouvelles et l’OCRI @CIRO_OCRI sollicitent les commentaires sur les réformes relatives « à la structure du marché » proposées la Securities and Exchange Commission @SECGov aux États-Unis et de leur impact ici. https://t.co/64m0tgwcMH
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 20, 2023
La concentration du capital dans le S&P 500 @SPDJIndices soulève des questions.
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 20, 2023
« The "Magnificent Seven" Have Made the S&P 500 More Concentrated Than Ever. Historically, That's Bad News for Stocks. »
— @AMCScam, @MotleyFoolMoney https://t.co/xYVpboOy8y
Les entreprises « qui se dotent de politiques comptent davantage de femmes » que les autres.
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 19, 2023
— Louise Champoux-Paillé https://t.co/v3L2l1pgLS
“Le gouvernement a également désigné l’Ombudsman des services bancaires et d’investissement @Ombudsman_OBSI comme seul organisme chargé de gérer les plaintes du secteur bancaire. Ce changement entrera en vigueur le 1er novembre 2024…” Exit l’@adr_chambers https://t.co/wsTOaEx0ht
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 18, 2023
« Les Services de dépôt et de compensation CDS Inc. (CDS) sont une filiale de la Caisse canadienne de dépôt de valeurs limitée, une organisation sans but lucratif propriété du Groupe TMX @TMXGroup. » Depuis le site web de la @banqueducanada : https://t.co/mqC2z8L3Mx
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 10, 2023
« Évidemment, une assemblée virtuelle, ça comporte des avantages indéniables, a reconnu M. [@williegagnon du @MEDACtionnaires]. Mais, il n’y a absolument rien qui peut remplacer une assemblée en personne. » https://t.co/l9u6y9cVnw
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 9, 2023
« Questionné par [@williegagnon du @MEDACtionnaires], le fondateur […] de @CoucheTardQc, Alain Bouchard, a reconnu […] qu’il avait ‹ posé des questions là-dessus ›, mais qu’il ‹ n’avait malheureusement pas encore tous les détails devant lui ›. » https://t.co/obggsahSlX
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 9, 2023
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) August 22, 2023
Gensler donnait un cours ouvert au MIT à l’automne 2018 sur les « chaînes de blocs et l’argent » (blockchain and money). https://t.co/S4Gw7dAVkz
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 31, 2023
« explosé » #horne @Glencore https://t.co/J6Juo2f28d pic.twitter.com/Dk8RRiW42Z
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 27, 2023