Les petits porteurs disposeront d’ici peu d’un opérateur pour voter en ligne
15 avril 2010
M. RN., Les Échos
L’Association française des professionnels des titres (Afti) désignera fin avril un opérateur commun à toutes les banques dépositaires pour le vote électronique des actionnaires. Sur le même sujet
AG 2010 : les sociétés du CAC 40 recomposent leurs conseils
C’est l’Arlésienne des assemblées générales. Le vote électronique des actionnaires est autorisé depuis la loi sur les nouvelles régulations économiques (NRE) de 2001. Mais aucune solution efficace n’a émergé depuis cette date. « C’est un chemin de croix, explique Loïc Dessaint, directeur associé du cabinet de conseil aux investisseurs institutionnels Proxinvest. Il faut téléphoner à votre banquier pour que celui-ci se mette en relation avec la banque qui centralise les votes de l’assemblée générale et qu’il lui communique votre adresse de courriel. Et la procédure ne s’arrête pas là. »
Voilà pour ceux qui souhaitent recourir aux canaux électroniques. Il existe toujours l’option, plus classique, du formulaire papier. Des méthodes plutôt vieillottes qui devraient bientôt changer, affirme l’Association française des professionnels de titres (Afti). Celle-ci a lancé à la mi-mars un appel d’offres soutenu par l’ensemble des banques dépositaires, dont les branches spécialisées de BNP Paribas (BPSS), Société Générale (SGSS) et Crédit Agricole (Caceis). « Un grand nombre de sociétés de tout niveau - infrastructures de marché, SSII -ont été sollicitées, lance Marcel Roncin, président de l’Afti. Cette initiative s’inscrit dans la logique de la directive européenne sur le droit des actionnaires, dont l’ambition est de permettre le vote sur Internet dans toute l’Europe », ajoute-t-il. Appel d’offre
Le lauréat de cet appel d’offres sera désigné d’ici à la fin du mois d’avril, précise Marcel Roncin. A compter de cette date, l’association se retirera et laissera les banques créer une instance de gouvernance crédible pour superviser cette nouvelle infrastructure actionnariale. Le cahier des charges prévoit que ce nouveau service permette aux actionnaires, petits ou grands, de voter à partir des systèmes Internet de leurs banques. Cette nouvelle faculté se matérialisera par un onglet ou une autre forme de signalétique sur la page sécurisée consultée par les clients des établissements. De là, le porteur de titres pourra décider ou non d’émettre un vote sur chacune des résolutions de l’émetteur visé. Le vote sera ensuite véhiculé vers un site central, chargé de collecter les votes. Ce site jouera le rôle « d’urne informatique » et se chargera de transmettre ses données à la banque centralisatrice le matin même de l’assemblée générale concernée. Le projet, s’il arrive à son terme, devrait susciter l’adhésion des différents acteurs de la place. Ceux-ci réclament un vote en ligne depuis longtemps. Proxinvest avait tenté d’imposer une solution, le site de vote en ligne appelé Direcvote.fr, mais n’a pas reçu le soutien cardinal des grandes banques françaises, qui gèrent les votes de l’écrasante majorité des assemblées générales des sociétés cotées. L’objectif affiché par l’Afti est d’offrir aux actionnaires un vote en ligne pour la prochaine saison des AG, en 2011.
AG 2010 : les sociétés du CAC 40 recomposent leurs conseils
15 avril 2010
Mathieu Rosemain, Les Échos (France)
Le leader mondial du luxe, LVMH, ouvre aujourd’hui la saison 2010 des assemblées générales des sociétés du CAC 40. Leurs actionnaires devront se prononcer sur nombre de nominations de nouveaux administrateurs (-rices).
Elles aussi offriront peut-être le signe que la crise arrive à son terme. Les assemblées générales annuelles des sociétés du CAC 40 débutent aujourd’hui dans une atmosphère beaucoup moins morose que l’an passé. L’indice de référence a enregistré hier un nouveau record en 2010 et les principaux protagonistes du séisme boursier de 2008, les banques, retrouvent des couleurs de part et d’autre de l’Atlantique. C’est le leader mondial du luxe LVMH (propriétaire des « Echos ») qui ouvre le bal cette année. Peu de chances que ses actionnaires se montrent hargneux : le groupe dirigé par Bernard Arnault vient de publier un chiffre d’affaires en forte hausse au premier trimestre et les perspectives sont bonnes. Aucune des résolutions soumises au vote de l’assemblée ne devrait poser problème, mais l’une d’entre elles, la nomination de l’historienne Hélène Carrère d’Encausse comme administratrice, illustre le phénomène actuel de recomposition des conseils des 40 champions français. Vallourec, Vivendi, AXA ou encore PPR ont nommé de nouveaux administrateurs ou proposé des résolutions en ce sens. Leur point commun : elles font la part belle aux femmes, jusqu’ici nettement sous-représentées dans les conseils d’administration des grandes valeurs françaises.
Chez LVMH, la nomination d’Hélène Carrère d’Encausse, quatre-vingt-un ans, porterait à deux le nombre de femmes sur dix-neuf administrateurs, aux côtés de Delphine Arnault, fille du dirigeant. C’est encore loin du seuil de 40 % inclus dans deux propositions de loi aujourd’hui en débat au Parlement. Mais cette résolution et les nombreuses sollicitations reçues par les administratrices professionnelles ces jours-ci suggèrent que les grands groupes anticipent l’adoption d’un quota par les élus nationaux. D’autant que ces incitations s’accompagnent d’une attention particulière portée depuis les débuts de la crise sur le cumul des mandats de la part de plusieurs hauts dirigeants.
Changements de gouvernance
Cette situation en ferait presque oublier le sujet phare des AG de 2009 : la rémunération des grands patrons. Les attributions de stock-options ou d’actions gratuites ne semblent plus préoccuper les petits porteurs autant que l’an passé. C’est peut-être, là aussi, la conséquence de l’amélioration du paysage économique de nombre de grandes entreprises, institutions - financières en tête. Celles-ci se gardent bien, cependant, d’affirmer que l’avenir est radieux. D’où cette autre tendance de fond affichée par plusieurs des 40 champions : la concentration des pouvoirs à la tête de l’exécutif. La Société Générale y a eu recours, en réunissant les rôles de président et de directeur général dans les mains de Frédéric Oudéa. Vinci fait de même et proposera le 6 mai à ses actionnaires le cumul des mêmes fonctions au bénéfice de Xavier Huillard. Pour donner à Henri de Castries les mêmes responsabilités, AXA va même jusqu’à changer son mode de gouvernance, en proposant de passer d’une société avec directoire et conseil de surveillance à une société avec conseil d’administration, la première interdisant de fait la possibilité de cumuler les rôles de président et de dirigeant opérationnel.
Les sociétés concernées justifient ces changements de mode de gouvernance en mettant en avant la nécessité d’accroître l’efficacité des processus de décision en période de crise. C’est cette même nécessité qui motive, d’ailleurs, le raider américain Guy Wyser-Pratte à l’égard de Lagardère. Cet actionnaire minoritaire a tout bonnement proposé de revoir les statuts du groupe français, aujourd’hui société en commandite par actions (SCA), dont il juge le conseil « antidémocratique et médiéval. » Une résolution vertement rejetée par la gérance de Lagardère.
7 mars 2010
Isabelle Maréchal, 98,5 MF
M. Claude Béland, président du MÉDAC, en entrevue à l’émission Isabelle, le matin, sur les ondes du 98,5 MF, au sujet de la parution de sa biographie, La coopération en action.
Vote sur la rémunération des hauts dirigeants de la banque de Nouvelle-Écosse
Le MÉDAC recommande de voter « contre »
Montréal, le 1er avril 2010 — Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) recommande à ses membres, actionnaires de la Banque Scotia, de voter « contre » le rapport sur la rémunération des hauts dirigeants de cette banque, tel que présenté dans la circulaire de la direction. Ce rapport fera l’objet d’un vote « consultatif » des actionnaires, réunis à l’occasion de leur assemblée annuelle du jeudi 8 avril prochain à Saint-Jean (Terre-Neuve).
« Plusieurs éléments importants conduisent le MÉDAC à ne pas donner son appui à la philosophie de rémunération des hauts dirigeants de cette Banque » a affirmé la porte-parole du MÉDAC, Madame Louise Champoux-Paillé en mentionnant les éléments suivants :
— la rémunération du président et chef de la direction s’élève à 9,9 millions $ soit 54 % de plus que l’an dernier alors que le bénéfice net n’a crû que de 13 %, que le bénéfice par action ordinaire a crû seulement de 8 % et que le rendement total aux actionnaires sur une période de 3 ans a été de 1 %;
— un ratio d’équité interne le plus élevé des sept banques canadiennes, ce qui conduit à s’interroger sur l’impact d’un tel écart sur la qualité de la cohésion interne, la productivité des employés et sur le rendement à long terme pour les actionnaires;
— un pourcentage trop élevé (36 %) de la rémunération totale du chef de la direction consenti sous forme d’options, le plus élevé parmi les banques canadiennes. Rappelons que les gains réalisés par l’entremise des régimes d’options d’achat d’actions jouissent d’un traitement fiscal privilégié, ce qui accentue le caractère inéquitable de la rémunération des hauts dirigeants. Un article d’un quotidien montréalais révélait d’ailleurs récemment que le président et chef de la direction avait réalisé, entre mai 2009 et la fin de février 2010, un gain de 10,7 millions de dollars.
Toutefois, nous tenons à souligner les effets positifs de l’introduction du vote consultatif sur la politique de rémunération des hauts dirigeants de la Banque Scotia, notamment : la fixation de plafonds pour les primes de rendement annuelles, la possibilité de réduire à néant le montant global des primes si les résultats sont sensiblement inférieurs aux attentes, l’établissement d’exigences concernant l’actionnariat des dirigeants avant et après leur départ à la retraite et l’introduction d’une clause de récupération.
Nous concluons en mentionnant que l’importance de la rémunération variable et en particulier des options d’achat dans la rémunération du chef de la direction est injuste pour les employés. À cet égard, des chercheurs ont démontré que plus les chefs de la direction recherchent une rémunération élevée par rapport à celle de leurs employés, moins ils accordent d’importance aux valeurs éthiques dans les prises de décision.
Un « pourboire » pour les services de santé
Montréal, le 31 mars 2010 — Le Mouvement de défense et d’éducation des actionnaires (le MÉDAC) dénonce le refus du gouvernement québécois de faire appel, dans son dernier budget, à la contribution financière des très hauts salariés au financement des services de santé au Québec. Au lieu de choisir un système de taxation ou d’imposition progressif en tenant compte des revenus des individus, le Ministre des finances a plutôt opté pour une taxe nivelée, chacun assumant la même responsabilité financière peu importe les revenus de chacun. Il en résulte que les petits salariés devront rogner leur budget touchant à leur qualité de vie tandis que pour les hauts salariés, il ne s’agira que d’un simple « pourboire », une gratification volontaire et anodine.
Cette orientation, inéquitable et injuste sur le plan social, est provocante alors qu’au cours des dernières semaines, la plupart des grandes banques et corporations canadiennes ont divulgué leurs résultats financiers de la dernière année, démontrant, d’une part, que contrairement à des milliers d’individus et d’actionnaires, elles n’avaient nullement souffert de la dernière crise financière et d’autre part, qu’elles n’avaient aucune retenue quant à la rémunération de leurs hauts dirigeants. Ainsi, nous apprenions que les présidents des grandes banques, par exemple, se méritaient une rémunération équivalente à 156 fois, 119 fois, 96 fois, 72 fois le salaire moyen de leurs employés. Une seule banque démontrait une certaine réserve par l’octroi d’une rémunération 28 fois plus importante que celle de la moyenne de ses employés. En somme, quelques dizaines de millions, incluant de gros bonis s’ajoutant à ce que d’aucuns qualifient de « salaires de la honte ».
Le Québec veut apparaître comme une « social-démocratie » d’avant-garde, selon les dires du Ministre des finances et de faire aussi bien que les grands pays. Pourtant, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni, en France, au nom d’un minimum d’équité et de justice, on n’hésite pas à ajouter une tranche d’imposition pour les hauts salariés, soit ceux et celles qui gagnent plus, non pas dix millions, non pas un million, mais le quart de million, ou encore une taxe allant jusqu’à 50 % sur les bonis et les primes de tous genres. Les gouvernements de ces pays n’hésitent pas à taxer les inégalités trop flagrantes.
On dira que, dans l’ensemble, cette contribution des hauts salariés représenterait peu de choses en regard de l’ensemble des besoins financiers. C’est vrai, mais la nouvelle taxation actuelle ne réglerait pas davantage tout le problème de financement des services de santé.
Mais symboliquement, cette taxation permettrait de rappeler aux très hauts salariés, sur le plan de la responsabilité sociale, qu’ils ne sont pas les égaux des bas salariés. Payer 200 $ alors que son salaire est de 10 millions $, c’est moins lourd que de payer 200 $ alors que son salaire brut est de 30 000 $. Pour les hauts salariés, 200 $ c’est le prix d’un repas dans un restaurant cinq étoiles. Pour les bas salariés, 200 $, c’est souvent le budget alimentaire… d’une semaine! Oui, il est vrai qu’est prévu un crédit d’impôt de solidarité — mais, en réalité, ce crédit est trop faible pour compenser l’effet négatif sur les bas salariés. Cette forme de taxation a pour effet d’appauvrir les pauvres — alors qu’il n’a guère d’effet sur les conditions de vie des riches.
Le budget était une occasion rêvée pour l’État d’humaniser ces politiques de rémunération honteuses et votées par ceux qui détiennent déjà le pouvoir du capital. L’État a refusé de le faire. Le MÉDAC le dénonce, en premier lieu, au nom des petits épargnants et investisseurs qui n’apprécient guère que les hauts gestionnaires soient plus intéressés à leur propre rémunération qu’à l’enrichissement des petits épargnants et au nom d’une société plus juste et plus égalitaire.
Le salaire de Vachon est trop élevé, dit le MÉDAC
29 mars 2010
Olivier Bourque, Argent
Est-ce que le salaire du PDG de la Banque Nationale (NA) Louis Vachon est trop élevé? A 72 fois celui du travailleur moyen de l’institution financière, le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) croit que oui et demande aux actionnaires de voter contre le rapport de rémunération de la banque.
Le salaire de M. Vachon s’élève à 6,1 millions de dollars soit 19 % de plus qu’en 2007. Il avait été présenté dans la dernière circulaire de l’institution.
Pour le PDG de la Laurentienne, Réjean Robitaille, qui dirige l’autre banque québécoise, le MÉDAC s’est dit en faveur de sa rémunération qui atteint 28 fois le salaire moyen des travailleurs de l’institution.
Cette mise en garde arrive avant le vote « consultatif » des actionnaires qui se tiendra le 31 mars prochain lors de l’assemblée annuelle à Montréal.
« Plusieurs éléments importants conduisent le MÉDAC à ne pas donner son appui à la philosophie de rémunération des hauts dirigeants de cette Banque », a affirmé la porte-parole du MÉDAC, Madame Louise Champoux-Paillé.
Certains éléments agacent notamment le MÉDAC notamment le fait que la rémunération de M. Vachon a augmenté de 19 % alors que pendant la même période le rendement total aux actionnaires sur trois ans a été de 2 %.
Le MÉDAC affirme que le rendement total en 2009 (32 %) « est certes important », mais il doit être apprécié en regard des résultats antérieurs de -13 % en 2008 et de -7 % en 2007.
Un ratio trop important
L’organisation questionne également le ratio d’équité interne élevé (72 fois le salaire des employés). Cela conduit « à s’interroger sur l’impact d’un tel écart sur la qualité de cohésion interne, la productivité des employés et sur le rendement à long terme pour les actionnaires », affirme le MÉDAC dans un communiqué de presse.
Le MÉDAC croit aussi que le pourcentage de la rémunération totale du chef de la direction consenti sous forme d’options (35 %) est trop élevé, « le deuxième plus élevé au sein des sept banques canadiennes ».
« Rappelons que les gains réalisés par l’entremise des régimes d’options d’achat d’actions jouissent d’un traitement fiscal privilégié ce qui accentue le caractère inéquitable de la rémunération des hauts dirigeants », affirme l’organisme.
Appui à la Laurentienne
Le MÉDAC avait invité à voter contre la plupart des rapports de rémunération des dirigeants des banquiers en donnant toutefois son appui à celui de la Banque Laurentienne.
Selon le MÉDAC, le ratio de la Laurentienne reflète une approche éthique de la structure de la rémunération et qui en fait l’un des meilleur ratio d’équité de l’industrie.
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« Acquérir des connaissances sur les finances personnelles peut avoir une grande incidence sur notre qualité de vie, surtout à long terme. »
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La firme @MeridianCP publiait récemment le Meridian’s 2024 Corporate Governance and Inventive Design Survey (ou « Meridian 200 »), un sondage qui dresse le portrait de la gouvernance étasunienne à travers un échantillon de 200 sociétés du S&P 500. https://t.co/ecIDZdxl6p
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Nouvelle campagne de la Fondation Ethos, la Deutsche Schutzvereinigung für Wertpapierbesitz (DSW), la Shareholders for Change (SfC) et la Better Finance @Better_Finance pour les assemblées en personne (sinon hybrides…) —> 350 G€ d’actifs sous gestion. https://t.co/bFo6aO1iMg
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Le CCNID (@FRASCanada), qui développe les NCID, publie la synthèse des commentaires reçus quant aux obligations de divulgation d’information (à venir) sur la durabilité et les changements climatiques, au vu, notamment, de l’ISSB de l’@IFRSFoundation. https://t.co/S5BKNzrJKq
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« Si la #banque a suivi ses politiques internes, il semble que l’ombudsman [@obsi @adr_chambers] n’ait pas le pouvoir de remettre en cause des politiques manifestement inefficaces et d’obliger la banque à dédommager la victime. » — @colindeacon, sénateur https://t.co/hXiTTPoRh0
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L’investissement responsable au programme du dernier épisode de l’émission Ça vaut le coût, à @telequebec https://t.co/CQWUS0XXVP pic.twitter.com/CtT3PhlPhr
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La @banqueducanada « se contente […] de ne réduire son taux que de 25 points de base […] [pour] ne pas créer un écart trop grand avec le taux directeur de la Réserve fédérale américaine » @federalreserve https://t.co/WMUobPljuH
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« Pour assurer la pérennité de la société francophone au Québec, ça prend une communauté d’affaires forte. » https://t.co/Q6WklOWRO6
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Sondage de @FAIRCanada sur les investisseurs individuels ne faisant pas appel à des services de courtage avec conseil. [Document de langue anglaise.] https://t.co/wUs19bpP1J pic.twitter.com/loBiJhxgSW
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« L’indice des prix à la consommation a augmenté de 1,6 % d’une année à l’autre en septembre au Canada, ce qui est inférieur à la hausse de 2,0 % observée en août et représente sa plus faible progression annuelle depuis février 2021. » https://t.co/OO9OBqXjPi
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« La vigueur des dépenses publiques et les coûts du logement sont vus comme les principales causes de l’inflation persistante. » https://t.co/0GQYitmeFI pic.twitter.com/pvrOm9Blgp
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La @Banque_TD plaide coupable : 3,1 G$ US de pénalités. <https://t.co/AjJADp3HQv>
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« Peter Todd a de nouveau nié être Satoshi Nakamoto » Le talon d’Achille des #cryptos : l’incertitude. Mieux vaut les indices de marché. Là, au moins, on sait à quoi s’en tenir. <https://t.co/h2XzNotEme>
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Rapport sur l’écoblanchiment dans le secteur financier du Centre québécois du droit de l’environnement @_CQDE. https://t.co/sI3erk2nFB https://t.co/Q7MZHW6bFr
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Pourquoi? https://t.co/0D1OJ6w8sj
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La volatilité de titres boursiers vous empêche de dormir? N’investissez pas dans ce que vous ne connaissez pas! Il est généralement préférable d’investir à long terme dans des FNB indiciels suivant les grands indices de marché, dixit Warren Buffett. <https://t.co/WNHtiKJdaG>
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C’est gros… https://t.co/nPAJY1nqDW
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« On ne peut pas continuer à ce rythme-là. »
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— Laurent Ferreira, PDG de la @banquenationale
« une étude publiée en janvier par l’économiste en chef de la Banque […] concluait que le [pays] était “pris dans un piège démographique” qui menaçait “notre bien-être économique” » https://t.co/vQ4JtE1ayP
Le société @CoucheTardQc est la plus grande compagnie au pays (en termes de revenus). À son assemblée annuelle, tenue de manière strictement virtuelle, il n’y eu AUCUNE question, sauf la nôtre, à l’instant. Ça n’est pas normal. Les assemblées virtuelles sont un échec, lamentable. pic.twitter.com/2Lem0qWvZQ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 5, 2024
La société @CoucheTardQc refuse de divulguer les langues maîtrisées par ses dirigeants, alors qu’elle le fait pour ses administrateurs : le nouveau PDG, Alex Miller, élu administrateur à l’AG aujourd’hui, ne maîtrise pas plus le français que le PDG sortant. Il est issu des rangs. pic.twitter.com/V8kb0Vi4hh
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 5, 2024
Seven&i Holdings tenterait de bloquer l’offre d’achat de @7eleven faite par @CoucheTardQc, selon @Bloomberg, avec l’intervention de l’État japonais. L’assemblée annuelle de Couche-Tard est demain, jeudi 5 septembre. Nous y serons. https://t.co/CivKM7J5Jt
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 4, 2024
La @banquenationale et la @BLaurentienne ne sont pas citées à paraître par le Comité permanent de l’environnement @CdcComites de la Chambre des communes @NosCommunes, contrairement aux autres banques : @RBC @Banque_TD @scotiabank @BanqueCIBC @BMOfr https://t.co/sE9hyRmiZ6
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) May 28, 2024
Notre proposition d’actionnaire demandant le retour des assemblées annuelles EN PERSONNE chez @airtransat a été adoptée à majorité des voix, à l’instant. C’est aussi le cas chez @metromonepicier, @BanqueCIBC, @BMOfr et @AirCanada. https://t.co/0nZKtHBLyk
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 23, 2024
Résultats de vote POUR les propositions d’actionnaires soumises aux assemblées des banques qui prenaient fin vendredi. Voir : https://t.co/vSuAHe868v @BMOfr @scotiabank @BanqueCIBC @BLaurentienne @banquenationale @RBCfr @Banque_TD @bcgeu @NYCComptroller @investors4paris @Vancity pic.twitter.com/VfM1beQ7IQ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 22, 2024
Et de 3! Nous gagnons le vote sur le maintien — le retour… — des assemblées annuelles EN PERSONNE à la Banque canadienne impériale de commerce @cibc, après l’avoir gagné chez @metromonepicier et chez @AirCanada. Les assemblées des autres 🏦 sont en avril. https://t.co/CkJuNSvAKp pic.twitter.com/2HJusJaaDU
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 4, 2024
Après un appui substantiel des actionnaires de @CGI_Global_FR et la majorité des voies chez @metromonepicier, notre proposition exigeant le maintien — le retour! — des assemblées annuelles EN PERSONNE récolte plus de 80 % d’appui chez @AirCanada. https://t.co/Ah4II1E8Pn pic.twitter.com/YJKXnfuGYC
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) April 2, 2024
JPMorgan divulguera des données la concernant quant au poids de son implication dans les énergies « propres », en échange du retrait d’une proposition d’actionnaire des fonds contrôlés par le « NYC Comptroller » à ce sujet. [Texte de langue anglaise.] https://t.co/Y9c3uvj5b9
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) March 5, 2024
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) March 4, 2024Nous réclamons le maintien des assemblées en personne EN PLUS des assemblées virtuelles. « Les autorités en valeurs mobilières [@ACVM_Nouvelles, y compris @lautorite] actualisent les indications sur la tenue d’assemblées d’actionnaires virtuelles » https://t.co/ZR1okBzrPj pic.twitter.com/zxhmUqRzX1
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 29, 2024
Le texte du fondateur du MÉDAC, Yves Michaud, dans le Vol. I, No. I du Jour en février 1974, il y a 50 ans. « le sang des pauvres doit arrêter de nourrir les grassouillets parasites qui nous dévorent. Nous nous y emploierons. Avec l'aide du monde ordinaire » pic.twitter.com/HGDeoXRcJQ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 29, 2024
La proposition d’actionnaire du MÉDAC réclamant le maintien (sinon le retour…) des assemblées annuelles EN PERSONNE (avec volet virtuel, au besoin…) a reçu 53 % d’appui à l’assemblée de metro inc. https://t.co/q3iginq34m https://t.co/h1382kE8l0
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) February 1, 2024
Le document des lignes directrices de @GlassLewis pour l’exercice du droit de vote aux assemblées d’actionnaire devant avoir lieu au pays en 2024 est paru en novembre. Cyber-risque, détention de titre par la direction et clauses de récupération (clawback). https://t.co/eUADLXm8wB
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Qu’est-ce que la population a à gagner de ce que @StatCan_fra cesse de produire ces tableaux? « Ces tableaux de données ne seront plus produits par Statistique Canada, puisque les données sont accessibles gratuitement auprès d'autres sources » https://t.co/Wt6GFErVar
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Changpeng Zhao, diplômé de @mcgillu et actionnaire majoritaire de @binance, doit rester aux É.-U. plutôt que de rentrer aux Émirats arabes unis en attente de représentations sur sentence après avoir plaidé coupable à des accusation de blanchiment d’argent. https://t.co/iSQ8JC9wp1
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) December 1, 2023
Le bras droit de Buffett meurt à 99 ans. https://t.co/efQLaiuKPJ
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 29, 2023
Presque 1 G$ de perte. O_O « Au cours du 3e trimestre, @TransMtn (@TransMtnFR) a comptabilisé une perte nette […] de 888,1 M$ sur la valeur comptable totale du goodwill lié à l’acquisition du réseau pipelinier Trans Mountain et du pipeline Puget […] » https://t.co/0FWXG8YQye
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 28, 2023
Série documentaire de @savoir_media sur l’économie et le monde financier, produite avec l’@IQPF : Format économique https://t.co/pP7r90q61x
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 15, 2023
.@Alstom veut se désendetter
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 15, 2023
Des « contrats… plombent le bilan… comme le programme Aventra, 443 trains destinés au Royaume-Uni et hérités du portefeuille de @Bombardier Transport racheté début 2021, et qui a pris un retard considérable. » https://t.co/o70y1k0vp5
Le S&P 500 a pris 6,8 % depuis le 27 octobre; le TSX 4,1 %. O_O https://t.co/oYGv9hQRNz pic.twitter.com/O8xbwtiLQo
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 10, 2023
« La sous-gouverneure principale de la @banqueducanada, Carolyn Rogers, a prévenu jeudi que les taux d’intérêt pourraient ne pas revenir aux bas niveaux auxquels les gens étaient habitués avant la pandémie » https://t.co/XCoN3HFyOc
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 9, 2023
Nos condoléances à la famille et aux proches de M. Bernard Lemaire. Le MÉDAC [@MEDACtionnaires] est actionnaire de @CascadesSD et le demeurera. https://t.co/HJxbYaVPjl https://t.co/pK33lw0FCq
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 9, 2023
Le Fédéral reconnaît l’indépendance des provinces quant au RPC. https://t.co/X65xaFcLbV
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 7, 2023
« L’Organisme canadien de réglementation des investissements (OCRI) passe inaperçu auprès de nombreux professionnels. Le quart des participants (25 %) affirment ne pas connaître l’@CIRO_OCRI, et 57 % disent en avoir entendu parler vaguement. » https://t.co/UIjP0rbgVk
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 7, 2023
La @banqueducanada « souligne dans son dernier Rapport [sur la] politique monétaire que […] les indicateurs montrent que les tensions financières touchent principalement les ménages qui n’ont pas de prêt hypothécaire » https://t.co/v7QwVWLASc https://t.co/t90nGde0m0
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 2, 2023
« … ça doit être de l’investissement avec des bénéfices pour toutes les parties intéressées [parties prenantes]. » [traduction libre]
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) November 2, 2023
― Mark Bristow, PDG de Barrick Gold pic.twitter.com/IdPZzd1zw1
Tiff Macklem, gouverneur de la @banqueducanada à la radio de la @CBC, hier matin. [En langue anglaise.] https://t.co/zyUL9LxHRn
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 27, 2023
L’Organisme canadien de réglementation des investissements @CIRO_OCRI publie son Rapport sur la mise en application 2022-2023. https://t.co/5UILmaCpSY https://t.co/Ozlqy9xl4f
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 26, 2023
.@Glencore aurait certainement eu avantage à assumer pleinement sa responsabilité sociale d’entreprise avant d’en arriver là. « Une demande d’action collective [de plusieurs G$] contre la Fonderie Horne […] a été déposée ». https://t.co/CxWNNtOnHT
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 25, 2023
Les ACVM @ACVM_Nouvelles et l’OCRI @CIRO_OCRI sollicitent les commentaires sur les réformes relatives « à la structure du marché » proposées la Securities and Exchange Commission @SECGov aux États-Unis et de leur impact ici. https://t.co/64m0tgwcMH
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 20, 2023
La concentration du capital dans le S&P 500 @SPDJIndices soulève des questions.
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 20, 2023
« The "Magnificent Seven" Have Made the S&P 500 More Concentrated Than Ever. Historically, That's Bad News for Stocks. »
— @AMCScam, @MotleyFoolMoney https://t.co/xYVpboOy8y
Les entreprises « qui se dotent de politiques comptent davantage de femmes » que les autres.
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 19, 2023
— Louise Champoux-Paillé https://t.co/v3L2l1pgLS
“Le gouvernement a également désigné l’Ombudsman des services bancaires et d’investissement @Ombudsman_OBSI comme seul organisme chargé de gérer les plaintes du secteur bancaire. Ce changement entrera en vigueur le 1er novembre 2024…” Exit l’@adr_chambers https://t.co/wsTOaEx0ht
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 18, 2023
« Les Services de dépôt et de compensation CDS Inc. (CDS) sont une filiale de la Caisse canadienne de dépôt de valeurs limitée, une organisation sans but lucratif propriété du Groupe TMX @TMXGroup. » Depuis le site web de la @banqueducanada : https://t.co/mqC2z8L3Mx
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) October 10, 2023
« Évidemment, une assemblée virtuelle, ça comporte des avantages indéniables, a reconnu M. [@williegagnon du @MEDACtionnaires]. Mais, il n’y a absolument rien qui peut remplacer une assemblée en personne. » https://t.co/l9u6y9cVnw
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 9, 2023
« Questionné par [@williegagnon du @MEDACtionnaires], le fondateur […] de @CoucheTardQc, Alain Bouchard, a reconnu […] qu’il avait ‹ posé des questions là-dessus ›, mais qu’il ‹ n’avait malheureusement pas encore tous les détails devant lui ›. » https://t.co/obggsahSlX
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) September 9, 2023
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) August 22, 2023
Gensler donnait un cours ouvert au MIT à l’automne 2018 sur les « chaînes de blocs et l’argent » (blockchain and money). https://t.co/S4Gw7dAVkz
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 31, 2023
« explosé » #horne @Glencore https://t.co/J6Juo2f28d pic.twitter.com/Dk8RRiW42Z
— Le MÉDAC (@MEDACtionnaires) July 27, 2023