Le MÉDAC se fait couper les vivres par l’AMF
2011-05-11
Jean-François Cloutier, Argent
L’Autorité des marchés financiers a exclu le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires de la liste des organismes qu’elle subventionne en 2011, ce qui a pour effet d’amputer de 80 % son budget consacré à l’éducation et de 50 % son budget d’opération. Claude Béland, président du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires. Photo : Agence QMI
Cette situation est vertement décriée par l’organisme, qui s’inquiète des conséquences sur l’éducation des petits actionnaires au Québec. Bon an, mal an, le MÉDAC initie environ 200 petits épargnants aux rouages du monde financier, tout en intervenant fréquemment sur la place publique et dans les assemblées d’actionnaires sur des questions de gouvernance.
En entrevue à Argent, le président du MÉDAC, Claude Béland a dit trouver étrange que l’AMF ait fait passer de 125 000 $ à 25 000 $ sa contribution annuelle au MÉDAC, alors qu’elle a trouvé 375 000 $ sur trois ans pour commanditer la Conférence de Montréal, un événement de trois jours en juin où des leaders internationaux prennent la parole, et dont le principal partenaire privé est Power Corporation.
« La contribution de l’AMF au MÉDAC, ce n’était presque rien dans leur budget et ils décident de nous la retirer », a déploré M. Béland.
Le porte-parole de l’AMF, Sylvain Théberge, a expliqué la décision de l’AMF par un souci de renouvellement des projets éducatifs soutenus par l’organisme. M. Théberge a mentionné que l’AMF accordait environ 800 000 $ par année à l’éducation et qu’elle devait choisir parmi de nombreux projets intéressants. « Seulement 13 projets sur 33 ont été retenus cette année. Le MÉDAC a peut-être fait l’erreur de penser que notre financement était acquis pour toujours », a-t-il dit.
M. Théberge a par ailleurs mentionné que la commandite de 375 000 $ à la Conférence de Montréal provenait d’une enveloppe différente et contribuait au rayonnement de la ville à l’international.
Créé en 1995 par Yves Michaud, surnommé le Robin des banques, le MÉDAC a permis de faire des gains majeurs en matière de gouvernance au fil des années.
En 2009, le MÉDAC a obtenu un droit de parole des actionnaires (say on pay) sur la rémunération des hauts dirigeants dans toutes les grandes banques canadiennes et chez un certain nombre d’autres poids lourds financiers canadiens.
Le MÉDAC a également fait campagne pour que les grandes entreprises canadiennes séparent les fonctions de PDG de celles de président du conseil d’administration, une politique aujourd’hui appliquée par 85 % d’entre elles.
L’organisme est depuis longtemps engagé dans un bras de fer juridique avec Power Corporation afin que l’entreprise divulgue les états financiers de sa filiale Gesca, propriétaire notamment de La Presse.
Communiqué
Lancement de la campagne Échec aux paradis fiscaux
Le ministre des Finances du Québec recevra du courrier
Montréal, le 28 avril 2011 – Plusieurs organisations syndicales, étudiantes et civiles ont lancé ce matin à Montréal une campagne pour sensibiliser la population québécoise à l’évasion fiscale. Le groupe Échec aux paradis fiscaux invite les citoyens à transmettre une carte postale ou virtuelle au ministre des Finances, Raymond Bachand, pour que ce dernier mette fin à cette injustice et agisse concrètement. « Alors que, cette année encore, des entreprises et des personnes fortunées réussiront à éviter de payer leur juste part d’impôt grâce aux paradis fiscaux, la plupart des autres contribuables québécois verseront plus que leur dû en impôt provincial pour compenser les sommes escamotées. C’est honteux et le ministre des Finances doit mettre fin à cette pratique », lance Claude Vaillancourt, porte-parole du groupe Échec aux paradis fiscaux.
Les faits
Le 5 janvier 2010, le ministre canadien du Revenu, Jean-Pierre Blackburn, déclarait que les Canadiens avaient déposé dans les paradis fiscaux des sommes totalisant 146 milliards de dollars en 2009, une augmentation substantielle par rapport aux 88 milliards de dollars en 2003. En 2000, selon la vérificatrice générale du Canada, 1,5 milliard de dollars ont ainsi échappé au fisc grâce à la seule entente d’amnistie fiscale avec la Barbade. À combien se chiffrent les sommes supplémentaires échappant au fisc par l’entremise d’autres paradis fiscaux comme les Îles Caïman, le Panama, les Bahamas, la Suisse? On ne le sait pas. Par contre, on sait que l’existence des paradis fiscaux ne relève pas de la fatalité, mais bien du laisser-faire des gouvernements, voire de leur complicité. »
Les tricheries fiscales telles que l’évasion fiscale, les planifications fiscales agressives et les paradis fiscaux font perdre des milliards de dollars en revenus aux États. Les gouvernements du Québec et du Canada, rappelle le groupe Échec aux paradis fiscaux, font le choix politique de ne pas récupérer ces milliards de dollars en impôts, alors que ces sommes sont nécessaires pour financer leurs programmes sociaux. Ils préfèrent s’attaquer à la petite criminalité, comme celle du travail au noir, plutôt qu’à la grande criminalité, telle que l’évasion fiscale des plus riches.
« L’existence de paradis fiscaux est particulièrement choquante et inéquitable aux yeux des contribuables de la classe moyenne. Nos gouvernements, très influencés par le milieu des banques et de la finance, permettent aux mieux nantis de mettre à l’abri du fisc une partie de leur richesse et, par le fait même, de devenir de plus en plus riches. La population, qui a elle-même contribué à la création de cette richesse, se retrouve ainsi à payer plus que sa part pour compenser une partie des sommes soustraites par les plus riches et les entreprises », rappelle Claude Vaillancourt d’ATTAC-Québec.
Une réponse au sous-financement des services publics
Selon le regroupement, une partie de la solution au manque de ressources financières des États réside dans l’abolition, au Canada et dans les provinces, de toutes les ententes qui permettent l’existence des paradis fiscaux ou d’autres formes de tricheries qui s’y apparentent.
« Les gouvernements du Québec et du Canada s’acharnent à convaincre les citoyens qu’ils n’ont plus les moyens de financer les programmes sociaux créés dans les années 1960 et 1970. Selon nous, si nous en sommes rendus là, c’est principalement parce que l’État s’est privé de très importantes sources de revenus, entre autres, en permettant l’existence des paradis fiscaux. Les programmes sociaux, rappelons-le, ont été créés pour réduire les écarts entre les riches et les pauvres. Diminuer ou abolir ces programmes ne fera qu’accélérer la croissance des écarts de revenus, ce qui est socialement très malsain », explique Claude Vaillancourt d’ATTAC-Québec.
Des cartes postales pour Raymond Bachand
Le groupe Échec aux paradis fiscaux invite les citoyennes et les citoyens québécois à agir en envoyant une carte postale au ministre Raymond Bachand en se rendant à l’adresse suivante : www.echecparadisfiscaux.ca. Ceux qui le désirent peuvent aussi appuyer la campagne mondiale « Stop paradis fiscaux », destinée aux dirigeants du G20 :
Des membres du groupe Échec aux paradis fiscaux feront une distribution de cartes postales au métro Berri-UQAM à midi. En soirée, ATTAC-Québec organise une conférence publique sur les paradis fiscaux au Pavillon des sciences de l’UQAM où, entre autres, M. Claude Béland, président du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC), prendra la parole.
Le groupe Échec aux paradis fiscaux est composé des organisations suivantes : Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS), Association québécoise pour la taxation des transactions financières et pour l’action citoyenne (ATTAC-Québec), Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ), Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ), Fédération interprofessionnelle de la santé du Québec (FIQ), Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC), Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ), Syndicat de professionnelles et professionnels du gouvernement du Québec (SPGQ), Union des consommateurs.
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Information
Marjolaine Perreault, CSQ 514-235-5082
Francis Boucher, APTS 514-609-2906
ATTAC-Québec 514-279-7364
Mathieu Morin, FECQ 514-554-0576
Mathieu Le Blanc, FEUQ 514-609-3380
Sandra Gagné, FIQ 514-796-5093
Normand Caron, MÉDAC 514-286-1155
Éric Lévesque, SFPQ 418-564-4150
Patrick Albert, SPGQ 418-570-5817
Valeurs mobilières : gros revers pour le projet de commission unique
31 mars 2011
Martin Vallières, La Presse
La Cour d’appel du Québec juge anticonstitutionnel le projet de commission nationale des valeurs mobilières dont le gouvernement fédéral et celui de l’Ontario font la promotion.
(Montréal) Le projet fédéral d’une commission unique de valeurs mobilières qui supplanterait les autorités provinciales subit un autre gros revers juridique quelques semaines après le dernier.
Après la Cour d’appel de l’Alberta, qui l’a déclaré anticonstitutionnel au début de mars, c’est au tour de la Cour d’appel du Québec de juger aussi le projet fédéral contraire aux juridictions législatives que lui accorde la Constitution canadienne.
Cette décision du plus haut tribunal québécois est sortie en fin d’après-midi hier, en suivi des trois jours d’audience qui avaient été tenus à la mi-janvier par cinq juges.
Mais, pour l’instant, l’un des opposants au projet fédéral qui seront entendus en Cour suprême, le président du MÉDAC, Claude Béland, était très satisfait et encouragé même par le jugement rendu par la Cour d’appel du Québec.
« Après le jugement de la Cour albertaine, c’est maintenant deux à zéro en faveur des provinces et contre le projet fédéral », a indiqué cet ex-président du Mouvement Desjardins.
« Et quand on considère les motifs constitutionnels contenus dans ces jugements, je crois que ça sera difficile sinon gênant pour la Cour suprême d’aller dans un sens contraire aux deux cours d’appel. »
Devant la Cour suprême, le MÉDAC concentrera son intervention sur les impacts négatifs sur les particuliers investisseurs et les PME en Bourse du remplacement des autorités provinciales actuelles par une commission unique sur direction fédérale.
« Ce projet fédéral risque de provoquer une forte dilution des intérêts des PME en Bourse. Quant aux petits investisseurs, ils risquent de perdre cette importante proximité des régulateurs financiers pour faire valoir leurs intérêts », selon M. Béland.
Cela dit, le président du MÉDAC a admis une certaine appréhension envers l’opinion juridique attendue de la Cour suprême, si elle décide de se prononcer comme « un jugement à la Salomon ».
« La Cour suprême pourrait autoriser le projet fédéral tout en laissant aux provinces la possibilité de s’en abstenir, et de conserver leurs commissions provinciales », a suggéré Claude Béland.
« Dans un tel cas, on se retrouverait avec une nouvelle commission fédérale avec quelques provinces, dont l’Ontario, et les commissions des provinces dissidentes comme le Québec. »
Le Groupe de travail présente la toute première stratégie nationale conçue pour améliorer la « littératie* » financière des Canadiens
Le rapport final expose un plan d’action concret, réalisable et abordable
Ottawa, le 9 février 2011 — Le Groupe de travail sur la « littératie* » financière du Canada a rendu public aujourd’hui son rapport au ministre fédéral des Finances, dans lequel il recommande de mettre en place sans délai une stratégie nationale destinée à renforcer la « littératie* » financière des Canadiens.
« La ‹ littératie* › financière revêt une importance cruciale pour la prospérité des Canadiens et du pays, a déclaré Donald A. Stewart, le président du Groupe de travail. En accroissant leurs connaissances, leurs compétences et leur confiance en soi en matière financière, les Canadiens pourront prendre des décisions responsables, réaliser leurs objectifs personnels, améliorer leur qualité de vie et renforcer la compétitivité du Canada. »
Le plan d’action recommandé par le Groupe de travail reflète les points de vue et les priorités de la population. Il s’agit d’un plan concret, réalisable et abordable, qui repose sur cinq piliers prioritaires : responsabilité partagée, leadership et collaboration, apprentissage continu, prestation et promotion de la « littératie* » financière, et responsabilisation. Le rapport présente 30 recommandations détaillées, conçues pour répondre aux différents besoins des Canadiens en préconisant l’enseignement formel en classe, l’intégration de la « littératie* » financière aux programmes du gouvernement fédéral, la création d’un site Web centralisé sur la « littératie* » financière, la diffusion de messages clairs et la sensibilisation du public. Un processus continu d’évaluation assurera la reddition de comptes au Parlement.
« La réalisation de progrès véritables nécessitera les efforts concertés et la collaboration de tous les acteurs, a ajouté le vice-président du Groupe de travail, L. Jacques Ménard. Cela comprend non seulement les Canadiennes et les Canadiens, les différents paliers de gouvernement, les petites organisations sans but lucratif qui aident les immigrants à s’intégrer, les fournisseurs de services financiers et les entreprises actives dans tous les secteurs de l’économie canadienne, mais bien d’autres encore. Le plan s’appuie d’ailleurs sur le travail de ‹ littératie* › financière déjà amorcé par un grand nombre de groupes et de particuliers. »
Les membres du Groupe de travail se sont réunis à plusieurs reprises et ont tenu des téléconférences à intervalles réguliers pour mettre au point la stratégie énoncée dans le rapport. En plus de nouvelles recherches approfondies au Canada ainsi qu’une étude des pratiques exemplaires observées sur la scène internationale, les membres du Groupe de travail ont publié un document de consultation détaillé et mené pendant 12 semaines une série de consultations publiques en se répartissant en petites équipes qui se sont rendues dans chaque province et chaque territoire. Le Groupe de travail a pu ainsi s’assurer que les recommandations reflètent les points de vue, les valeurs et les expériences de tous les secteurs de la population. Le Groupe de travail a rencontré plus de 170 particuliers et organisations, et reçu plus de 300 mémoires.
On peut consulter le rapport final à l’adresse www.litteratiefinanciereaucanada.com
Contexte
Dans le budget de 2009, le ministre des Finances fédéral a annoncé son intention de mettre sur pied un groupe de travail national sur la « littératie* » financière. Ce groupe serait chargé de fournir au ministre des Finances des avis et des recommandations qui formeraient la base d’une stratégie nationale visant à renforcer la « littératie* » financière des Canadiens. Le Groupe de travail sur la « littératie* » financière, qui a été créé en juin 2009, se compose de 13 membres issus des milieux d’affaires, du secteur de l’enseignement, d’organisations communautaires et du milieu universitaire.
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Renseignements :
John Kane
Conseiller principal en communications
Secrétariat du Groupe de travail sur la « littératie* » financière
613-960-0787
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Document du Rapport au format *.html ›››
Financial Crisis Was Avoidable, Inquiry Finds
The commission’s report finds fault with two Fed chairmen : Alan Greenspan, right, a skeptic of regulation who led the central bank as the housing bubble expanded, and his successor, Ben S. Bernanke, who did not foresee the crisis but then played a crucial role in the response to it.
25 janvier 2011
Sewell Chan, le New York Times
WASHINGTON — The 2008 financial crisis was an “avoidable” disaster caused by widespread failures in government regulation, corporate mismanagement and heedless risk-taking by Wall Street, according to the conclusions of a federal inquiry.
The commission that investigated the crisis casts a wide net of blame, faulting two administrations, the Federal Reserve and other regulators for permitting a calamitous concoction : shoddy mortgage lending, the excessive packaging and sale of loans to investors and risky bets on securities backed by the loans.
“The greatest tragedy would be to accept the refrain that no one could have seen this coming and thus nothing could have been done,” the panel wrote in the report’s conclusions, which were read by The New York Times. “If we accept this notion, it will happen again.”
While the panel, the Financial Crisis Inquiry Commission, accuses several financial institutions of greed, ineptitude or both, some of its gravest conclusions concern government failings, with embarrassing implications for both parties. But the panel was itself divided along partisan lines, which could blunt the impact of its findings.
Many of the conclusions have been widely described, but the synthesis of interviews, documents and testimony, along with its government imprimatur, give the report — to be released on Thursday as a 576-page book — a conclusive sweep and authority.
The commission held 19 days of hearings and interviews with more than 700 witnesses; it has pledged to release a trove of transcripts and other raw material online.
Of the 10 commission members, the six appointed by Democrats endorsed the final report. Three Republican members have prepared a dissent focusing on a narrower set of causes; a fourth Republican, Peter J. Wallison, has his own dissent, calling policies to promote homeownership the major culprit. The panel was hobbled repeatedly by internal divisions and staff turnover.
The majority report finds fault with two Fed chairmen : Alan Greenspan, who led the central bank as the housing bubble expanded, and his successor, Ben S. Bernanke, who did not foresee the crisis but played a crucial role in the response. It criticizes Mr. Greenspan for advocating deregulation and cites a “pivotal failure to stem the flow of toxic mortgages” under his leadership as a “prime example” of negligence.
It also criticizes the Bush administration’s “inconsistent response” to the crisis — allowing Lehman Brothers to collapse in September 2008 after earlier bailing out another bank, Bear Stearns, with Fed help — as having “added to the uncertainty and panic in the financial markets.”
Like Mr. Bernanke, Mr. Bush’s Treasury secretary, Henry M. Paulson Jr., predicted in 2007 — wrongly, it turned out — that the subprime collapse would be contained, the report notes.
Democrats also come under fire. The decision in 2000 to shield the exotic financial instruments known as over-the-counter derivatives from regulation, made during the last year of President Bill Clinton’s term, is called “a key turning point in the march toward the financial crisis.”
Timothy F. Geithner, who was president of the Federal Reserve Bank of New York during the crisis and is now the Treasury secretary, was not unscathed; the report finds that the New York Fed missed signs of trouble at Citigroup and Lehman, though it did not have the main responsibility for overseeing them.
Former and current officials named in the report, as well as financial institutions, declined Tuesday to comment before the report was released.
The report could reignite debate over the influence of Wall Street; it says regulators “lacked the political will” to scrutinize and hold accountable the institutions they were supposed to oversee. The financial industry spent $2.7 billion on lobbying from 1999 to 2008, while individuals and committees affiliated with it made more than $1 billion in campaign contributions.
The report does knock down — at least partly — several early theories for the financial crisis. It says the low interest rates brought about by the Fed after the 2001 recession; Fannie Mae and Freddie Mac, the mortgage finance giants; and the “aggressive homeownership goals” set by the government as part of a “philosophy of opportunity” were not major culprits.
On the other hand, the report is harsh on regulators. It finds that the Securities and Exchange Commission failed to require big banks to hold more capital to cushion potential losses and halt risky practices, and that the Fed “neglected its mission.”
It says the Office of the Comptroller of the Currency, which regulates some banks, and the Office of Thrift Supervision, which oversees savings and loans, blocked states from curbing abuses because they were “caught up in turf wars.”
“The crisis was the result of human action and inaction, not of Mother Nature or computer models gone haywire,” the report states. “The captains of finance and the public stewards of our financial system ignored warnings and failed to question, understand and manage evolving risks within a system essential to the well-being of the American public. Theirs was a big miss, not a stumble.”
The report’s implications may be felt more in the political realm than in public policy. The Dodd-Frank law overhauling the regulation of Wall Street, signed in July, took as its premise the same regulatory deficiencies cited by the commission. But the report is sure to be a factor in the debate over the future of Fannie and Freddie, which have been run by the government since 2008.
Though the report documents questionable practices by mortgage lenders and careless betting by banks, one striking finding is its portrayal of incompetence.
It quotes Citigroup executives conceding that they paid little attention to mortgage-related risks. Executives at the American International Group were found to have been blind to its $79 billion exposure to credit-default swaps, a kind of insurance that was sold to investors seeking protection against a drop in the value of securities backed by home loans. At Merrill Lynch, managers were surprised when seemingly secure mortgage investments suddenly suffered huge losses.
By one measure, for about every $40 in assets, the nation’s five largest investment banks had only $1 in capital to cover losses, meaning that a 3 percent drop in asset values could have wiped out the firm. The banks hid their excessive leverage using derivatives, off-balance-sheet entities and other devices, the report found. The speculative binge was abetted by a giant “shadow banking system” in which the banks relied heavily on short-term debt.
“When the housing and mortgage markets cratered, the lack of transparency, the extraordinary debt loads, the short-term loans and the risky assets all came home to roost,” the report found. “What resulted was panic. We had reaped what we had sown.”
The report, which was heavily shaped by the commission’s chairman, Phil Angelides, is dotted with literary flourishes. It calls credit-rating agencies “cogs in the wheel of financial destruction.” Paraphrasing Shakespeare’s “Julius Caesar,” it states, “The fault lies not in the stars, but in us.”
Of the banks that bought, created, packaged and sold trillions of dollars in mortgage-related securities, it says : “Like Icarus, they never feared flying ever closer to the sun.” A version of this article appeared in print on January 26, 2011, on page A1 of the New York edition.
L’après-Norbourg inquiète le Robin des banques
24 janvier 2011
Jean-François Cloutier, Agence QMI
L’annonce d’un projet de fonds d’indemnisation pour les victimes de fraude financière est bien perçue par Yves Michaud, le fondateur du Mouvement de défense des actionnaires (MÉDAC).
Cet investisseur activiste bien connu, surnommé le Robin des banques, pense qu’il reste beaucoup de travail à faire. Sans davantage d’actionnaires activistes qui auront le courage de questionner les dirigeants des grandes institutions financières et les planificateurs financiers, tout porte à croire que de nouveaux scandales émergeront tôt ou tard et que des dirigeants continueront à s’enrichir sans scrupules. Le défenseur des petits investisseurs et épargnants a répondu à nos questions.
Question : Avec le départ récent de Jean St-Gelais de l’Autorité des marchés financiers (AMF), le règlement du dossier Norbourg et l’annonce d’un projet de fonds d’indemnisation pour les victimes de fraude financière, on a un peu l’impression qu’une page se tourne dans le monde du placement québécois. Qu’est-ce que ça vous inspire?
Réponse (Yves Michaud) : Je constate qu’on a repris certaines des idées qu’on avançait au MÉDAC depuis longtemps. Dès 2006, on avait écrit un mémoire en faveur de la création d’un fonds universel pour les victimes de fraude. C’est un pas dans la bonne direction. En même temps, les mesures envisagées cette semaine négligent un aspect crucial, celui de la formation des petits épargnants. Nous avons formé au MÉDAC près de 800 personnes en donnant des cours d’éducation financière à l’UQAM, mais ça reste une infime partie de toute la population. Tant qu’on n’aura pas des gens mieux informés des réalités de la finance, on ne sera jamais parfaitement équipés pour composer avec les dangers qui guettent les investisseurs.
Q. Quelles mesures supplémentaires faudrait-il prendre?
R. Il faudrait songer à informer les cégépiens des fondements des marchés financiers. En d’autres termes, donner aux jeunes un cours d’éducation aux marchés financiers. Dans mon temps, on nous donnait les données de bases pour penser. On nous enseignait le grec, le latin, on nous faisait lire les grands penseurs classiques et cela nous permettait de faire notre chemin dans des situations diverses. Les jeunes d’aujourd’hui vont plutôt à l’école de l’« idio-visuel ». Or, les produits financiers sont aujourd’hui infiniment plus complexes que ce qu’ils étaient il y a 50 ans. Prenez le PCAA. On parle d’un produit dont la valeur dépend parfois d’hypothèques de 3e rang sur des aéroports en Angleterre. Il ne s’agit plus simplement de placer son argent à la banque et toucher 3 ou 4 %. Il faut savoir ce qu’est une action, une obligation, etc. Gérer ses affaires est une des grandes tâches de la vie.
Q. Avez-vous l’impression que l’Autorité des marchés a tiré les leçons de l’affaire Norbourg? Encore récemment, d’autres dossiers comme l’affaire Morinville, Raymor, Biosyntech ne sont-ils pas venus obscurcir le bilan de l’AMF?
R. Il y a eu une époque au Québec où la Commission des valeurs mobilières (l’ancêtre de l’AMF) avait quatre inspecteurs. L’AMF a aujourd’hui 120 inspecteurs. Peut-être qu’il en faudrait 300. Cent inspecteurs, ce n’est pas tant que ça pour réglementer toutes les transactions financières. L’univers de la finance est marqué par beaucoup d’escroquerie. Vous n’avez qu’à prendre les paradis fiscaux, un des plus grands scandales financiers. L’ancien premier ministre du pays lui-même, Paul Martin, a utilisé ces paradis quand il dirigeait la Canada Steamship Lines.
Q. Vous n’êtes plus président du MÉDAC, mais vous siégez encore à son conseil d’administration. Quel bilan tirez-vous du travail du MÉDAC?
R. Nous avons connu de grandes victoires. J’ai été le premier au Canada à demander le droit pour les petites actionnaires de formuler des propositions aux assemblées annuelles d’entreprises. Le jugement Rayle en 1997 a été un acte fondateur pour le MÉDAC et la démocratie actionnariale. J’estime avoir brassé la cage lors de plusieurs assemblées annuelles, dont celles de Power Corporation. En même temps, il faut être réaliste. Nous avons un budget annuel de 80 000 $. Tous nos responsables sont bénévoles. Nous n’avons pas les moyens d’envoyer des gens aux assemblées à Edmonton ou à Toronto, comme il faudrait.Q. Il faudrait renforcer le MÉDAC?
R. Il faudrait peut-être que le MÉDAC reçoive une partie de l’argent qu’on veut prélever pour financer le futur fonds d’indemnisation des victimes de fraude, disons 8 ou 9 millions par année. Avec ces moyens, on entrerait vraiment dans les ligues majeures. On pourrait publier des rapports, faire des enquêtes, révéler quels sont les produits risqués. Le MÉDAC pourrait devenir une véritable Association de protection des investisseurs, sur le même modèle que l’Association de protection des consommateurs, qui dispose d’un financement récurrent.
Q. Vous parlez de victoires. N’y a-t-il pas eu aussi des défaites depuis 15 ans?
R. Malgré 15 ans de lutte, je ne suis pas parvenu à discipliner les grandes banques canadiennes sur les salaires stratosphériques, himalayens qu’elles versent à leurs dirigeants. Imaginez, le grand patron de la Banque Nationale a reçu 6 millions $ l’an dernier. 6 millions $! Il n’y a pas un homme assez intelligent au monde pour valoir ça! Mais faire adopter une proposition à une assemblée, c’est comme escalader l’Himalaya. Le jour où cent actionnaires se lèveront à une assemblée annuelle, peut-être parviendra-t-on à faire changer les choses.
Q. Ne craignez-vous pas qu’en vous retirant, justement, le MÉDAC perde son attitude frondeuse?
R. Il faut être cascadeur pour intervenir dans une assemblée, être capable de soutenir le mépris, le dégoût, la haine qui se lit dans les yeux des dirigeants. Il ne faut pas se laisser intimider et se rappeler que ce sont les actionnaires qui sont les propriétaires de l’entreprise. Ce n’est pas donné à tout le monde. Q. Le MÉDAC est engagé dans une longue bataille avec Power Corporation afin d’obtenir la divulgation des états financiers de sa filiale Gesca, propriétaire notamment de « La Presse ». Êtes-vous déçu de la tournure des événements? R. On a gagné la première manche. La Cour supérieure et la Cour d’appel nous ont donné raison. Power disait dans un premier temps que la divulgation des résultats, selon le principe prévu dans la loi canadienne, ne s’appliquait pas à toutes les filiales et sous-filiales d’une société. Le fardeau de la preuve est maintenant du côté de Power Corporation qui doit démontrer que la divulgation des résultats de Gesca causerait préjudice à sa situation concurrentielle. C’est un long combat. Mais malheureusement, comme disent les Anglais, j’ai un peu l’impression que « Justice delayed is justice denied. »
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QUIZ
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« Acquérir des connaissances sur les finances personnelles peut avoir une grande incidence sur notre qualité de vie, surtout à long terme. »
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La firme @MeridianCP publiait récemment le Meridian’s 2024 Corporate Governance and Inventive Design Survey (ou « Meridian 200 »), un sondage qui dresse le portrait de la gouvernance étasunienne à travers un échantillon de 200 sociétés du S&P 500. https://t.co/ecIDZdxl6p
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 31, 2024
Nouvelle campagne de la Fondation Ethos, la Deutsche Schutzvereinigung für Wertpapierbesitz (DSW), la Shareholders for Change (SfC) et la Better Finance @Better_Finance pour les assemblées en personne (sinon hybrides…) —> 350 G€ d’actifs sous gestion. https://t.co/bFo6aO1iMg
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 30, 2024
Le CCNID (@FRASCanada), qui développe les NCID, publie la synthèse des commentaires reçus quant aux obligations de divulgation d’information (à venir) sur la durabilité et les changements climatiques, au vu, notamment, de l’ISSB de l’@IFRSFoundation. https://t.co/S5BKNzrJKq
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 29, 2024
« Si la #banque a suivi ses politiques internes, il semble que l’ombudsman [@obsi @adr_chambers] n’ait pas le pouvoir de remettre en cause des politiques manifestement inefficaces et d’obliger la banque à dédommager la victime. » — @colindeacon, sénateur https://t.co/hXiTTPoRh0
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 29, 2024
L’investissement responsable au programme du dernier épisode de l’émission Ça vaut le coût, à @telequebec https://t.co/CQWUS0XXVP pic.twitter.com/CtT3PhlPhr
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 24, 2024
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 23, 2024
La @banqueducanada « se contente […] de ne réduire son taux que de 25 points de base […] [pour] ne pas créer un écart trop grand avec le taux directeur de la Réserve fédérale américaine » @federalreserve https://t.co/WMUobPljuH
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 22, 2024
« Pour assurer la pérennité de la société francophone au Québec, ça prend une communauté d’affaires forte. » https://t.co/Q6WklOWRO6
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 22, 2024
Sondage de @FAIRCanada sur les investisseurs individuels ne faisant pas appel à des services de courtage avec conseil. [Document de langue anglaise.] https://t.co/wUs19bpP1J pic.twitter.com/loBiJhxgSW
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 15, 2024
« L’indice des prix à la consommation a augmenté de 1,6 % d’une année à l’autre en septembre au Canada, ce qui est inférieur à la hausse de 2,0 % observée en août et représente sa plus faible progression annuelle depuis février 2021. » https://t.co/OO9OBqXjPi
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 15, 2024
« La vigueur des dépenses publiques et les coûts du logement sont vus comme les principales causes de l’inflation persistante. » https://t.co/0GQYitmeFI pic.twitter.com/pvrOm9Blgp
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 12, 2024
La @Banque_TD plaide coupable : 3,1 G$ US de pénalités. <https://t.co/AjJADp3HQv>
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 11, 2024
« Peter Todd a de nouveau nié être Satoshi Nakamoto » Le talon d’Achille des #cryptos : l’incertitude. Mieux vaut les indices de marché. Là, au moins, on sait à quoi s’en tenir. <https://t.co/h2XzNotEme>
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 11, 2024
Rapport sur l’écoblanchiment dans le secteur financier du Centre québécois du droit de l’environnement @_CQDE. https://t.co/sI3erk2nFB https://t.co/Q7MZHW6bFr
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 7, 2024
Pourquoi? https://t.co/0D1OJ6w8sj
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 5, 2024
La volatilité de titres boursiers vous empêche de dormir? N’investissez pas dans ce que vous ne connaissez pas! Il est généralement préférable d’investir à long terme dans des FNB indiciels suivant les grands indices de marché, dixit Warren Buffett. <https://t.co/WNHtiKJdaG>
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 4, 2024
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 30, 2024
C’est gros… https://t.co/nPAJY1nqDW
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 20, 2024
« On ne peut pas continuer à ce rythme-là. »
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 19, 2024
— Laurent Ferreira, PDG de la @banquenationale
« une étude publiée en janvier par l’économiste en chef de la Banque […] concluait que le [pays] était “pris dans un piège démographique” qui menaçait “notre bien-être économique” » https://t.co/vQ4JtE1ayP
Le société @CoucheTardQc est la plus grande compagnie au pays (en termes de revenus). À son assemblée annuelle, tenue de manière strictement virtuelle, il n’y eu AUCUNE question, sauf la nôtre, à l’instant. Ça n’est pas normal. Les assemblées virtuelles sont un échec, lamentable. pic.twitter.com/2Lem0qWvZQ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 5, 2024
La société @CoucheTardQc refuse de divulguer les langues maîtrisées par ses dirigeants, alors qu’elle le fait pour ses administrateurs : le nouveau PDG, Alex Miller, élu administrateur à l’AG aujourd’hui, ne maîtrise pas plus le français que le PDG sortant. Il est issu des rangs. pic.twitter.com/V8kb0Vi4hh
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 5, 2024
Seven&i Holdings tenterait de bloquer l’offre d’achat de @7eleven faite par @CoucheTardQc, selon @Bloomberg, avec l’intervention de l’État japonais. L’assemblée annuelle de Couche-Tard est demain, jeudi 5 septembre. Nous y serons. https://t.co/CivKM7J5Jt
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 4, 2024
La @banquenationale et la @BLaurentienne ne sont pas citées à paraître par le Comité permanent de l’environnement @CdcComites de la Chambre des communes @NosCommunes, contrairement aux autres banques : @RBC @Banque_TD @scotiabank @BanqueCIBC @BMOfr https://t.co/sE9hyRmiZ6
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 28, 2024
Notre proposition d’actionnaire demandant le retour des assemblées annuelles EN PERSONNE chez @airtransat a été adoptée à majorité des voix, à l’instant. C’est aussi le cas chez @metromonepicier, @BanqueCIBC, @BMOfr et @AirCanada. https://t.co/0nZKtHBLyk
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 23, 2024
Résultats de vote POUR les propositions d’actionnaires soumises aux assemblées des banques qui prenaient fin vendredi. Voir : https://t.co/vSuAHe868v @BMOfr @scotiabank @BanqueCIBC @BLaurentienne @banquenationale @RBCfr @Banque_TD @bcgeu @NYCComptroller @investors4paris @Vancity pic.twitter.com/VfM1beQ7IQ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 22, 2024
Et de 3! Nous gagnons le vote sur le maintien — le retour… — des assemblées annuelles EN PERSONNE à la Banque canadienne impériale de commerce @cibc, après l’avoir gagné chez @metromonepicier et chez @AirCanada. Les assemblées des autres 🏦 sont en avril. https://t.co/CkJuNSvAKp pic.twitter.com/2HJusJaaDU
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 4, 2024
Après un appui substantiel des actionnaires de @CGI_Global_FR et la majorité des voies chez @metromonepicier, notre proposition exigeant le maintien — le retour! — des assemblées annuelles EN PERSONNE récolte plus de 80 % d’appui chez @AirCanada. https://t.co/Ah4II1E8Pn pic.twitter.com/YJKXnfuGYC
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 2, 2024
JPMorgan divulguera des données la concernant quant au poids de son implication dans les énergies « propres », en échange du retrait d’une proposition d’actionnaire des fonds contrôlés par le « NYC Comptroller » à ce sujet. [Texte de langue anglaise.] https://t.co/Y9c3uvj5b9
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) March 5, 2024
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) March 4, 2024Nous réclamons le maintien des assemblées en personne EN PLUS des assemblées virtuelles. « Les autorités en valeurs mobilières [@ACVM_Nouvelles, y compris @lautorite] actualisent les indications sur la tenue d’assemblées d’actionnaires virtuelles » https://t.co/ZR1okBzrPj pic.twitter.com/zxhmUqRzX1
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 29, 2024
Le texte du fondateur du MÉDAC, Yves Michaud, dans le Vol. I, No. I du Jour en février 1974, il y a 50 ans. « le sang des pauvres doit arrêter de nourrir les grassouillets parasites qui nous dévorent. Nous nous y emploierons. Avec l'aide du monde ordinaire » pic.twitter.com/HGDeoXRcJQ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 29, 2024
La proposition d’actionnaire du MÉDAC réclamant le maintien (sinon le retour…) des assemblées annuelles EN PERSONNE (avec volet virtuel, au besoin…) a reçu 53 % d’appui à l’assemblée de metro inc. https://t.co/q3iginq34m https://t.co/h1382kE8l0
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 1, 2024
Le document des lignes directrices de @GlassLewis pour l’exercice du droit de vote aux assemblées d’actionnaire devant avoir lieu au pays en 2024 est paru en novembre. Cyber-risque, détention de titre par la direction et clauses de récupération (clawback). https://t.co/eUADLXm8wB
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Qu’est-ce que la population a à gagner de ce que @StatCan_fra cesse de produire ces tableaux? « Ces tableaux de données ne seront plus produits par Statistique Canada, puisque les données sont accessibles gratuitement auprès d'autres sources » https://t.co/Wt6GFErVar
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Changpeng Zhao, diplômé de @mcgillu et actionnaire majoritaire de @binance, doit rester aux É.-U. plutôt que de rentrer aux Émirats arabes unis en attente de représentations sur sentence après avoir plaidé coupable à des accusation de blanchiment d’argent. https://t.co/iSQ8JC9wp1
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Le bras droit de Buffett meurt à 99 ans. https://t.co/efQLaiuKPJ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 29, 2023
Presque 1 G$ de perte. O_O « Au cours du 3e trimestre, @TransMtn (@TransMtnFR) a comptabilisé une perte nette […] de 888,1 M$ sur la valeur comptable totale du goodwill lié à l’acquisition du réseau pipelinier Trans Mountain et du pipeline Puget […] » https://t.co/0FWXG8YQye
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 28, 2023
Série documentaire de @savoir_media sur l’économie et le monde financier, produite avec l’@IQPF : Format économique https://t.co/pP7r90q61x
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 15, 2023
.@Alstom veut se désendetter
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 15, 2023
Des « contrats… plombent le bilan… comme le programme Aventra, 443 trains destinés au Royaume-Uni et hérités du portefeuille de @Bombardier Transport racheté début 2021, et qui a pris un retard considérable. » https://t.co/o70y1k0vp5
Le S&P 500 a pris 6,8 % depuis le 27 octobre; le TSX 4,1 %. O_O https://t.co/oYGv9hQRNz pic.twitter.com/O8xbwtiLQo
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 10, 2023
« La sous-gouverneure principale de la @banqueducanada, Carolyn Rogers, a prévenu jeudi que les taux d’intérêt pourraient ne pas revenir aux bas niveaux auxquels les gens étaient habitués avant la pandémie » https://t.co/XCoN3HFyOc
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 9, 2023
Nos condoléances à la famille et aux proches de M. Bernard Lemaire. Le MÉDAC [@MEDACtionnaires] est actionnaire de @CascadesSD et le demeurera. https://t.co/HJxbYaVPjl https://t.co/pK33lw0FCq
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 9, 2023
Le Fédéral reconnaît l’indépendance des provinces quant au RPC. https://t.co/X65xaFcLbV
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 7, 2023
« L’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI) passe inaperçu auprès de nombreux professionnels. Le quart des participants (25 %) affirment ne pas connaître l’@CIRO_OCRI, et 57 % disent en avoir entendu parler vaguement. » https://t.co/UIjP0rbgVk
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 7, 2023
La @banqueducanada « souligne dans son dernier Rapport [sur la] politique monétaire que […] les indicateurs montrent que les tensions financières touchent principalement les ménages qui n’ont pas de prêt hypothécaire » https://t.co/v7QwVWLASc https://t.co/t90nGde0m0
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 2, 2023
« … ça doit être de l’investissement avec des bénéfices pour toutes les parties intéressées [parties prenantes]. » [traduction libre]
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 2, 2023
― Mark Bristow, PDG de Barrick Gold pic.twitter.com/IdPZzd1zw1
Tiff Macklem, gouverneur de la @banqueducanada à la radio de la @CBC, hier matin. [En langue anglaise.] https://t.co/zyUL9LxHRn
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 27, 2023
L’Organisme canadien de réglementation des investissements @CIRO_OCRI publie son Rapport sur la mise en application 2022-2023. https://t.co/5UILmaCpSY https://t.co/Ozlqy9xl4f
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 26, 2023
.@Glencore aurait certainement eu avantage à assumer pleinement sa responsabilité sociale d’entreprise avant d’en arriver là. « Une demande d’action collective [de plusieurs G$] contre la Fonderie Horne […] a été déposée ». https://t.co/CxWNNtOnHT
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 25, 2023
Les ACVM @ACVM_Nouvelles et l’OCRI @CIRO_OCRI sollicitent les commentaires sur les réformes relatives « à la structure du marché » proposées la Securities and Exchange Commission @SECGov aux États-Unis et de leur impact ici. https://t.co/64m0tgwcMH
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 20, 2023
La concentration du capital dans le S&P 500 @SPDJIndices soulève des questions.
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 20, 2023
« The "Magnificent Seven" Have Made the S&P 500 More Concentrated Than Ever. Historically, That's Bad News for Stocks. »
— @AMCScam, @MotleyFoolMoney https://t.co/xYVpboOy8y
Les entreprises « qui se dotent de politiques comptent davantage de femmes » que les autres.
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 19, 2023
— Louise Champoux-Paillé https://t.co/v3L2l1pgLS
“Le gouvernement a également désigné l’Ombudsman des services bancaires et d’investissement @Ombudsman_OBSI comme seul organisme chargé de gérer les plaintes du secteur bancaire. Ce changement entrera en vigueur le 1er novembre 2024…” Exit l’@adr_chambers https://t.co/wsTOaEx0ht
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 18, 2023
« Les Services de dépôt et de compensation CDS Inc. (CDS) sont une filiale de la Caisse canadienne de dépôt de valeurs limitée, une organisation sans but lucratif propriété du Groupe TMX @TMXGroup. » Depuis le site web de la @banqueducanada : https://t.co/mqC2z8L3Mx
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 10, 2023
« Évidemment, une assemblée virtuelle, ça comporte des avantages indéniables, a reconnu M. [@williegagnon du @MEDACtionnaires]. Mais, il n’y a absolument rien qui peut remplacer une assemblée en personne. » https://t.co/l9u6y9cVnw
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 9, 2023
« Questionné par [@williegagnon du @MEDACtionnaires], le fondateur […] de @CoucheTardQc, Alain Bouchard, a reconnu […] qu’il avait ‹ posé des questions là-dessus ›, mais qu’il ‹ n’avait malheureusement pas encore tous les détails devant lui ›. » https://t.co/obggsahSlX
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 9, 2023
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) August 22, 2023
Gensler donnait un cours ouvert au MIT à l’automne 2018 sur les « chaînes de blocs et l’argent » (blockchain and money). https://t.co/S4Gw7dAVkz
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 31, 2023
« explosé » #horne @Glencore https://t.co/J6Juo2f28d pic.twitter.com/Dk8RRiW42Z
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 27, 2023