Nicolas Zorn, conférencier à ne pas manquer lundi aux ateliers du MÉDAC
Montréal, le 14 septembre 2017 — Les inégalités de revenus et de richesses ont des conséquences sur la situation des épargnants et des petits actionnaires, selon le chercheur et auteur Nicolas Zorn.
L’auteur des ouvrages Le 1 % le plus riche : l’exception québécoise et J’ai profité du système — Des centres jeunesse à l’université : parcours d’un enfant du modèle québécois affirme que ces effets peuvent être à la fois favorables et défavorables.
Dans le cadre des ateliers du MÉDAC, Nicolas Zorn prévoit présenter, sur la base du contenu de ses deux livres complémentaires, « le portrait le plus complet des inégalités de revenus et de richesses au Québec », ainsi que les raisons qui expliquent « pourquoi le Québec parvient à maintenir malgré tout son statut de société la plus égalitaire en Amérique du Nord ».
Nicolas Zorn est notamment analyste de politiques à l’Institut du Nouveau Monde, spécialiste des inégalités économiques et doctorant en science politique à l’Université de Montréal.
En partie sur la base de son expérience personnelle, son livre J’ai profité du système traite « des nombreuses particularités du modèle québécois » qui contribuent à permettre aux enfants du Québec, même ceux qui sont à problèmes ou défavorisés, de s’en sortir et de réussir professionnellement et socialement, donc de notamment contribuer au développement économique.
Nicolas Zorn y démontre que des structures comme la Direction de la protection de la jeunesse, les réseaux scolaires accessibles, les programmes d’aide sociale et financière tendent à réduire les écarts entre les classes de la société.
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