Limiter les salaires des patrons à 30 fois celui des employés
19 janvier 2010
Anne-Caroline Desplanques, Branchez-vous
Pour être justes et décents, les salaires des dirigeants d’entreprises publiques devraient se situer entre 20 et 30 fois le salaire moyen de leurs employés. C’est ce qu’estime le président du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC), Claude Béland.
Ancien président du Mouvement Desjardins, Claude Béland, a fait cette proposition à sept grandes banques canadiennes et québécoises et à d’autres sociétés publiques. Elle sera ensuite débattue et soumise aux votes lors des assemblées qui se tiendront cette année dans l’ensemble des grandes villes canadiennes.
Le MÉDAC propose également que les politiques de rémunération des patrons soient soumises à un vote consultatif des actionnaires. Une proposition que les banques canadiennes et certaines entreprises ont d’ores et déjà accepté d’appliquer dès cette année et que Claude Béland pourrait même soumettre au gouvernement pour qu’il légifère si les conseils d’administration ne suivent pas le vote consultatif des actionnaires.
Toujours pour donner plus de pouvoir aux actionnaires, le MÉDAC propose que la démocratie soit réellement respectée lors des élections aux postes d’administrateurs. Pour cela, il demande que les conseils d’administrations proposent plus d’un candidat pour un même poste, ce qui n’est pas toujours le cas actuellement. Une telle pratique forcerait les administrateurs à être redevables envers les actionnaires et non pas uniquement envers les dirigeants qui ont proposé leur candidature.
Les actionnaires réclament plus de pouvoirs
19 janvier 2010
Marie-Eve Fournier, Rue Frontenac
Même si les actionnaires des entreprises cotées en Bourse en sont les propriétaires, ils n’ont « à peu près aucun pouvoir », déplore l’ancien président du Mouvement Desjardins et l’actuel président du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC), Claude Béland. Un problème que la crise financière a d’ailleurs permis de révéler plus que jamais.
C’est pour cette raison, que deux propositions visant à faire gagner du pouvoir aux actionnaires seront présentées cette année par le MÉDAC à une dizaine d’entreprises lors de leur assemblée annuelle. Une autre proposition de l’organisme concernera la transparence dans la rémunération des hauts dirigeants, a-t-on annoncé en conférence de presse.
Le MÉDAC souhaite que les actionnaires puissent « réellement » élire les membres du conseil d’administration en faisant des choix parmi une liste de plusieurs noms. Une proposition qualifiée de « révolutionnaire » qui n’aurait pas d’équivalent ailleurs dans le monde. « Le système actuel de vote fait en sorte que les actionnaires ne peuvent pas faire un choix. Ils ne font que ratifier les choix du conseil », fait valoir Louise Champoux-Paillé, administratrice de l’organisme fondé par le « Robin des banques », Yves Michaud. Car les organisations présentent toujours un nombre de candidats correspondant exactement au nombre de postes à combler.
Pour qu’il y ait un certain renouvellement et que les membres du conseil se sentent davantage redevables aux actionnaires (leurs électeurs), le MÉDAC suggère donc que les conseils d’administration proposent plus de candidats qu’il n’y a de sièges à pourvoir.
La deuxième proposition demande que les actionnaires puissent se prononcer sur la politique de rémunération des hauts dirigeants. Puisque l’idée a déjà été acceptée l’an dernier par toutes les banques, BCE, Sunlife, Manuvie, Telus et l’Industrielle Alliance, elle ne sera présentée – en 2010 – que chez Bombardier. Et quand la loi le permettra, en 2011 ou 2012, l’idée sera aussi amenée chez Quebecor. Cette année, elle ne sera soulevée qu’au moment de la période des questions, ce qui exclut toute possibilité d’un vote sur le sujet.
Le salaire du PDG comparé à celui de ses employés
Le MÉDAC souhaite aussi que des « ratios d’équité » soient inscrits dans le rapport annuel et la circulaire de sollicitation de procurations de la direction des entreprises. Ces ratios permettraient de comparer la rémunération du chef de la direction avec celle de ses employés.
En inscrivant noir sur blanc ce ratio, les entreprises permettront aux actionnaires de mieux juger de leur politique de rémunération, fait valoir le MÉDAC.
Une récente étude du Centre canadien des politiques alternatives a révélé qu’en moyenne, les PDG ont gagné 174 fois plus d’argent que leurs employés, en 2008. Selon le MÉDAC, le ratio était de 85 fois en 1995 et de 104 fois en 1998. Aux États-Unis, les PDG ont gagné 262 fois le salaire annuel de leurs salariés, en 2005.
Pour Claude Béland, un ratio raisonnable serait plutôt dans la fourchette du 20 à 30 fois le salaire le moins élevé dans l’entreprise. Ainsi, si un travailleur gagne 30 000 $, un ratio de 20 fois équivaut à 600 000 $ pour le PDG et un ratio de 30 correspond à 900 000 $.
« Penser qu’on vaut 400 fois ses employés, c’est prétentieux. Ça me choque », tranche l’ancien président de Desjardins. En utilisant un ratio « raisonnable », les PDG auront tout intérêt à augmenter le salaire de leurs employés, une nécessité pour le bien-être économique de la société, soutient-il.
Une gestion des ressources humaines aberrante
D’ailleurs, pour Claude Béland, la gestion des ressources humaines est la plus grande aberration qui soit, en ce moment, dans les entreprises du Québec. Outre la rémunération exagérée des hauts dirigeants par rapport aux travailleurs, il déplore fermement la précarité des emplois.
« Il y a 15 % d’emplois temporaires dans les entreprises. Sur le plan social, c’est une aberration. Comment voulez-vous que les gens fondent une famille, s’achètent une maison, s’ils ne savent pas ce qui va leur arriver dans six mois? Les humains sont considérés comme une marchandise. J’ai besoin de toi, je te prends, je n’ai plus besoin de toi, je te jette! » selon M. Béland.
Année 2009 aux nombreuses victoires
Par ailleurs, le MÉDAC a qualifié son année 2009 « d’assez exceptionnelle » étant donné le nombre de victoires qu’il a célébrées. Une dizaine d’entreprises ont accepté, à la suite d’une proposition de l’organisme, de permettre aux actionnaires de s’exprimer sur leur politique de rémunération des hauts dirigeants. « C’est une grande victoire », a commenté Claude Béland.
Aussi, une nouvelle Loi sur les sociétés par actions a été adoptée à Québec, pour remplacer la Loi sur les compagnies qui n’avait pas connu de mise à jour significative depuis 1981. « Cinq ou six » idées du MÉDAC ont été retenues par le gouvernement, dont celle de permettre aux actionnaires de présenter des propositions lors des assemblées d’actionnaires.
Le MÉDAC a aussi gagné la lutte qu’il mène contre Power Corporation afin de forcer ce holding à divulguer les états financiers de ses filiales. L’organisation « a gagné sur le principe », mais elle devra retourner en cour étant donné que l’entreprise de la famille Desmarais estime qu’une telle transparence lui causerait des préjudices. En février et en mars, Power Corporation devra convaincre le tribunal de ses présomptions, à défaut de quoi ses livres devront être ouverts. « Ça va être fort intéressant, il n’y a pas de jurisprudence en la matière », a lancé Claude Béland. « Plus Power protège ses états financiers, plus on se demande ce qu’il y a de dangereux là-dedans. »
Enfin, l’organisme fondé par Yves Michaud a réussi à doubler son nombre de membres, qui est passé à quelque 2 000.
Limiter la rémunération des PDG à 30 fois celle d’un employé
19 janvier 2010
Mathieu Lavallée, LCArgent
Le salaire des dirigeants d’entreprises publiques ne devrait pas dépasser 30 fois la rémunération moyenne des employés, affirme Claude Béland, président du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC).
Selon l’ancien président du Mouvement Desjardins, le salaire des patrons de sociétés cotées en bourse devrait représenter entre 20 à 30 fois celui des employés pour qu’il soit jugé raisonnable.
M. Béland en a fait l’affirmation suite à la présentation des propositions que le MÉDAC a transmises aux sept grandes banques canadiennes et à d’autres entreprises publiques.
Le MÉDAC célèbre une année de victoires
19 janvier 2010
Jean-François Cloutier, lesaffaires.com
L’année 2009 a été une année de crise pour l’économie, mais elle s’est avérée productive pour le MÉDAC qui se targue de nombreuses réussites dans les douze derniers mois, a indiqué le groupe de défense des actionnaires en conférence de presse aujourd’hui.
La première des victoires du MÉDAC, c’est l’obtention en 2009 d’un droit de parole des actionnaires (« say on pay ») sur la rémunération des hauts dirigeants dans toutes les grandes banques canadiennes et chez un certain nombre d’autres poids lourds financiers canadiens, tels que BCE, Manuvie, la Sun Life et Telus.
Désormais, les actionnaires de ces entreprises recevront le rapport du comité de rémunération et pourront se prononcer en faveur ou en défaveur de la paie octroyée à leurs dirigeants lors de l’assemblée annuelle.
Pour l’instant, ces votes ne se veulent que consultatif, c’est-à-dire que même si les actionnaires, d’aventure, votaient contre la rémunération des dirigeants, le conseil d’administration pourrait quand même déterminer la rémunération qui lui semble la meilleure pour les dirigeants.
Claude Béland, le président du MÉDAC, a toutefois souligné qu’il aura les entreprises à l’œil. « Si on s’aperçoit que le conseil ne tient jamais compte de la position des actionnaires, ce sera un argument pour démontrer qu’il faut une loi pour mieux encadrer la rémunération et renforcer encore le pouvoir des actionnaires », a-t-il souligné.
Malgré la crise économique exceptionnelle survenue en 2008, M. Béland a fait valoir que dans de nombreux cas la rémunération des haut dirigeants restait exubérante. En 1995, en moyenne, un pdg gagnait 85 fois le salaire moyen d’un travailleur. En 1998, cette proportion était passée à 104. En 2007, elle atteignait 259 et en 2008, au plus fort de la crise, elle est seulement redescendue à 174.
« On est revenu à un système de classes dans la société, où la richesse des uns est sans commune mesure avec celle des autres. C’est scandaleux », a affirmé M. Béland, établissant un parallèle entre les scènes de pillage en Haïti et les boni versés aux haut dirigeants à Wall Street .
Parmi les autres victoires de l’organisme, M. Béland a mentionné l’adoption d’une nouvelle loi québécoise sur les Sociétés par actions qui accorde le droit aux actionnaires de présenter des propositions lors des assemblées annuelles.
La demi-victoire en Cour supérieure contre Power Corporation pour contraindre l’entreprise à divulguer les résultats financiers de Gesca (propriétaire notamment du quotidien La Presse) représente un autre gain pour le MÉDAC qui pourrait, à terme, s’avérer lourd de conséquence. « Power Corp a maintenant le fardeau de la preuve en cour pour démontrer que cela pourrait lui causer préjudice de dévoiler les résultats de sa filiale », a expliqué M. Béland.
En 2010, le MÉDAC a promis de poursuivre son combat pour renforcer le pouvoir des actionnaires, qui sont, en dernière analyse, les propriétaires des entreprises dans lesquelles ils ont investi, a rappelé M. Béland.
Un spécialiste chevronné des entreprises cotées en Bourse et des questions financières.
Power Corp. c. Yves Michaud : conséquences financières pour plusieurs?
10 octobre 2009
François Pouliot, LCArgent
Le jugement est tombé il y a quelques semaines, alors que nous étions en vacances. Power Corp. ne peut empêcher Yves Michaud d’avoir accès aux résultats de la filiale médiatique Gesca et de ses sous-filiales (La Presse et autres), a confirmé la Cour d’appel. Vraiment?
L’idée nous est venue de laisser les dépêches de presse et d’aller lire directement le jugement.
Surprise : contrairement à ce que l’on rapportait jusqu’à maintenant, monsieur Michaud et le MÉDAC n’ont pas vraiment gagné l’accès aux livres de la filiale Gesca et de ses sous-filiales.
Le jugement de la Cour d’appel porte sur une question préliminaire et consistait à déterminer si l’article 157 de la Loi sur les sociétés par action visait, non pas uniquement les filiales de Power Corp., mais aussi les sous-filiales de Gesca (La Presse Ltée, Les Éditions La Presse, les Journaux trans-Canada, Probec, etc.).
Oui, dit le tribunal, la loi vise aussi les sous-filiales.
L’affaire ne s’arrête cependant pas là pour autant.
Une autre étape primordiale à franchir
Après que Power se soit abstenue de porter le jugement à la Cour Suprême (le délai d’appel n’est pas encore écoulé), où y ait perdu, il faudra ensuite passer à l’étape la plus importante du recours.
Le tribunal devra alors déterminer si l’examen éventuel des livres par le MÉDAC serait « préjudiciable à la société ou à une filiale ».
Sur ce point, le MÉDAC et monsieur Michaud apparaissent avoir une plus lourde pente à remonter.
Du moment où des états financiers sont remis à des personnes dont le devoir de loyauté envers l’entité est diffus, le risque de préjudice est plus élevé. L’état financier peut en effet se mettre à circuler entre plusieurs mains et aboutir chez le compétiteur ou les syndiqués de l’entreprise.
Cela ne veut pas dire une défaite automatique sur toute la ligne pour monsieur Michaud. Le risque de dommages apparaît plus grand chez une sous-filiale comme La Presse que dans une filiales comme Gesca, où la consolidation des chiffres peut potentiellement rendre une lecture de situation plus difficile. Tout pourrait en fait dépendre de l’étendue des informations qu’ils sont susceptibles de fournir sur chacune des sous-filiales.
Les conséquences potentielles pour Power
Monsieur Michaud était de passage dans nos studios hier.
Depuis des semaines la question nous taraudait : si vous avez un jour accès aux résultats de Gesca, quelle sera la prochaine étape?
« Si elle est déficitaire, eh bien, on leur demandera de la vendre », a-t-il lancé.
Voilà qui ne serait pas nécessairement sans conséquence sociale.
Les journaux de Gesca ont à ce jour été d’importants contributeurs à la compréhension et au débat des enjeux sociaux économiques du Québec.
Dans une situation déficitaire, difficile de croire qu’un nouvel acheteur ne procéderait pas à une éventuelle rationalisation. Il faut bien rentabiliser son investissement. Avec toutes les conséquences sociales que cela peut avoir.
Les conséquences potentielles pour le Québec
Un gain de monsieur Michaud et du MÉDAC pourrait aussi potentiellement avoir des effets bien au-delà de Power Corp.
Imaginons que les syndicats (ou des poteaux agissant pour leur compte) se mettent dans l’idée d’utiliser l’article 157 pour améliorer leur pouvoir de négociation.
La disposition risque de devenir la bête noire de plusieurs employeurs qui devraient alors composer avec des négociateurs bien au fait de leurs résultats et marge de manœuvre.
On pensait initialement que la portée des questions soulevées par Yves Michaud était restreinte à Power Corp. et ses filiales. Et à un débat d’idéologie politique.
Plus on y regarde, plus on s’aperçoit que cet accès aux livres pourrait avoir des conséquences financières importantes pour un grand nombre d’entreprises.
Tout le monde devrait suivre l’affaire. Particulièrement le législateur provincial, qui s’apprête à introduire le même type de disposition dans sa nouvelle Loi sur les sociétés par actions.
« Vincent Lacroix ne peut pas avoir dépensé 115 M $ aux danseuses »
21 septembre 2009
Agence QMI, La Presse canadienne, Paul Chiasson
MONTRÉAL - Le fondateur du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires, Yves Michaud, espère que Vincent Lacroix ne s’en sortira pas trop facilement uniquement parce qu’il a plaidé coupable lundi au palais de justice de Montréal.
Celui que l’on surnomme le « Robin des banques » dit souhaiter que l’argent, ou une partie de l’argent disparu, soit retrouvé afin de rembourser les investisseurs arnaqués dans le scandale Norbourg.
Des victimes déçues
« Je suis certain qu’il reste de l’argent quelque part sous le soleil des paradis fiscaux. Vincent Lacroix ne peut pas avoir dépensé 115 M $ aux danseuses ».
M. Michaud croit même que l’on devrait suivre l’ex-PDG de Norbourg à la trace à sa sortie de prison. « Il attendra peut-être un certain temps, mais il pourrait se retrouver sur une île avec ses millions qui sont sûrement cachés », lance l’ancien ministre.
Yves Michaud souhaite que le dossier de Lacroix ne se referme pas trop rapidement. « L’autorité des marchés financiers du Québec devrait avoir une division spéciale pour poursuivre les enquêtes et retracer l’argent qui a été volé à de pauvres personnes qui ont vu les économies de toute une vie s’envoler en fumée ».
Il attend maintenant les représentations sur sentence dans le dossier de Vincent Lacroix, vendredi prochain. La Couronne demande 14 ans de prison et la défense 10 ans de pénitencier.
Vincent Lacroix, 42 ans, a plaidé coupable, lundi, à l’ouverture de son procès au criminel. Il a reconnu sa culpabilité à plus de 200 chefs notamment de fraude et de fabrications de faux documents.
Plus de 9200 investisseurs ont été floués de 115M $ dans le plus grand scandale financier de l’histoire du Canada.
Les appels logés à l’AMF afin d’obtenir leur réaction quant à ce nouveau développement dans l’affaire Norbourg sont restés sans réponse.
L’Office d’investissement du régime de pension du Canada (OIRPC) @cppinvestments abandonne son objectif d’atteinte de la carboneutralité en 2050 (net zero), après seulement 3 ans, en l’annonçant dans la section FAQ de son site web. https://t.co/lxMT6ssnF1 https://t.co/1B2LZyT93y pic.twitter.com/ctU3MAF2rW
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 30, 2025
Des investisseurs institutionnels d’importance (950 milliard$ sous gestion) demandent que Musk travaille 40 h/sem. pour Tesla. Ils détiennent 0,25 % des actions de Tesla. https://t.co/ag87Tgkp7I
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 29, 2025
BlackRock parie sur l’intérêt des investisseurs pour le secteur de la défense (en Europe…) en constituant un FNB indiciel. https://t.co/QNey6GoRs2
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 29, 2025
« retirer des sommes de ses comptes de courtage imposables vers des [CELI] en générant ainsi artificiellement des pertes dans les premiers et des gains dans les seconds » — @lautorite https://t.co/gpPQdhi39s
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 29, 2025
« Le remplacement de Bruce Guerriero et de Daniel Rabinowicz est réclamé […] La suppression de la structure à deux catégories d’actions est aussi revendiquée » https://t.co/2C4FI4U2RX
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 23, 2025
Le nombre de propositions d’actionnaire concernant la gouvernance a diminué moins vite que les propositions d’actionnaire sur l’environnement, de 2018 à 2025, aux É.-U.-d’A., selon ISS. Dans l’ensemble, c’est un creux sur 8 ans. https://t.co/dAucnupAPw
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 23, 2025