Le 12 novembre 2013
Argent
L’intention de la Banque TD (TD) de revoir la rémunération de ses conseillers en placement fait bondir le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC), qui réclame rien de moins qu’un moratoire sur les changements de politiques.
Selon le MÉDAC, la TD a annoncé une modification en profondeur de la politique de rémunération de ses conseillers en placement qui va faire en sorte d’accrître la pression sur ses conseillers pour qu’ils augmentent leurs ventes.
Veuillez vous identifier ou vous inscrire pour lire la suite...
POUR DIFFUSION LE MARDI 3 DÉCEMBRE 2013
PROSPECTUS EN FRANÇAIS : QUÉBEC TRANCHE
Montréal (Québec), le mardi 3 décembre 2013 ‒ Dans le dossier de la langue des prospectus et autres documents d’information continue, la ministre responsable de la Charte de la langue française, Madame Diane De Courcy, a tranché en faveur de l’Association canadienne des juristes-traducteurs (ACJT) et de ses alliés.
En effet, dans une lettre datée du 6 novembre 2013 adressée à l’ACJT, la ministre déclare : « Le dynamisme et la compétitivité du secteur financier québécois sont tributaires de nombreux facteurs. Les exigences linguistiques posées par l’art. 40.1 de la Loi sur les valeurs mobilières du Québec comptent au nombre de ceux-ci, mais je ne crois pas qu’il faille leur attribuer tous les effets néfastes que certains leur prêtent ».
Elle ajoute que « cette disposition qui vise à accorder une meilleure protection aux investisseurs du Québec en faisant en sorte qu’ils disposent, en français, de l’information qui doit être rendue disponible lors d’un appel public à l’épargne au Québec, conserve toute sa pertinence ».
Le gouvernement précédent en était d’ailleurs arrivé à la même conclusion. Dans une lettre datée du 24 janvier 2012 adressée à l’ACJT, le ministre délégué aux Finances de l’époque, M. Alain Paquet, écrivait que « le gouvernement du Québec n’a pas l’intention de modifier les exigences linguistiques concernant le prospectus. Il est clair pour nous que les investisseurs québécois doivent avoir accès, en français, à l’information que les entreprises qui font un appel public à l’épargne au Québec doivent produire ».
Le président de l’ACJT, Me Louis Fortier, trad. a., se réjouit de cette confirmation : « Par cette décision, le gouvernement du Québec renforce les dispositions de la Charte de la langue française et protège le statut du français au Québec ainsi que les droits linguistiques des Québécois ».
Ainsi, le gouvernement empêche qu’il soit indûment porté atteinte à l’ensemble de l’industrie langagière du Québec, un atout indispensable qui permettra aux entreprises québécoises et canadiennes de mieux évoluer dans le contexte de postmondialisation du XXIe siècle.
Relativement au maintien du statu quo concernant les exigences linguistiques applicables aux prospectus, Me Fortier ajoute : « Nous sommes conscients de la baisse des placements effectués au Québec par les émetteurs canadiens. Il s’agit d’un problème très complexe. La relance par le gouvernement fédéral du projet de création d’une commission nationale des valeurs mobilières soulève elle aussi des enjeux d’ordre linguistique. C’est pourquoi nous invitons tous les intervenants, notamment l’AMF, l’ACCVM ainsi que les courtiers et les émetteurs, à se joindre à nous pour trouver, ensemble, une solution acceptable pour tous ».
‒ 30 ‒
Personne-ressource
Yannick Pourbaix, trad. a.
(514) 397-7560
Alliés de l’ACJT
L’ACJT profite de l’occasion pour remercier ses nombreux alliés qui l’ont aidée ou appuyée dans ses démarches, notamment le Barreau du Québec, l’Association du jeune Barreau de Montréal (AJBM), l’Ordre des comptables professionnels agréés du Québec (OCPAQ), l’Ordre des traducteurs, interprètes et terminologues agréés du Québec (OTTIAQ), l’Association des conseils en gestion linguistique (ACGL), l’Association des travailleurs autonomes et des micro-entreprises en services linguistiques (ATAMESL) ainsi que l’Association de l’industrie de la langue (AILIA).
À propos de l’ACJT
Fondée en 1988, l’Association canadienne des juristes-traducteurs (ACJT) vise à promouvoir la traduction juridique et le statut professionnel des juristes-traducteurs au Canada. Pour de plus amples renseignements sur l’ACJT : http://www.acjt.ca/
--
Lettre de Diane De Courcy à l’ACJT, 6 novembre 2013 ›››
Montreal, Canada
November 19, 2013
Ms. Elizabeth M. Murphy, Secretary,
U.S. Securities and Exchange Commission,
100 F Street, NE,
Washington, DC 20549-1090.
Re : File Number S7-07-13 - Comments on amendments to Item 402 of Regulation S-K to require Pay Ratio Disclosure
Dear Ms. Murphy,
Our organization, the MEDAC (Movement for educating and promoting shareholders’ rights and duties in Canada) wants to express strong support for the U.S. Securities and Exchange Commission’s proposal requiring disclosure of the CEO-to-worker pay ratio as mandated by Section 953(b) of the Dodd-Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act.
Firstly, few words about our Montreal-based organization : founded in 1995 by Yves Michaud, MEDAC is a non-profit organization. It is administered by a nine-member board of directors. In practical terms, we carry out our mission of advocating for shareholders every year by submitting shareholder proposals to Canadian corporations, mainly dealing with sound governance. Since MEDAC was formed, we have submitted more than 60 shareholder proposals to a dozen large corporations, making us the most active shareholder advocacy organization in Quebec and Canada. More than 50 % of all the proposals submitted in Canada in the last 15 years were from MEDAC.
In January of 2010, we published a study on the effectiveness of shareholder proposals entitled Les propositions d’actionnaires : pilier de saine gouvernance. Our conclusion was that shareholder proposals contribute to better corporate governance, as evidenced by Board Games. Nowadays, the following features are among the best practices of large Canadian and Quebec financial institutions : a separation of powers between the chair of the board and the CEO; disclosure of professional fees and independence of external auditors; and, something recently acquired, advisory voting on executive compensation. We advocate also these large corporations to publish annually the CEO-to-worker pay ratio.
As representative of 1200 long-term individual investors in publicly traded corporations, we believe that requiring disclosure of the CEO-to-worker pay ratio data will be beneficial for investors. Unless pay ratio is disclosed, it cannot be priced by investors on capital markets. For the reasons set forth below, the disclosure of pay ratio between CEO and worldwide employees are material to investors who invest in equity markets.
The ratio of CEO to worker pay at individual companies is material information for investors. High pay disparities inside a company can be detrimental to employee motivation and productivity, increase turnover and have a negative impact on a company’s overall performance. Moreover, disclosure of the median employee pay will help investors better understand companies’ overall compensation approach to developing their human capital. Investors will be able to use CEO-to-worker pay ratios (vertical comparison) in the context of companies’ internal compensation structures and thereby enable assessment of employment practices. This information will complement existing metrics such as peer benchmarking (horizontal comparison) for evaluating say-on-pay votes and other executive compensation issues.
In a long run, individual investors will benefit from this disclosure in proxy voting on executive compensation and in making investment decisions based on workforce considerations. The United States, the largest financial centre by market capitalisation, would establish itself as a leader over pay ratio disclosure and facilitate the adoption of such a disclosure in other jurisdictions where we invest, hopefully in Quebec and Canada. Given the flexibility that the Commission has provided to companies to comply with the proposed rule, the benefits for investors outweigh the costs of compliance.
Thank you for your consideration of our viewpoints.
The president
[Signed]
Daniel Thouin
CC. Autorité des marchés financiers (AMF)
Canadian securities administrators (CSA)
Montréal, le 19 novembre 2013
Madame Elizabeth M. Murphy, secrétaire
U.S. Securities and Exchange Commission
100 F Street, NE
Washington, DC 20549-1090
OBJET : No de dossier S7-07-13 – Observations sur des modifications de l’article 402 du règlement S-K de manière à rendre obligatoire la divulgation du ratio de rémunération
Madame,
Notre organisme, le MÉDAC (Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires) [au Canada], est très favorable à la proposition de la Securities and Exchange Commission des États-Unis d’exiger la divulgation du ratio de rémunération PDG-employé, comme le prévoit l’alinéa 953b) de la Dodd-Frank Wall Street Reform and Consumer Protection Act.
Tout d’abord, quelques mots sur notre organisme établi à Montréal. Fondé en 1995 par Yves Michaud, le MÉDAC est un organisme sans but lucratif qui est administré par un conseil d’administration de neuf membres. Concrètement, nous menons à bien notre mission de défense des actionnaires et épargnants en déposant annuellement, auprès des sociétés canadiennes, des propositions d’actionnaires portant essentiellement sur la saine gouvernance. Depuis sa création, le MÉDAC a présenté plus de 60 propositions d’actionnaires auprès d’une douzaine de grandes sociétés, ce qui fait du MÉDAC l’organisme de défense d’actionnaires le plus actif au Québec et au Canada. Plus de 50 % des propositions déposées au Canada au cours des 15 dernières années l’ont été par le MÉDAC.
En janvier 2010, nous avons publié une étude sur l’efficacité des propositions d’actionnaires intitulée : Les propositions d’actionnaires – Un droit des actionnaires et un pilier de saine gouvernance. Nous avons pu constater que les propositions d’actionnaires contribuent à améliorer la gouvernance des sociétés, comme en témoignent les rapports Board Games. Aujourd’hui, les caractéristiques suivantes font partie des pratiques exemplaires de nos grandes institutions financières au Québec et au Canada : la séparation des pouvoirs entre le président du conseil et le PDG; la divulgation des honoraires et l’indépendance des auditeurs externes; et, plus récemment, le vote consultatif sur la rémunération des hauts dirigeants. Par ailleurs, nous militons de façon constante pour que ces grandes sociétés publient annuellement le ratio de rémunération PDG-employé.
Représentant plus de 1 200 investisseurs individuels de placements à long terme de sociétés cotées en bourse, le MÉDAC croit que l’obligation de divulguer le rapport entre la rémunération du PDG et le salaire médian des employés sera bénéfique pour les investisseurs. Si le ratio n’est pas divulgué, les investisseurs ne pourront pas estimer sa valeur sur les marchés financiers. Pour les motifs ci-dessous, la divulgation du rapport entre la rémunération du PDG et les employés, à l’échelle mondiale, est primordiale pour les investisseurs qui placent de l’argent dans les marchés des actions.
Le ratio du salaire PDG-employé au sein de chaque entreprise est une information importante pour les investisseurs. Les inégalités salariales élevées au sein d’une entreprise peuvent freiner la motivation et entraver la productivité des employés, accroître le taux de roulement et nuire au rendement global de l’entreprise. Qui plus est, la divulgation du salaire médian des employés permettra aux investisseurs de mieux comprendre le régime de rémunération globale des sociétés en matière de développement de leur capital humain. Les investisseurs pourront utiliser les ratios de rémunération PDG-employé (comparaison verticale) dans le contexte des structures salariales internes des entreprises et seront donc en mesure d’évaluer leurs pratiques d’emploi. Les données qui en découleront seront complémentaires aux mesures existantes, notamment l’analyse comparative par des pairs (comparaison horizontale) visant à évaluer les votes consultatifs sur les salaires et d’autres éléments liés à la rémunération des dirigeants.
À long terme, cette divulgation sera avantageuse pour les investisseurs individuels en ce qui a trait aux votes par procuration sur la rémunération du personnel de direction et aux décisions d’investissement fondées sur des considérations qui touchent les effectifs. Les États-Unis, le plus grand centre financier selon la capitalisation boursière, s’imposeraient comme chef de file dans la divulgation du ratio de rémunération et favoriseraient l’adoption d’une telle pratique dans d’autres administrations où nos membres investissent, à savoir, avec un peu de chance, au Québec et au Canada. Étant donné la marge de manœuvre accordée par la Commission pour que les sociétés se conforment à la règle proposée, les avantages pour les investisseurs l’emportent sur les coûts liés à cette conformité.
Nous vous remercions de l’attention que vous porterez à notre point de vue. Veuillez agréer, Madame, l’expression de nos sentiments distingués.
Le président,
[signé]
Daniel Thouin
c. c. Autorité des marchés financiers (AMF)
Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM)
[Le texte original de langue anglaise fait foi.]
Commission des valeurs mobilières pancanadienne — Néfaste pour le Québec et les affaires
Les chefs d’entreprises québécoises rappellent leur vive opposition au projet fédéral
16 novembre 2013
Collectif d’auteurs, Le Devoir
En tant qu’entrepreneurs et dirigeants ayant bâti nos entreprises au Québec et choisi d’y maintenir nos sièges sociaux, nous sommes particulièrement préoccupés par la capacité d’y trouver l’accès aux capitaux ainsi que l’ensemble des services professionnels nécessaires pour poursuivre notre développement. La compétitivité de Montréal comme place financière est donc un enjeu qui nous tient à cœur et c’est pourquoi il y a trois ans, en appui à l’ensemble des partis politiques de l’Assemblée nationale, nous nous étions levés pour manifester notre opposition au projet de Commission des valeurs mobilières pancanadienne mis en avant par le gouvernement fédéral.
Or, malgré un jugement de la Cour suprême, prononcé en décembre 2011, ayant déclaré inconstitutionnel un précédent projet en ce sens, les partisans d’une commission des valeurs mobilières unique, menés par le gouvernement fédéral, sont récemment revenus à la charge. Si leur projet est quelque peu modifié sur la forme, les conséquences qui en découleraient seraient tout aussi néfastes pour les intérêts du Québec, de ses entreprises et de ses travailleurs et c’est pourquoi nous tenons à réitérer notre opposition envers cette démarche.
Cette opposition s’articule d’abord autour du fait que le régime actuel, qui repose sur un système de passeports, comporte déjà les avantages d’une commission centralisée, sans en avoir les inconvénients. Grâce au système de passeports et aux autres efforts d’harmonisation déployés au cours des dernières années, les émetteurs peuvent en effet lever du capital et remplir leurs obligations partout aux pays en traitant uniquement avec leur régulateur local, bénéficiant ainsi d’une approche spécifique à leur contexte régional.
Au contraire, une commission des valeurs mobilières pancanadienne aurait pour effet de compliquer la tâche des émetteurs québécois et de leurs courtiers, avocats et comptables qui se verraient confrontés au choix de traiter avec des représentants locaux sans véritable pouvoir décisionnel ou bien de traiter directement avec les véritables détenteurs de pouvoir, hors du Québec.
On se doute bien que c’est ainsi toute l’influence et l’expertise québécoises en matière de réglementation financière qui serait réduite. Avec le temps, toute l’expertise des grands bureaux d’avocats, comptables et fiscalistes spécialisés en valeurs mobilières risquerait de s’éroder, privant le Québec et les autres territoires de ces emplois. À terme, c’est le développement même de Montréal comme place financière qui s’en verrait compromis, réduisant d’autant les emplois dans ce secteur essentiel au développement de toutes les entreprises québécoises, une éventualité tout à fait inacceptable.
Alors que le secteur financier canadien se remet graduellement des secousses vécues au cours des dernières années, nous croyons qu’il est absolument imprudent d’ajouter une autre couche d’incertitude systémique sur les émetteurs québécois et canadiens. Les énergies et les ressources importantes qui seront mobilisées dans une démarche aussi contentieuse seraient à notre avis mieux investies dans la poursuite des efforts d’harmonisation et de collaboration entre les juridictions déjà en cours.
Ont signé ce texte : Louis Audet, président et chef de la direction, COGECO inc. et Cogeco Câble inc.; Alain Bouchard, président et chef de la direction et fondateur d’Alimentation Couche-Tard inc.; François J. Coutu, président et chef de la direction, Le Groupe Jean Coutu inc.; Pierre Karl Péladeau, président du conseil d’administration d’Hydro-Québec, vice-président du conseil Québecor inc., président du conseil Québecor Média inc. et Groupe TVA inc.; Pierre Pomerleau, président-directeur général, Pomerleau inc.; Éric R. La Flèche, président et chef de la direction, Metro inc.
Le Groupe TMX lance une nouvelle ressource pour la littératie financière
Le Centre de savoir sur les marchés du Groupe TMX ouvre aujourd’hui les marchés à la Bourse de Toronto
TORONTO, le 15 nov. 2013 /CNW/ — Le Groupe TMX a annoncé aujourd’hui qu’il avait conçu un outil pour la formation liée aux marchés financiers. Le Centre de savoir sur les marchés du Groupe TMX (www.tmx-edu.com) est un portail d’information Web gratuit qui aidera les Canadiens à approfondir leur connaissance des marchés.
Des représentants du gouvernement du Canada se joindront aujourd’hui à Tom Kloet, chef de la direction du Groupe TMX, pour ouvrir les marchés à la Bourse de Toronto à l’occasion de ce lancement.
Au cœur du Centre se trouve le simulateur de négociation TMX, qui permet aux investisseurs de faire l’expérience des marchés d’une façon originale et sans risque en négociant des actions et des options dans des conditions « réelles ». Grâce à ce simulateur, les utilisateurs n’ont qu’à se connecter et à créer un portefeuille virtuel pour commencer à mettre en œuvre différentes stratégies de négociation en fonction des données réelles du marché.
« Le Groupe TMX est fier de participer au Mois de la littératie financière et de contribuer à l’avancement de la formation des investisseurs au pays, indique Thomas Kloet, chef de la direction du Groupe TMX. L’objectif de ce nouveau centre est de fournir aux investisseurs et aux étudiants de tout niveau des outils d’apprentissage utiles et de rapprocher les Canadiens de l’action en leur permettant de négocier sur nos marchés et d’acquérir une expérience pratique et concrète. »
« La littératie financière est aussi importante que la capacité de lire : il s’agit d’une compétence fondamentale. Le lancement du Centre de savoir sur les marchés du Groupe TMX aujourd’hui constitue un parfait exemple de démarche permettant d’accroître la littératie financière des Canadiens, observe Lucie Tedesco, commissaire de l’Agence de la consommation en matière financière du Canada (ACFC). Ce lancement arrive à point nommé, au milieu du Mois de la littératie financière, au cours duquel des organisations des secteurs privé, public et associatif de partout au Canada organisent des activités, collaborent et présentent des outils en vue d’aider les Canadiens à améliorer leurs connaissances, leurs compétences et leur confiance en ce qui concerne la prise de décisions financières responsables. »
Le Groupe TMX est engagé dans diverses initiatives de formation partout au Canada, notamment le très populaire projet de formation sur les dérivés de la Bourse de Montréal, qui vise à mieux faire connaître la négociation d’options auprès des publics concernés. Cette année, le programme de partenariat universitaire a été élargi à des campus du Québec, de l’Ontario, du Nouveau-Brunswick et de la Nouvelle-Écosse; il compte maintenant 16 ambassadeurs étudiants qui en font la promotion et plus de 800 équipes qui prennent part à notre compétition entre écoles commerciales.
QUOI : Le Centre de savoir sur les marchés du Groupe TMX ouvre les marchés à la Bourse de Toronto
QUI : Mark Adler, député de York Centre
Lucie Tedesco, commissaire, ACFC
Tom Kloet, chef de la direction, Groupe TMXQUAND : Le vendredi 15 novembre 2013, 9 h (heure de l’Est)
OÙ : Centre de diffusion de la TMX
Tour de la Bourse
130, rue King Ouest
Pour l’ouverture de la séance : Les médias peuvent obtenir un signal en provenance du centre de contrôle télé (CCT) pour toutes les cérémonies d’ouverture des marchés. Le signal diffusé s’intitule TSX Transmit 2 (SD-SDI); il est produit à TMX et transmis en direct au CCT. Le client prend place pour la cérémonie d’ouverture des marchés vers 9 h 27 et la séance s’ouvre au son d’une sirène (selon l’usage en vigueur à la Bourse de Toronto).
Notre proposition d’actionnaire demandant le retour des assemblées annuelles EN PERSONNE chez @airtransat a été adoptée à majorité des voix, à l’instant. C’est aussi le cas chez @metromonepicier, @BanqueCIBC, @BMOfr et @AirCanada. https://t.co/0nZKtHBLyk
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 23, 2024
Résultats de vote POUR les propositions d’actionnaires soumises aux assemblées des banques qui prenaient fin vendredi. Voir : https://t.co/vSuAHe868v @BMOfr @scotiabank @BanqueCIBC @BLaurentienne @banquenationale @RBCfr @Banque_TD @bcgeu @NYCComptroller @investors4paris @Vancity pic.twitter.com/VfM1beQ7IQ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 22, 2024
Et de 3! Nous gagnons le vote sur le maintien — le retour… — des assemblées annuelles EN PERSONNE à la Banque canadienne impériale de commerce @cibc, après l’avoir gagné chez @metromonepicier et chez @AirCanada. Les assemblées des autres 🏦 sont en avril. https://t.co/CkJuNSvAKp pic.twitter.com/2HJusJaaDU
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 4, 2024
Après un appui substantiel des actionnaires de @CGI_Global_FR et la majorité des voies chez @metromonepicier, notre proposition exigeant le maintien — le retour! — des assemblées annuelles EN PERSONNE récolte plus de 80 % d’appui chez @AirCanada. https://t.co/Ah4II1E8Pn pic.twitter.com/YJKXnfuGYC
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 2, 2024
JPMorgan divulguera des données la concernant quant au poids de son implication dans les énergies « propres », en échange du retrait d’une proposition d’actionnaire des fonds contrôlés par le « NYC Comptroller » à ce sujet. [Texte de langue anglaise.] https://t.co/Y9c3uvj5b9
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) March 5, 2024
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) March 4, 2024Nous réclamons le maintien des assemblées en personne EN PLUS des assemblées virtuelles. « Les autorités en valeurs mobilières [@ACVM_Nouvelles, y compris @lautorite] actualisent les indications sur la tenue d’assemblées d’actionnaires virtuelles » https://t.co/ZR1okBzrPj pic.twitter.com/zxhmUqRzX1
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 29, 2024
Le texte du fondateur du MÉDAC, Yves Michaud, dans le Vol. I, No. I du Jour en février 1974, il y a 50 ans. « le sang des pauvres doit arrêter de nourrir les grassouillets parasites qui nous dévorent. Nous nous y emploierons. Avec l'aide du monde ordinaire » pic.twitter.com/HGDeoXRcJQ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 29, 2024
La proposition d’actionnaire du MÉDAC réclamant le maintien (sinon le retour…) des assemblées annuelles EN PERSONNE (avec volet virtuel, au besoin…) a reçu 53 % d’appui à l’assemblée de metro inc. https://t.co/q3iginq34m https://t.co/h1382kE8l0
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 1, 2024
Le document des lignes directrices de @GlassLewis pour l’exercice du droit de vote aux assemblées d’actionnaire devant avoir lieu au pays en 2024 est paru en novembre. Cyber-risque, détention de titre par la direction et clauses de récupération (clawback). https://t.co/eUADLXm8wB
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Qu’est-ce que la population a à gagner de ce que @StatCan_fra cesse de produire ces tableaux? « Ces tableaux de données ne seront plus produits par Statistique Canada, puisque les données sont accessibles gratuitement auprès d'autres sources » https://t.co/Wt6GFErVar
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Changpeng Zhao, diplômé de @mcgillu et actionnaire majoritaire de @binance, doit rester aux É.-U. plutôt que de rentrer aux Émirats arabes unis en attente de représentations sur sentence après avoir plaidé coupable à des accusation de blanchiment d’argent. https://t.co/iSQ8JC9wp1
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Le bras droit de Buffett meurt à 99 ans. https://t.co/efQLaiuKPJ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 29, 2023
Presque 1 G$ de perte. O_O « Au cours du 3e trimestre, @TransMtn (@TransMtnFR) a comptabilisé une perte nette […] de 888,1 M$ sur la valeur comptable totale du goodwill lié à l’acquisition du réseau pipelinier Trans Mountain et du pipeline Puget […] » https://t.co/0FWXG8YQye
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 28, 2023
Série documentaire de @savoir_media sur l’économie et le monde financier, produite avec l’@IQPF : Format économique https://t.co/pP7r90q61x
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 15, 2023
.@Alstom veut se désendetter
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 15, 2023
Des « contrats… plombent le bilan… comme le programme Aventra, 443 trains destinés au Royaume-Uni et hérités du portefeuille de @Bombardier Transport racheté début 2021, et qui a pris un retard considérable. » https://t.co/o70y1k0vp5
Le S&P 500 a pris 6,8 % depuis le 27 octobre; le TSX 4,1 %. O_O https://t.co/oYGv9hQRNz pic.twitter.com/O8xbwtiLQo
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 10, 2023
« La sous-gouverneure principale de la @banqueducanada, Carolyn Rogers, a prévenu jeudi que les taux d’intérêt pourraient ne pas revenir aux bas niveaux auxquels les gens étaient habitués avant la pandémie » https://t.co/XCoN3HFyOc
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 9, 2023
Nos condoléances à la famille et aux proches de M. Bernard Lemaire. Le MÉDAC [@MEDACtionnaires] est actionnaire de @CascadesSD et le demeurera. https://t.co/HJxbYaVPjl https://t.co/pK33lw0FCq
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 9, 2023
Le Fédéral reconnaît l’indépendance des provinces quant au RPC. https://t.co/X65xaFcLbV
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 7, 2023
« L’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI) passe inaperçu auprès de nombreux professionnels. Le quart des participants (25 %) affirment ne pas connaître l’@CIRO_OCRI, et 57 % disent en avoir entendu parler vaguement. » https://t.co/UIjP0rbgVk
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 7, 2023
La @banqueducanada « souligne dans son dernier Rapport [sur la] politique monétaire que […] les indicateurs montrent que les tensions financières touchent principalement les ménages qui n’ont pas de prêt hypothécaire » https://t.co/v7QwVWLASc https://t.co/t90nGde0m0
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 2, 2023
« … ça doit être de l’investissement avec des bénéfices pour toutes les parties intéressées [parties prenantes]. » [traduction libre]
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 2, 2023
― Mark Bristow, PDG de Barrick Gold pic.twitter.com/IdPZzd1zw1
Tiff Macklem, gouverneur de la @banqueducanada à la radio de la @CBC, hier matin. [En langue anglaise.] https://t.co/zyUL9LxHRn
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 27, 2023
L’Organisme canadien de réglementation des investissements @CIRO_OCRI publie son Rapport sur la mise en application 2022-2023. https://t.co/5UILmaCpSY https://t.co/Ozlqy9xl4f
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 26, 2023
.@Glencore aurait certainement eu avantage à assumer pleinement sa responsabilité sociale d’entreprise avant d’en arriver là. « Une demande d’action collective [de plusieurs G$] contre la Fonderie Horne […] a été déposée ». https://t.co/CxWNNtOnHT
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 25, 2023
Les ACVM @ACVM_Nouvelles et l’OCRI @CIRO_OCRI sollicitent les commentaires sur les réformes relatives « à la structure du marché » proposées la Securities and Exchange Commission @SECGov aux États-Unis et de leur impact ici. https://t.co/64m0tgwcMH
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 20, 2023
La concentration du capital dans le S&P 500 @SPDJIndices soulève des questions.
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 20, 2023
« The "Magnificent Seven" Have Made the S&P 500 More Concentrated Than Ever. Historically, That's Bad News for Stocks. »
— @AMCScam, @MotleyFoolMoney https://t.co/xYVpboOy8y
Les entreprises « qui se dotent de politiques comptent davantage de femmes » que les autres.
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 19, 2023
— Louise Champoux-Paillé https://t.co/v3L2l1pgLS
“Le gouvernement a également désigné l’Ombudsman des services bancaires et d’investissement @Ombudsman_OBSI comme seul organisme chargé de gérer les plaintes du secteur bancaire. Ce changement entrera en vigueur le 1er novembre 2024…” Exit l’@adr_chambers https://t.co/wsTOaEx0ht
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 18, 2023
« Les Services de dépôt et de compensation CDS Inc. (CDS) sont une filiale de la Caisse canadienne de dépôt de valeurs limitée, une organisation sans but lucratif propriété du Groupe TMX @TMXGroup. » Depuis le site web de la @banqueducanada : https://t.co/mqC2z8L3Mx
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 10, 2023
« Évidemment, une assemblée virtuelle, ça comporte des avantages indéniables, a reconnu M. [@williegagnon du @MEDACtionnaires]. Mais, il n’y a absolument rien qui peut remplacer une assemblée en personne. » https://t.co/l9u6y9cVnw
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 9, 2023
« Questionné par [@williegagnon du @MEDACtionnaires], le fondateur […] de @CoucheTardQc, Alain Bouchard, a reconnu […] qu’il avait ‹ posé des questions là-dessus ›, mais qu’il ‹ n’avait malheureusement pas encore tous les détails devant lui ›. » https://t.co/obggsahSlX
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 9, 2023
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) August 22, 2023
Gensler donnait un cours ouvert au MIT à l’automne 2018 sur les « chaînes de blocs et l’argent » (blockchain and money). https://t.co/S4Gw7dAVkz
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 31, 2023
« explosé » #horne @Glencore https://t.co/J6Juo2f28d pic.twitter.com/Dk8RRiW42Z
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 27, 2023