rémunération

  • Faire déborder le vase

    Une goutte de trop!

    2017-05-05
    Daniel Thouin, président du conseil d’administration
    Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC)

    Lettre ouverte

    C’est parce que le Québec est une société distincte de relative petite taille que l’on a aperçu la goutte des salaires des hauts dirigeants de Bombardier nous affecter. En effet, il faut prendre conscience que toutes les sociétés ouvertes (cotées en bourse) ont déjà largement rempli le vase de notre indignation depuis 1976. Cette année là, un article du Journal of Financial Economics de l’Université de Rochester dans lequel l’idée suivante est avancée : rémunérer les dirigeants d’une entreprise en actions avec droit de vote aux cadres supérieurs de l’entreprise revient à harmoniser leurs intérêts avec ceux des actionnaires. Cette suggestion fut adoptée, ou plutôt appliquée, à vitesse grand V par Jack Welch, alors P.-D.G. de General Electric. On s’en doute, il fut imité illico par ses confrères[1].

  • Le MÉDAC sur cinq fronts en même temps

    Cinq assemblées annuelles en 48 h, du 10 au 12 mai

    Montréal, le 28 avril 2017 — Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) et ses ambassadeurs représenteront des épargnants et des investisseurs individuels lors de cinq assemblées annuelles des actionnaires (AAA) du 10 au 12 mai.

  • Disparités des butins et défections

    De l’équipage quitte le navire à la vue de l’injustice

    Montréal, le 20 avril 2017 — Les employés de direction administrative seraient plus susceptibles de quitter leur entreprise quand ils se sentent sous-payés par rapport à la part du chef de la direction.

  • Power — Rémunération, sans vote

    Photo : Graham Hughes, La Presse canadienne
    Les cochefs de la direction dePower Corporation, Paul Desmarais fils (gauche) et André Desmarais

    Power s’oppose toujours au vote consultatif

    20 avril 2017
    Julien Arsenault, La Presse canadienne

    Même si une proportion grandissante des actionnaires de Power Corporation semble désireuse d’avoir son mot à dire sur les salaires des membres de la haute direction du conglomérat financier, celui-ci continue à s’opposer à cette pratique.

    Dans sa circulaire récemment déposée auprès des autorités réglementaires en vue de son assemblée annuelle du 12 mai à Toronto, Power Corporation offre une fois de plus une fin de non-recevoir à la proposition du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MEDAC) visant l’implantation d’un vote consultatif sur la rémunération des hauts dirigeants.

  • Conjuguer économie et société

    La victoire de l’économie sur la société : entrevue avec Claude Béland

    2017-04-17
    Médium large, Radio-Canada

    L’ancien président du [Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC)] Claude Béland est très dur envers [le Mouvement Desjardins] qu’il a dirigée pendant 23 ans. « Je pense que Desjardins n’est plus un mouvement, il cherche plutôt à s’intégrer et à faire concurrence aux banques », constate-t-il. Il s’inquiète aussi des iniquités grandissantes entre les riches et les pauvres dans la société, phénomène alimenté par un individualisme qui fait maintenant de l’ombre aux notions de vivre-ensemble.

    Être un agent de changement a été un objectif dans la vie de Claude Béland depuis son enfance dans une famille très solidaire et heureuse. Il s’étonne aujourd’hui de la domination de l’économie dans la vie en société, même chez les politiciens. À quoi sert donc la création de richesses, si celles-ci ne se trouvent qu’entre les mains de certaines personnes fortunées ?

  • Ratio de rémunération — Nouvelle étude

    Maladie généralisée dont Bombardier n’est qu’un symptôme

    Montréal, le 13 avril 2017 — La presse québécoise prend consicence que les revenus des dirigeants de Bombardier ne sont pas un cas isolé de rémunérations excessives.

  • Bombardier — Les documents déposés

    Alain Bellemare, le PDG de Bombardier… (Photo Archives La Presse canadienne)

    Rémunération : pas question de rouvrir l’entente avec Bombardier, dit Anglade

    10 avril 2017
    Julien Arsenault, La Presse Canadienne

    Aussitôt remise, la pétition signée par quelque 34 000 personnes demandant à Québec de revoir les modalités de l’investissement de 1,3 milliard de dollars de l’État québécois dans la CSeries de Bombardier a reçu une fin de non-recevoir par la ministre de l’Économie, Dominique Anglade.

    « Ce n’est pas du tout dans les plans », a-t-elle affirmé, lundi, de passage au Palais des congrès de Montréal pour une annonce à caractère économique, après qu’Amir Khadir, de Québec solidaire, lui ait remis en mains propres la pétition.

  • Un vrai débat sur la rémunération

    [De gauche à droite] Le président et chef de la direction de Bombardier, Alain Bellemare en compagnie du président exécutif du C.A., Pierre Beaudoin. Photo : Reuters/Christinne Muschi

    Pourquoi ne pas faire un vrai débat sur la rémunération des PDG?

    2017-04-07
    Gérald Fillion, Radio-Canada

    Beaucoup de gens demandent à Pierre Beaudoin de quitter son poste de président exécutif du conseil de Bombardier affirmant qu’il est là, le vrai scandale de la rémunération qui fait rager les Québécois depuis une semaine.

    Limiter l’enjeu à Pierre Beaudoin nous fait toutefois rater l’occasion d’un vrai débat sur la rémunération des hauts dirigeants d’entreprises. Il m’apparaît essentiel de ramener également le projecteur sur Alain Bellemare, dont la rémunération totale en 2016 est évaluée à 12,7 millions de dollars canadiens.

    Alain Bellemare a maintenant sa place parmi les 10 ou 15 PDG les mieux payés au Canada. Il gagne plus que le PDG d’Airbus, mais moins que celui de Boeing, dont les revenus sont, il faut le dire, six fois plus élevés que Bombardier. La rémunération totale de 2016 pour le grand chef de Bombardier représente 257 fois le salaire moyen industriel au Canada et 157 fois le salaire moyen des employés de Bombardier, qui serait de 81 000 $ par année, selon le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC).

  • Le réveil des actionnaires

    La hausse de la rémunération des hauts dirigeants de Bombardier est une décision qui pue au nez du président du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires, Daniel Thouin.

    Photo : Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve

    Rémunération des hauts dirigeants : l’action passe par le réveil des actionnaires

    4 avril 2017
    Gilbert Leduc, Le Soleil

    (Québec) « Ça ne sert plus à rien de s’indigner et de pousser les hauts cris. Le moment est venu de passer à l’action. Petits actionnaires, ne jetez plus à la poubelle sans la regarder l’invitation pour participer à l’assemblée générale annuelle de la compagnie dans laquelle vous avez investi vos précieux billets verts. Présentez-vous. Posez des questions. Faites-vous entendre. »

    Oui, la hausse de la rémunération des hauts dirigeants de Bombardier est une décision qui pue au nez du président du Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires [MEDAC], Daniel Thouin.

  • Thouin @LCN — Bombardier

    Le MÉDAC invite les actionnaires à voter contre les hausses de salaire

    2 avril 2017
    Agence QMI, TVA Nouvelles et LCN

    Source ›››

    Le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC) demande aux actionnaires de Bombardier de s’opposer aux hausses de rémunération de certains de ses cadres à l’occasion de l’assemblée annuelle des actionnaires le 11 mai.

    En entrevue à TVA Nouvelles, dimanche, le président du MÉDAC, Daniel Thouin, a expliqué que la rémunération des hauts dirigeants de compagnies par le biais d’actions a démontré depuis son apparition il y a quelques décennies qu’elle ne fonctionne pas.

  • Bombardier — Mobiliser les actionnaires

    « Après avoir écouté les récents débats publics sur la rémunération des hauts dirigeants de Bombardier, j’ai demandé au conseil de revoir ma rémunération de 2016 en la réduisant au niveau de 2015 », écrit Pierre Beaudoin.

    Photo Ivanoh Demers, Archives La Presse

    Bombardier : Pierre Beaudoin renonce à son augmentation de salaire

    31 mars 2017
    Julien Arsenault, La Presse Canadienne

    En raison du tollé provoqué par les hausses de salaire marquées chez Bombardier, le président exécutif du conseil d’administration de la multinationale, Pierre Beaudoin, a décidé de renoncer à son augmentation.

    « Après avoir écouté les récents débats publics sur la rémunération des hauts dirigeants de Bombardier, j’ai demandé au conseil de revoir ma rémunération de 2016 en la réduisant au niveau de 2015 », écrit M. Beaudoin.

  • Rémunération, Bombardier et pouvoir des actionnaires

    Non aux patrons qui pillent les subventions

    Montréal, le 31 mars 2017 — La hausse des rémunérations des hauts dirigeants de Bombardier l’année même où l’entreprise a obtenu deux aides d’État pour un total de 3,3 milliards de dollars de la part de l’administration publique du Québec et où elle a mis à pied des milliers de personnes est l’occasion de rappeler le pouvoir des actionnaires en matière de responsabilité des entreprises.

  • Thouin @Martineau-Trudeau — Bombardier

    « M. Thouin […] c’est pas un militant d’extrême-gauche », dit Martineau

    2017-03-31
    Martineau-Trudeau, Radio X, 98,1 MF

    Source ›››

  • Bombardier — Ratio de rémunération indécent

    Photo Agence QMI, Joël Lemay Pierre Beaudoin (à gauche), président du conseil d’administration de Bombardier, a vu ses revenus grimper de 5 millions $ en 2015 à 7 millions $ en 2016. Une hausse de 36,5 %. Sur la photo, on voit Pierre Beaudoin et Laurent Beaudoin (président émérite du conseil) lors de l’assemblée annuelle, le 29 avril 2016.

    Pas question de reculer pour Bombardier

    La société ne compte pas baisser la paie de ses hauts dirigeants

    31 mars 2017
    Pierre Couture, Le Journal de Québec

    Bombardier défend sa politique de rémunération de ses hauts dirigeants et n’a pas l’intention de la réviser à la baisse.

    « C’est aligné sur la performance de la haute direction. Et leur performance a été solide en 2016 », s’est défendu jeudi le porte-parole de l’entreprise, Simon Letendre.

    Selon ce dernier, le conseil d’administration de Bombardier demandera aux actionnaires lors de l’assemblée annuelle du 11 mai prochain, à Dorval, de voter pour des hausses de salaire totalisant 48 %.

  • Claude Béland dénonce Bombardier

    Bombardier : des patrons trop payés

    30 mars 2017
    24/60, Radio-Canada

    « Des coffres du gouvernement à la poche des dirigeants. La hausse de salaire des patrons de Bombardier fait réagir. Entrevue avec l'ancien président du Mouvement Desjardins Claude Béland. »

  • Bombardier — Le tour de la question

    Le tour de la question sur l’augmentation de la rémunération chez Bombardier

    2017-03-30
    RDI Économie, Radio-Canada

    « La rémunération des dirigeants de Bombardier a provoqué une vague de critiques au Québec et mis le gouvernement sur la défensive. Reportage de Maxime Bertrand. »

    Source ›››

  • Thouin @Dutrizac — Bombardier

    Mettre ses culottes

    2017-03-30
    Dutrizac, 98,5 MF

    Est-ce que les actionnaires de Bombardier ont un recours face aux indécents bonis de la direction?

  • Bombardier — Rémunération faramineuse

    La rémunération des dirigeants bondit de 48 %

    30 mars 2017
    Martin VallièresLa Presse

    La rémunération totale des six plus hauts dirigeants de Bombardier a bondi de 48 % à 32,4 millions US pour l’exercice 2016, soit l’équivalent de 42,9 millions en dollars canadiens selon le taux de change utilisé dans les documents de l’entreprise.

    De cette rémunération totale, au moins 24,4 millions US (ou 32,3 millions CA) constituent les primes et bonis consentis à ces hauts dirigeants, dont quatre étaient à leur première année en poste, en surplus de leur salaire de base.

  • Rémunération — À quand notre propre loi Sapin?

    Payé 146 fois plus cher que ses employés

    20 mars 2017
    La rédaction, Conseiller.ca

    La banque Scotia se distingue pour une deuxième année de suite par l’écart entre le salaire de ses hauts dirigeants et celui de ses employés, selon des données publiques compilées par le Mouvement d’éducation et de défense des actionnaires (MÉDAC).

    En 2016, le chef de la direction était payé 146 fois le salaire moyen des employés de la banque. C’est légèrement moins qu’en 2015 (151), mais cela place encore la banque Scotia en queue de peloton des banques canadiennes. Toutes les autres banques sont sous la barre de 100. La TD affiche le deuxième ratio le plus élevé, avec un 91 la situant tout de même assez loin de Scotia.

  • Ratios de rémunération 2016 des banques

    La banque de Nouvelle-Écosse encore dernière de classe

    Montréal, le 16 mars 2017 — Pour une deuxième année consécutive la banque de Nouvelle-Écosse est le mauvais élève de la classe bancaire en matière d’écarts entre la rémunération des hauts dirigeants et le salaire moyen des employés, tandis que la banque laurentienne est l’élève le plus amélioré.

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